Fiche créée le 20/05/2017 modifiée le 25/10/2022 NOM, Prénom : AARON Edmée N° matricule : inconnu Date et lieu de Naissance : Edmée Aaron est née à Niederbronn les bains (Bas-Rhin) le 30 octobre 1921 Bio avant-guerre: Elle est sténodactylo. Circonstances de l’arrestation : Elle est réfugiée à Pornic avec sa famille, son père Emile, sa mère Lucie et sa soeur Suzette. Date et lieu de l’arrestation : Elle est arrêtée à Pornic lors de la rafle du 16 juillet 1942 avec toute sa famille. Parcours avant déportation : Elle est internée au Grand Séminaire à Angers. Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Elle est déportée à Auschwitz par le convoi n° 08 qui part d’Angers le 20 juillet 1942. À leur arrivée à Auschwitz le 23 juillet, 411 hommes sont sélectionnés pour des travaux forcés. Ils sont tatoués des numéros de 51015 à 51425. Parmi les femmes déportées, 390 sont aussi sélectionnées et sont tatouées des numéros de 10177 à 10566. Selon l'historien Serge Klarsfeld, on dénombrait en 1945, 20 rescapés de ce convoi. Date et lieu de décès : Elle meurt à Auschwitz. (La date retenue au J.O. est la date de départ du convoi) Sources : Jean-Pierre Sauvage et Xavier Trochu. Mémorial des victimes de la persécution allemande en Loire Inférieure 1940-1945. Déportés de la communauté juive. 2003 Mémorial de la Shoah - Musée et centre de documentation ... www.memorialdelashoah.org https://shoahpresquile.com Bases de données | www.yadvashem.org https://yvng.yadvashem.org/ (feuilles de témoignage) AD44 COTE(Liste 031) JO du 28/01/1988, p.1385 Edmée Aaron
Fiche créée le 20/05/2017 modifiée le 25/10/2022 NOM, Prénom : AARON Edmée N° matricule : inconnu Date et lieu de Naissance : Edmée Aaron est née à Niederbronn les bains (Bas-Rhin) le 30 octobre 1921 Bio avant-guerre: Elle est sténodactylo. Circonstances de l’arrestation : Elle est réfugiée à Pornic avec sa famille, son père Emile, sa mère Lucie et sa soeur Suzette. Date et lieu de l’arrestation : Elle est arrêtée à Pornic lors de la rafle du 16 juillet 1942 avec toute sa famille. Parcours avant déportation : Elle est internée au Grand Séminaire à Angers. Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Elle est déportée à Auschwitz par le convoi n° 08 qui part d’Angers le 20 juillet 1942. À leur arrivée à Auschwitz le 23 juillet, 411 hommes sont sélectionnés pour des travaux forcés. Ils sont tatoués des numéros de 51015 à 51425. Parmi les femmes déportées, 390 sont aussi sélectionnées et sont tatouées des numéros de 10177 à 10566. Selon l'historien Serge Klarsfeld, on dénombrait en 1945, 20 rescapés de ce convoi. Date et lieu de décès : Elle meurt à Auschwitz. (La date retenue au J.O. est la date de départ du convoi) Sources : Jean-Pierre Sauvage et Xavier Trochu. Mémorial des victimes de la persécution allemande en Loire Inférieure 1940-1945. Déportés de la communauté juive. 2003 Mémorial de la Shoah - Musée et centre de documentation ... www.memorialdelashoah.org https://shoahpresquile.com Bases de données | www.yadvashem.org https://yvng.yadvashem.org/ (feuilles de témoignage) AD44 COTE(Liste 031) JO du 28/01/1988, p.1385 Edmée Aaron
Fiche créée le 20/05/2017 modifiée le 25/10/2022 NOM, Prénom : AARON Edmée N° matricule : inconnu Date et lieu de Naissance : Edmée Aaron est née à Niederbronn les bains (Bas-Rhin) le 30 octobre 1921 Bio avant-guerre: Elle est sténodactylo. Circonstances de l’arrestation : Elle est réfugiée à Pornic avec sa famille, son père Emile, sa mère Lucie et sa soeur Suzette. Date et lieu de l’arrestation : Elle est arrêtée à Pornic lors de la rafle du 16 juillet 1942 avec toute sa famille. Parcours avant déportation : Elle est internée au Grand Séminaire à Angers. Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Elle est déportée à Auschwitz par le convoi n° 08 qui part d’Angers le 20 juillet 1942. À leur arrivée à Auschwitz le 23 juillet, 411 hommes sont sélectionnés pour des travaux forcés. Ils sont tatoués des numéros de 51015 à 51425. Parmi les femmes déportées, 390 sont aussi sélectionnées et sont tatouées des numéros de 10177 à 10566. Selon l'historien Serge Klarsfeld, on dénombrait en 1945, 20 rescapés de ce convoi. Date et lieu de décès : Elle meurt à Auschwitz. (La date retenue au J.O. est la date de départ du convoi) Sources : Jean-Pierre Sauvage et Xavier Trochu. Mémorial des victimes de la persécution allemande en Loire Inférieure 1940-1945. Déportés de la communauté juive. 2003 Mémorial de la Shoah - Musée et centre de documentation ... www.memorialdelashoah.org https://shoahpresquile.com Bases de données | www.yadvashem.org https://yvng.yadvashem.org/ (feuilles de témoignage) AD44 COTE(Liste 031) JO du 28/01/1988, p.1385 Edmée Aaron
Fiche créée le 20/05/2017 modifiée le 25/10/2022 NOM, Prénom : AARON Edmée N° matricule : inconnu Date et lieu de Naissance : Edmée Aaron est née à Niederbronn les bains (Bas-Rhin) le 30 octobre 1921 Bio avant-guerre: Elle est sténodactylo. Circonstances de l’arrestation : Elle est réfugiée à Pornic avec sa famille, son père Emile, sa mère Lucie et sa soeur Suzette. Date et lieu de l’arrestation : Elle est arrêtée à Pornic lors de la rafle du 16 juillet 1942 avec toute sa famille. Parcours avant déportation : Elle est internée au Grand Séminaire à Angers. Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Elle est déportée à Auschwitz par le convoi n° 08 qui part d’Angers le 20 juillet 1942. À leur arrivée à Auschwitz le 23 juillet, 411 hommes sont sélectionnés pour des travaux forcés. Ils sont tatoués des numéros de 51015 à 51425. Parmi les femmes déportées, 390 sont aussi sélectionnées et sont tatouées des numéros de 10177 à 10566. Selon l'historien Serge Klarsfeld, on dénombrait en 1945, 20 rescapés de ce convoi. Date et lieu de décès : Elle meurt à Auschwitz. (La date retenue au J.O. est la date de départ du convoi) Sources : Jean-Pierre Sauvage et Xavier Trochu. Mémorial des victimes de la persécution allemande en Loire Inférieure 1940-1945. Déportés de la communauté juive. 2003 Mémorial de la Shoah - Musée et centre de documentation ... www.memorialdelashoah.org https://shoahpresquile.com Bases de données | www.yadvashem.org https://yvng.yadvashem.org/ (feuilles de témoignage) AD44 COTE(Liste 031) JO du 28/01/1988, p.1385 Edmée Aaron
Fiche créée le 20/05/2017 modifiée le 25/10/2022 NOM, Prénom : AARON Edmée N° matricule : inconnu Date et lieu de Naissance : Edmée Aaron est née à Niederbronn les bains (Bas-Rhin) le 30 octobre 1921 Bio avant-guerre: Elle est sténodactylo. Circonstances de l’arrestation : Elle est réfugiée à Pornic avec sa famille, son père Emile, sa mère Lucie et sa soeur Suzette. Date et lieu de l’arrestation : Elle est arrêtée à Pornic lors de la rafle du 16 juillet 1942 avec toute sa famille. Parcours avant déportation : Elle est internée au Grand Séminaire à Angers. Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Elle est déportée à Auschwitz par le convoi n° 08 qui part d’Angers le 20 juillet 1942. À leur arrivée à Auschwitz le 23 juillet, 411 hommes sont sélectionnés pour des travaux forcés. Ils sont tatoués des numéros de 51015 à 51425. Parmi les femmes déportées, 390 sont aussi sélectionnées et sont tatouées des numéros de 10177 à 10566. Selon l'historien Serge Klarsfeld, on dénombrait en 1945, 20 rescapés de ce convoi. Date et lieu de décès : Elle meurt à Auschwitz. (La date retenue au J.O. est la date de départ du convoi) Sources : Jean-Pierre Sauvage et Xavier Trochu. Mémorial des victimes de la persécution allemande en Loire Inférieure 1940-1945. Déportés de la communauté juive. 2003 Mémorial de la Shoah - Musée et centre de documentation ... www.memorialdelashoah.org https://shoahpresquile.com Bases de données | www.yadvashem.org https://yvng.yadvashem.org/ (feuilles de témoignage) AD44 COTE(Liste 031) JO du 28/01/1988, p.1385 Edmée Aaron
31/01/2025
AARON
Emile
Fiche créée le 20/05/2017 modifiée le 15/01/2023 NOM, Prénom : AARON Émile N° matricule : Date et lieu de Naissance : Émile Aaron est né le15 novembre 1883 à Bouxwiller (Bas-Rhin). Bio avant-guerre : Il est commerçant. Il se marie le 11 janvier 1921 avec Lucie Dreyfus à Niederbronn-les- Bains (Bas-Rhin). Le couple a deux enfants, Edmée et Suzette. Emile Aaron habite à Niederbronn. Ils sont évacués d’Alsace Loraine à l’entrée en guerre dès septembre 1939. Circonstances de l’arrestation : Il se réfugie avec sa famille à Pornic (Loire-Inférieure) rue Jeanne d’Arc. Conformément à la 1ère ordonnance allemande, la famille AARON effectue en octobre 1940 le recensement auprès de la sous-préfecture de Saint-Nazaire ou la mairie de Pornic. Date et lieu de l’arrestation : Il est arrêté le 15 juillet 1942 Parcours avant déportation : Il est transféré à Nantes puis Angers, inscrit puis rayé de la liste de départ du convoi n°08 parti d'Angers. Il fait partie des 14 hommes descendus à Drancy. Il est transféré à Pithiviers. Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Il est déporté à Auschwitz par le convoi n°35 au départ de Pithiviers le 21 septembre 1942. Sa femme et ses deux filles ont été déportées le 20 juillet par le convoi N°08. Date et lieu de décès : Il fait partie des 791 personnes gazées à leur arrivée à Auschwitz. La date retenue au J.O. est la date du départ du convoi. Sources : Jean-Pierre Sauvage et Xavier Trochu. Mémorial des victimes de la persécution allemande en Loire Inférieure 1940-1945. Déportés de la communauté juive. 2003 https://shoahpresquile.com Mémorial de la Shoah - Musée et centre de documentation ... www.memorialdelashoah.org Bases de données | www.yadvashem.org Émile Aaron Fiche créée le 20/05/2017 modifiée le 15/01/2023 http://yvng.yadvashem.org (feuille de témoignage) J.O. du 28/01/1988, p.1385
Fiche créée le 20/05/2017 modifiée le 15/01/2023 NOM, Prénom : AARON Émile N° matricule : Date et lieu de Naissance : Émile Aaron est né le15 novembre 1883 à Bouxwiller (Bas-Rhin). Bio avant-guerre : Il est commerçant. Il se marie le 11 janvier 1921 avec Lucie Dreyfus à Niederbronn-les- Bains (Bas-Rhin). Le couple a deux enfants, Edmée et Suzette. Emile Aaron habite à Niederbronn. Ils sont évacués d’Alsace Loraine à l’entrée en guerre dès septembre 1939. Circonstances de l’arrestation : Il se réfugie avec sa famille à Pornic (Loire-Inférieure) rue Jeanne d’Arc. Conformément à la 1ère ordonnance allemande, la famille AARON effectue en octobre 1940 le recensement auprès de la sous-préfecture de Saint-Nazaire ou la mairie de Pornic. Date et lieu de l’arrestation : Il est arrêté le 15 juillet 1942 Parcours avant déportation : Il est transféré à Nantes puis Angers, inscrit puis rayé de la liste de départ du convoi n°08 parti d'Angers. Il fait partie des 14 hommes descendus à Drancy. Il est transféré à Pithiviers. Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Il est déporté à Auschwitz par le convoi n°35 au départ de Pithiviers le 21 septembre 1942. Sa femme et ses deux filles ont été déportées le 20 juillet par le convoi N°08. Date et lieu de décès : Il fait partie des 791 personnes gazées à leur arrivée à Auschwitz. La date retenue au J.O. est la date du départ du convoi. Sources : Jean-Pierre Sauvage et Xavier Trochu. Mémorial des victimes de la persécution allemande en Loire Inférieure 1940-1945. Déportés de la communauté juive. 2003 https://shoahpresquile.com Mémorial de la Shoah - Musée et centre de documentation ... www.memorialdelashoah.org Bases de données | www.yadvashem.org Émile Aaron Fiche créée le 20/05/2017 modifiée le 15/01/2023 http://yvng.yadvashem.org (feuille de témoignage) J.O. du 28/01/1988, p.1385
Fiche créée le 20/05/2017 modifiée le 15/01/2023 NOM, Prénom : AARON Émile N° matricule : Date et lieu de Naissance : Émile Aaron est né le15 novembre 1883 à Bouxwiller (Bas-Rhin). Bio avant-guerre : Il est commerçant. Il se marie le 11 janvier 1921 avec Lucie Dreyfus à Niederbronn-les- Bains (Bas-Rhin). Le couple a deux enfants, Edmée et Suzette. Emile Aaron habite à Niederbronn. Ils sont évacués d’Alsace Loraine à l’entrée en guerre dès septembre 1939. Circonstances de l’arrestation : Il se réfugie avec sa famille à Pornic (Loire-Inférieure) rue Jeanne d’Arc. Conformément à la 1ère ordonnance allemande, la famille AARON effectue en octobre 1940 le recensement auprès de la sous-préfecture de Saint-Nazaire ou la mairie de Pornic. Date et lieu de l’arrestation : Il est arrêté le 15 juillet 1942 Parcours avant déportation : Il est transféré à Nantes puis Angers, inscrit puis rayé de la liste de départ du convoi n°08 parti d'Angers. Il fait partie des 14 hommes descendus à Drancy. Il est transféré à Pithiviers. Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Il est déporté à Auschwitz par le convoi n°35 au départ de Pithiviers le 21 septembre 1942. Sa femme et ses deux filles ont été déportées le 20 juillet par le convoi N°08. Date et lieu de décès : Il fait partie des 791 personnes gazées à leur arrivée à Auschwitz. La date retenue au J.O. est la date du départ du convoi. Sources : Jean-Pierre Sauvage et Xavier Trochu. Mémorial des victimes de la persécution allemande en Loire Inférieure 1940-1945. Déportés de la communauté juive. 2003 https://shoahpresquile.com Mémorial de la Shoah - Musée et centre de documentation ... www.memorialdelashoah.org Bases de données | www.yadvashem.org Émile Aaron Fiche créée le 20/05/2017 modifiée le 15/01/2023 http://yvng.yadvashem.org (feuille de témoignage) J.O. du 28/01/1988, p.1385
Fiche créée le 20/05/2017 modifiée le 15/01/2023 NOM, Prénom : AARON Émile N° matricule : Date et lieu de Naissance : Émile Aaron est né le15 novembre 1883 à Bouxwiller (Bas-Rhin). Bio avant-guerre : Il est commerçant. Il se marie le 11 janvier 1921 avec Lucie Dreyfus à Niederbronn-les- Bains (Bas-Rhin). Le couple a deux enfants, Edmée et Suzette. Emile Aaron habite à Niederbronn. Ils sont évacués d’Alsace Loraine à l’entrée en guerre dès septembre 1939. Circonstances de l’arrestation : Il se réfugie avec sa famille à Pornic (Loire-Inférieure) rue Jeanne d’Arc. Conformément à la 1ère ordonnance allemande, la famille AARON effectue en octobre 1940 le recensement auprès de la sous-préfecture de Saint-Nazaire ou la mairie de Pornic. Date et lieu de l’arrestation : Il est arrêté le 15 juillet 1942 Parcours avant déportation : Il est transféré à Nantes puis Angers, inscrit puis rayé de la liste de départ du convoi n°08 parti d'Angers. Il fait partie des 14 hommes descendus à Drancy. Il est transféré à Pithiviers. Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Il est déporté à Auschwitz par le convoi n°35 au départ de Pithiviers le 21 septembre 1942. Sa femme et ses deux filles ont été déportées le 20 juillet par le convoi N°08. Date et lieu de décès : Il fait partie des 791 personnes gazées à leur arrivée à Auschwitz. La date retenue au J.O. est la date du départ du convoi. Sources : Jean-Pierre Sauvage et Xavier Trochu. Mémorial des victimes de la persécution allemande en Loire Inférieure 1940-1945. Déportés de la communauté juive. 2003 https://shoahpresquile.com Mémorial de la Shoah - Musée et centre de documentation ... www.memorialdelashoah.org Bases de données | www.yadvashem.org Émile Aaron Fiche créée le 20/05/2017 modifiée le 15/01/2023 http://yvng.yadvashem.org (feuille de témoignage) J.O. du 28/01/1988, p.1385
Fiche créée le 20/05/2017 modifiée le 15/01/2023 NOM, Prénom : AARON Émile N° matricule : Date et lieu de Naissance : Émile Aaron est né le15 novembre 1883 à Bouxwiller (Bas-Rhin). Bio avant-guerre : Il est commerçant. Il se marie le 11 janvier 1921 avec Lucie Dreyfus à Niederbronn-les- Bains (Bas-Rhin). Le couple a deux enfants, Edmée et Suzette. Emile Aaron habite à Niederbronn. Ils sont évacués d’Alsace Loraine à l’entrée en guerre dès septembre 1939. Circonstances de l’arrestation : Il se réfugie avec sa famille à Pornic (Loire-Inférieure) rue Jeanne d’Arc. Conformément à la 1ère ordonnance allemande, la famille AARON effectue en octobre 1940 le recensement auprès de la sous-préfecture de Saint-Nazaire ou la mairie de Pornic. Date et lieu de l’arrestation : Il est arrêté le 15 juillet 1942 Parcours avant déportation : Il est transféré à Nantes puis Angers, inscrit puis rayé de la liste de départ du convoi n°08 parti d'Angers. Il fait partie des 14 hommes descendus à Drancy. Il est transféré à Pithiviers. Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Il est déporté à Auschwitz par le convoi n°35 au départ de Pithiviers le 21 septembre 1942. Sa femme et ses deux filles ont été déportées le 20 juillet par le convoi N°08. Date et lieu de décès : Il fait partie des 791 personnes gazées à leur arrivée à Auschwitz. La date retenue au J.O. est la date du départ du convoi. Sources : Jean-Pierre Sauvage et Xavier Trochu. Mémorial des victimes de la persécution allemande en Loire Inférieure 1940-1945. Déportés de la communauté juive. 2003 https://shoahpresquile.com Mémorial de la Shoah - Musée et centre de documentation ... www.memorialdelashoah.org Bases de données | www.yadvashem.org Émile Aaron Fiche créée le 20/05/2017 modifiée le 15/01/2023 http://yvng.yadvashem.org (feuille de témoignage) J.O. du 28/01/1988, p.1385
31/01/2025
AARON
Lucie
Fiche créée le 20/05/2017 modifiée le 21/07/2022 NOM, Prénom : AARON Lucie, née Dreyfus N° matricule : Dat e et lieu de Naissance : Lucie Dreyfuss est née le 03 juin 1897 à Niederbronn - les - Bains (Bas - Rhin) , fille de Moïse et Anna Dreyfuss. Bio avant - guerre : Elle est sans profession, mariée le 11 janvier 1921 avec Émile Aaron à Niederbronn - les - bains (Bas - Rhin); ils ont deux enfants, Edmée et Suzette. Elle habite à Niederbronn . La famille est éva cuée d ’ A lsace Loraine dès 1939. Circonstances de l’arrestation : Elle est réfugiée avec s on mari et leu rs filles à Pornic (Loire - Inférieure) rue Jeanne d ’ Arc . Date et lieu de l’arrestation : Elle est arrêtée le 1 6 juillet 1942 . Rafle Parcours avant déportation : Elle est in tern ée à Angers. Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Elle est d éportée à Auschwitz par le convoi n° 08 parti d’A ngers le 20 juillet 1942. Ce transport est constitué de 824 personnes ; 23 sont assassinées dans la chambre à gaz à leur arrivée. 411 hommes reçoivent les matricules 51015 à 51425, 390 femmes les numéros 10 177 à 10566. Il reste 14 survivants, tous des hommes, à la libération. Date et lieu de décès : Elle meurt à Auschwitz . La date retenue au J.O. est la date du départ du convoi. Sources : Jean - P ierre Sauvage et Xavier Trochu. Mémorial des victimes d e la persécution allemande en Loire Inférieure 1940 - 1945. Déportés de la communauté juive. 2003 Mémorial de la Shoah - Musée et centre de documentation ... www.memorialdelashoah.org https:// shoahpresquile.com Bases de données | www.yadvashem.org https://yvng.yadvashem.org (feuille de t émoignage) J.O. du 28/01/1988, p. 1385 Ce document est la propriété de l'AFMD44 Fiche créée le 20/05/2017 modifiée le 21/07/2022 Ce document est la propriété de l'AFMD44
Fiche créée le 20/05/2017 modifiée le 21/07/2022 NOM, Prénom : AARON Lucie, née Dreyfus N° matricule : Dat e et lieu de Naissance : Lucie Dreyfuss est née le 03 juin 1897 à Niederbronn - les - Bains (Bas - Rhin) , fille de Moïse et Anna Dreyfuss. Bio avant - guerre : Elle est sans profession, mariée le 11 janvier 1921 avec Émile Aaron à Niederbronn - les - bains (Bas - Rhin); ils ont deux enfants, Edmée et Suzette. Elle habite à Niederbronn . La famille est éva cuée d ’ A lsace Loraine dès 1939. Circonstances de l’arrestation : Elle est réfugiée avec s on mari et leu rs filles à Pornic (Loire - Inférieure) rue Jeanne d ’ Arc . Date et lieu de l’arrestation : Elle est arrêtée le 1 6 juillet 1942 . Rafle Parcours avant déportation : Elle est in tern ée à Angers. Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Elle est d éportée à Auschwitz par le convoi n° 08 parti d’A ngers le 20 juillet 1942. Ce transport est constitué de 824 personnes ; 23 sont assassinées dans la chambre à gaz à leur arrivée. 411 hommes reçoivent les matricules 51015 à 51425, 390 femmes les numéros 10 177 à 10566. Il reste 14 survivants, tous des hommes, à la libération. Date et lieu de décès : Elle meurt à Auschwitz . La date retenue au J.O. est la date du départ du convoi. Sources : Jean - P ierre Sauvage et Xavier Trochu. Mémorial des victimes d e la persécution allemande en Loire Inférieure 1940 - 1945. Déportés de la communauté juive. 2003 Mémorial de la Shoah - Musée et centre de documentation ... www.memorialdelashoah.org https:// shoahpresquile.com Bases de données | www.yadvashem.org https://yvng.yadvashem.org (feuille de t émoignage) J.O. du 28/01/1988, p. 1385 Ce document est la propriété de l'AFMD44 Fiche créée le 20/05/2017 modifiée le 21/07/2022 Ce document est la propriété de l'AFMD44
Fiche créée le 20/05/2017 modifiée le 21/07/2022 NOM, Prénom : AARON Lucie, née Dreyfus N° matricule : Dat e et lieu de Naissance : Lucie Dreyfuss est née le 03 juin 1897 à Niederbronn - les - Bains (Bas - Rhin) , fille de Moïse et Anna Dreyfuss. Bio avant - guerre : Elle est sans profession, mariée le 11 janvier 1921 avec Émile Aaron à Niederbronn - les - bains (Bas - Rhin); ils ont deux enfants, Edmée et Suzette. Elle habite à Niederbronn . La famille est éva cuée d ’ A lsace Loraine dès 1939. Circonstances de l’arrestation : Elle est réfugiée avec s on mari et leu rs filles à Pornic (Loire - Inférieure) rue Jeanne d ’ Arc . Date et lieu de l’arrestation : Elle est arrêtée le 1 6 juillet 1942 . Rafle Parcours avant déportation : Elle est in tern ée à Angers. Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Elle est d éportée à Auschwitz par le convoi n° 08 parti d’A ngers le 20 juillet 1942. Ce transport est constitué de 824 personnes ; 23 sont assassinées dans la chambre à gaz à leur arrivée. 411 hommes reçoivent les matricules 51015 à 51425, 390 femmes les numéros 10 177 à 10566. Il reste 14 survivants, tous des hommes, à la libération. Date et lieu de décès : Elle meurt à Auschwitz . La date retenue au J.O. est la date du départ du convoi. Sources : Jean - P ierre Sauvage et Xavier Trochu. Mémorial des victimes d e la persécution allemande en Loire Inférieure 1940 - 1945. Déportés de la communauté juive. 2003 Mémorial de la Shoah - Musée et centre de documentation ... www.memorialdelashoah.org https:// shoahpresquile.com Bases de données | www.yadvashem.org https://yvng.yadvashem.org (feuille de t émoignage) J.O. du 28/01/1988, p. 1385 Ce document est la propriété de l'AFMD44 Fiche créée le 20/05/2017 modifiée le 21/07/2022 Ce document est la propriété de l'AFMD44
Fiche créée le 20/05/2017 modifiée le 21/07/2022 NOM, Prénom : AARON Lucie, née Dreyfus N° matricule : Dat e et lieu de Naissance : Lucie Dreyfuss est née le 03 juin 1897 à Niederbronn - les - Bains (Bas - Rhin) , fille de Moïse et Anna Dreyfuss. Bio avant - guerre : Elle est sans profession, mariée le 11 janvier 1921 avec Émile Aaron à Niederbronn - les - bains (Bas - Rhin); ils ont deux enfants, Edmée et Suzette. Elle habite à Niederbronn . La famille est éva cuée d ’ A lsace Loraine dès 1939. Circonstances de l’arrestation : Elle est réfugiée avec s on mari et leu rs filles à Pornic (Loire - Inférieure) rue Jeanne d ’ Arc . Date et lieu de l’arrestation : Elle est arrêtée le 1 6 juillet 1942 . Rafle Parcours avant déportation : Elle est in tern ée à Angers. Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Elle est d éportée à Auschwitz par le convoi n° 08 parti d’A ngers le 20 juillet 1942. Ce transport est constitué de 824 personnes ; 23 sont assassinées dans la chambre à gaz à leur arrivée. 411 hommes reçoivent les matricules 51015 à 51425, 390 femmes les numéros 10 177 à 10566. Il reste 14 survivants, tous des hommes, à la libération. Date et lieu de décès : Elle meurt à Auschwitz . La date retenue au J.O. est la date du départ du convoi. Sources : Jean - P ierre Sauvage et Xavier Trochu. Mémorial des victimes d e la persécution allemande en Loire Inférieure 1940 - 1945. Déportés de la communauté juive. 2003 Mémorial de la Shoah - Musée et centre de documentation ... www.memorialdelashoah.org https:// shoahpresquile.com Bases de données | www.yadvashem.org https://yvng.yadvashem.org (feuille de t émoignage) J.O. du 28/01/1988, p. 1385 Ce document est la propriété de l'AFMD44 Fiche créée le 20/05/2017 modifiée le 21/07/2022 Ce document est la propriété de l'AFMD44
Fiche créée le 20/05/2017 modifiée le 21/07/2022 NOM, Prénom : AARON Lucie, née Dreyfus N° matricule : Dat e et lieu de Naissance : Lucie Dreyfuss est née le 03 juin 1897 à Niederbronn - les - Bains (Bas - Rhin) , fille de Moïse et Anna Dreyfuss. Bio avant - guerre : Elle est sans profession, mariée le 11 janvier 1921 avec Émile Aaron à Niederbronn - les - bains (Bas - Rhin); ils ont deux enfants, Edmée et Suzette. Elle habite à Niederbronn . La famille est éva cuée d ’ A lsace Loraine dès 1939. Circonstances de l’arrestation : Elle est réfugiée avec s on mari et leu rs filles à Pornic (Loire - Inférieure) rue Jeanne d ’ Arc . Date et lieu de l’arrestation : Elle est arrêtée le 1 6 juillet 1942 . Rafle Parcours avant déportation : Elle est in tern ée à Angers. Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Elle est d éportée à Auschwitz par le convoi n° 08 parti d’A ngers le 20 juillet 1942. Ce transport est constitué de 824 personnes ; 23 sont assassinées dans la chambre à gaz à leur arrivée. 411 hommes reçoivent les matricules 51015 à 51425, 390 femmes les numéros 10 177 à 10566. Il reste 14 survivants, tous des hommes, à la libération. Date et lieu de décès : Elle meurt à Auschwitz . La date retenue au J.O. est la date du départ du convoi. Sources : Jean - P ierre Sauvage et Xavier Trochu. Mémorial des victimes d e la persécution allemande en Loire Inférieure 1940 - 1945. Déportés de la communauté juive. 2003 Mémorial de la Shoah - Musée et centre de documentation ... www.memorialdelashoah.org https:// shoahpresquile.com Bases de données | www.yadvashem.org https://yvng.yadvashem.org (feuille de t émoignage) J.O. du 28/01/1988, p. 1385 Ce document est la propriété de l'AFMD44 Fiche créée le 20/05/2017 modifiée le 21/07/2022 Ce document est la propriété de l'AFMD44
31/01/2025
AARON
Suzette
Fiche créée le 20/05/2017 modifiée le 21/07/2022 NOM, Prénom : AARON Suzette . Lucette sur M.S N° matricule : Date et lieu de Naissance : Suzette Aaron est née à Niederbronn les bains (Bas - Rhin) le14 avril 1924 , fille d'Emile et Lucie Aaron . Bio avant - guerre : Elle est s ans profession . Circonstances de l’arrestation : Elle est réfugiée à Pornic avec sa famille. Date et lieu de l’arrestation : Elle est arrêtée à P ornic lors de la raf le du 1 6 juillet 1942 avec toute sa famille. Parcours avant déportation : Elle est internée au Grand Séminaire à Angers. Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Elle est d éportée à Auschwitz par le convoi n° 08 parti d’A ngers le 20 juillet 1942. Ce transport est constitué de 824 personnes ; 23 sont assassinées dans la chambre à gaz à leur arrivée. 411 hommes reçoivent les matricules 51015 à 51425, 390 femmes les numéros 10177 à 10566. Il reste 14 survivants, tous des hommes, à la libération. Date et lieu de décès : Elle meurt à Auschwitz. La date retenue au J.O. est celle du départ du convoi. Sources : Jean - Pierre Sauvage et Xavier Trochu. Mémorial des victimes de la persécution allemande en Loire Inférieure 1940 - 1945. Dé portés de la commu nauté juive. Bases de données | www.yadvashem.org https:// shoahpresquile.com https://yvng.yadvashem.org (feuille de témoignage) AD44 COTE liste 031 Mémorial de la Shoah - Musée et centre de documentation ... www.memorialdelashoah.org Ce document est la propriété de l'AFMD44 Fiche créée le 20/05/2017 modifiée le 21/07/2022 Ce document est la propriété de l'AFMD44
Fiche créée le 20/05/2017 modifiée le 21/07/2022 NOM, Prénom : AARON Suzette . Lucette sur M.S N° matricule : Date et lieu de Naissance : Suzette Aaron est née à Niederbronn les bains (Bas - Rhin) le14 avril 1924 , fille d'Emile et Lucie Aaron . Bio avant - guerre : Elle est s ans profession . Circonstances de l’arrestation : Elle est réfugiée à Pornic avec sa famille. Date et lieu de l’arrestation : Elle est arrêtée à P ornic lors de la raf le du 1 6 juillet 1942 avec toute sa famille. Parcours avant déportation : Elle est internée au Grand Séminaire à Angers. Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Elle est d éportée à Auschwitz par le convoi n° 08 parti d’A ngers le 20 juillet 1942. Ce transport est constitué de 824 personnes ; 23 sont assassinées dans la chambre à gaz à leur arrivée. 411 hommes reçoivent les matricules 51015 à 51425, 390 femmes les numéros 10177 à 10566. Il reste 14 survivants, tous des hommes, à la libération. Date et lieu de décès : Elle meurt à Auschwitz. La date retenue au J.O. est celle du départ du convoi. Sources : Jean - Pierre Sauvage et Xavier Trochu. Mémorial des victimes de la persécution allemande en Loire Inférieure 1940 - 1945. Dé portés de la commu nauté juive. Bases de données | www.yadvashem.org https:// shoahpresquile.com https://yvng.yadvashem.org (feuille de témoignage) AD44 COTE liste 031 Mémorial de la Shoah - Musée et centre de documentation ... www.memorialdelashoah.org Ce document est la propriété de l'AFMD44 Fiche créée le 20/05/2017 modifiée le 21/07/2022 Ce document est la propriété de l'AFMD44
Fiche créée le 20/05/2017 modifiée le 21/07/2022 NOM, Prénom : AARON Suzette . Lucette sur M.S N° matricule : Date et lieu de Naissance : Suzette Aaron est née à Niederbronn les bains (Bas - Rhin) le14 avril 1924 , fille d'Emile et Lucie Aaron . Bio avant - guerre : Elle est s ans profession . Circonstances de l’arrestation : Elle est réfugiée à Pornic avec sa famille. Date et lieu de l’arrestation : Elle est arrêtée à P ornic lors de la raf le du 1 6 juillet 1942 avec toute sa famille. Parcours avant déportation : Elle est internée au Grand Séminaire à Angers. Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Elle est d éportée à Auschwitz par le convoi n° 08 parti d’A ngers le 20 juillet 1942. Ce transport est constitué de 824 personnes ; 23 sont assassinées dans la chambre à gaz à leur arrivée. 411 hommes reçoivent les matricules 51015 à 51425, 390 femmes les numéros 10177 à 10566. Il reste 14 survivants, tous des hommes, à la libération. Date et lieu de décès : Elle meurt à Auschwitz. La date retenue au J.O. est celle du départ du convoi. Sources : Jean - Pierre Sauvage et Xavier Trochu. Mémorial des victimes de la persécution allemande en Loire Inférieure 1940 - 1945. Dé portés de la commu nauté juive. Bases de données | www.yadvashem.org https:// shoahpresquile.com https://yvng.yadvashem.org (feuille de témoignage) AD44 COTE liste 031 Mémorial de la Shoah - Musée et centre de documentation ... www.memorialdelashoah.org Ce document est la propriété de l'AFMD44 Fiche créée le 20/05/2017 modifiée le 21/07/2022 Ce document est la propriété de l'AFMD44
Fiche créée le 20/05/2017 modifiée le 21/07/2022 NOM, Prénom : AARON Suzette . Lucette sur M.S N° matricule : Date et lieu de Naissance : Suzette Aaron est née à Niederbronn les bains (Bas - Rhin) le14 avril 1924 , fille d'Emile et Lucie Aaron . Bio avant - guerre : Elle est s ans profession . Circonstances de l’arrestation : Elle est réfugiée à Pornic avec sa famille. Date et lieu de l’arrestation : Elle est arrêtée à P ornic lors de la raf le du 1 6 juillet 1942 avec toute sa famille. Parcours avant déportation : Elle est internée au Grand Séminaire à Angers. Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Elle est d éportée à Auschwitz par le convoi n° 08 parti d’A ngers le 20 juillet 1942. Ce transport est constitué de 824 personnes ; 23 sont assassinées dans la chambre à gaz à leur arrivée. 411 hommes reçoivent les matricules 51015 à 51425, 390 femmes les numéros 10177 à 10566. Il reste 14 survivants, tous des hommes, à la libération. Date et lieu de décès : Elle meurt à Auschwitz. La date retenue au J.O. est celle du départ du convoi. Sources : Jean - Pierre Sauvage et Xavier Trochu. Mémorial des victimes de la persécution allemande en Loire Inférieure 1940 - 1945. Dé portés de la commu nauté juive. Bases de données | www.yadvashem.org https:// shoahpresquile.com https://yvng.yadvashem.org (feuille de témoignage) AD44 COTE liste 031 Mémorial de la Shoah - Musée et centre de documentation ... www.memorialdelashoah.org Ce document est la propriété de l'AFMD44 Fiche créée le 20/05/2017 modifiée le 21/07/2022 Ce document est la propriété de l'AFMD44
Fiche créée le 20/05/2017 modifiée le 21/07/2022 NOM, Prénom : AARON Suzette . Lucette sur M.S N° matricule : Date et lieu de Naissance : Suzette Aaron est née à Niederbronn les bains (Bas - Rhin) le14 avril 1924 , fille d'Emile et Lucie Aaron . Bio avant - guerre : Elle est s ans profession . Circonstances de l’arrestation : Elle est réfugiée à Pornic avec sa famille. Date et lieu de l’arrestation : Elle est arrêtée à P ornic lors de la raf le du 1 6 juillet 1942 avec toute sa famille. Parcours avant déportation : Elle est internée au Grand Séminaire à Angers. Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Elle est d éportée à Auschwitz par le convoi n° 08 parti d’A ngers le 20 juillet 1942. Ce transport est constitué de 824 personnes ; 23 sont assassinées dans la chambre à gaz à leur arrivée. 411 hommes reçoivent les matricules 51015 à 51425, 390 femmes les numéros 10177 à 10566. Il reste 14 survivants, tous des hommes, à la libération. Date et lieu de décès : Elle meurt à Auschwitz. La date retenue au J.O. est celle du départ du convoi. Sources : Jean - Pierre Sauvage et Xavier Trochu. Mémorial des victimes de la persécution allemande en Loire Inférieure 1940 - 1945. Dé portés de la commu nauté juive. Bases de données | www.yadvashem.org https:// shoahpresquile.com https://yvng.yadvashem.org (feuille de témoignage) AD44 COTE liste 031 Mémorial de la Shoah - Musée et centre de documentation ... www.memorialdelashoah.org Ce document est la propriété de l'AFMD44 Fiche créée le 20/05/2017 modifiée le 21/07/2022 Ce document est la propriété de l'AFMD44
Nom, Prénom : ABRAHAM Louisette, Geneviève épouse PELLET N° matricule : 62798 à Ravensbrück Date et lieu de naissance : Louisette Abraham fille de Joseph Abraham et de Marguerite née Calleau, est née le 28 avril 1921 à Nantes Bio avant-guerre : Elle est monitrice d’éducation physique dans un lycée de Nantes. Activité dans la résistance : Louisette Abraham (Lou)est agent de liaison du réseau Ker à partir du 1er novembre 1942. Avec sa soeur et des camarades du sport elles fournissent les plans et les indications qui conduisent aux bombardements des usines de locomotives des Batignolles à Nantes. Du matériel radio est installé au domicile parental et une pièce de la maison prêtée pour des réunions clandestines. Lors d’une soirée où elles essayent d’obtenir des informations d’officiers allemands, Christiane Moreau surprend un échange de mots en allemand et s’aperçoit qu’elles sont infiltrées. Elle échappe de justesse à une arrestation et s'enfuit à Bordeaux. Elle est cachée par Marguerite Chabiron, pharmacienne à Verdelais en Gironde qui sera aussi déportée. Elle est arrêtée à la suite d’une dénonciation, avec sa soeur et Christiane Moreau en tentant de rejoindre les Forces Françaises Libres en passant par l’Espagne. Christiane Moreau « … Alors commence un périple long et compliqué qui nous mena des jours et des nuits à Redon, à Nantes, à Bordeaux, à Verdelais, dans les Landes […] Enfin une femme, Marguerite Epaud, présentée par des résistants, s’offrit à nous passer en Espagne – Elle devait nous vendre à la Gestapo et nous faire arrêter à Bordeaux le 11 mars 1944 […] Date et lieu d’arrestation : Elle est arrêtée le 11 mars 1944 à Bordeaux, Parcours dans les prisons françaises : Louisette Abraham est internée au Fort du Hâ le 11 mars, elle est transférée à la prison Jacques Cartier de Rennes le 30 mars 44 puis à Belfort le 1er août 1944 jusqu’au 1er septembre 44. Parcours en déportation : Elle est déportée de Belfort (liste I.282) le 01 septembre 1944. Le 04 septembre elle est enregistrée au camp de Ravensbrück. Elle est affectée le 25 octobre 1944 au kommando de Genshagen sous le matricule 7808. Elle travaille pour l’usine AEG. Atteinte de diphtérie, elle doit sa survie aux soins diligents d’une détenue russe, médecin de son état. Elle est affectée avec sa sœur Lucienne à un petit kommando sur un aérodrome de la banlieue berlinoise, Ludwigsfeld, puis le 17 avril 1945 c’est l’évacuation elle est dirigées vers le camp de Sachsenhausen, d’où elle repart le 21 avril 1945. Le 1er septembre 1944 tous les camps extérieurs de KZ furent rattachés administrativement au « camp principal » le plus proche, ici Sachsenhausen. Date et lieu de libération : Elle est libérée le 2 mai 1945. Rapatriée par Valenciennes le 23 mai 1945 par le train, avec escale à Paris, à l'hôtel Lutétia transformé en centre d'accueil. Louisette Abraham revient à Nantes le 5 juin 1945 Bio après-guerre : Elle épouse en décembre 1946 Paul Pellet, lyonnais résistant et déporté du réseau Marco Polo. Elle habite à Nantes. Louisette Abraham décède le 21 septembre 2019 à l'age de 98 ans. Sources : Livre mémorial de la Fondation pour la Mémoire de la Déportation (liste I.282). AD44 (248 J 12-13) Témoignage Mme Sébilleau- La Résistance en Bretagne. Page 108. Pour la mémoire d'Abraham de Jules Roman. page 37 Le 29 avril 2019 entretien téléphonique avec Mme Louisette Abraham Pellet. Dossier SHD Caen Fiches 40 R 442 et 27 P 6601 camp extérieur du kz Ravensbrück » daimler-benz à genshagen (1) Christiane Moreau
Nom, Prénom : ABRAHAM Louisette, Geneviève épouse PELLET N° matricule : 62798 à Ravensbrück Date et lieu de naissance : Louisette Abraham fille de Joseph Abraham et de Marguerite née Calleau, est née le 28 avril 1921 à Nantes Bio avant-guerre : Elle est monitrice d’éducation physique dans un lycée de Nantes. Activité dans la résistance : Louisette Abraham (Lou)est agent de liaison du réseau Ker à partir du 1er novembre 1942. Avec sa soeur et des camarades du sport elles fournissent les plans et les indications qui conduisent aux bombardements des usines de locomotives des Batignolles à Nantes. Du matériel radio est installé au domicile parental et une pièce de la maison prêtée pour des réunions clandestines. Lors d’une soirée où elles essayent d’obtenir des informations d’officiers allemands, Christiane Moreau surprend un échange de mots en allemand et s’aperçoit qu’elles sont infiltrées. Elle échappe de justesse à une arrestation et s'enfuit à Bordeaux. Elle est cachée par Marguerite Chabiron, pharmacienne à Verdelais en Gironde qui sera aussi déportée. Elle est arrêtée à la suite d’une dénonciation, avec sa soeur et Christiane Moreau en tentant de rejoindre les Forces Françaises Libres en passant par l’Espagne. Christiane Moreau « … Alors commence un périple long et compliqué qui nous mena des jours et des nuits à Redon, à Nantes, à Bordeaux, à Verdelais, dans les Landes […] Enfin une femme, Marguerite Epaud, présentée par des résistants, s’offrit à nous passer en Espagne – Elle devait nous vendre à la Gestapo et nous faire arrêter à Bordeaux le 11 mars 1944 […] Date et lieu d’arrestation : Elle est arrêtée le 11 mars 1944 à Bordeaux, Parcours dans les prisons françaises : Louisette Abraham est internée au Fort du Hâ le 11 mars, elle est transférée à la prison Jacques Cartier de Rennes le 30 mars 44 puis à Belfort le 1er août 1944 jusqu’au 1er septembre 44. Parcours en déportation : Elle est déportée de Belfort (liste I.282) le 01 septembre 1944. Le 04 septembre elle est enregistrée au camp de Ravensbrück. Elle est affectée le 25 octobre 1944 au kommando de Genshagen sous le matricule 7808. Elle travaille pour l’usine AEG. Atteinte de diphtérie, elle doit sa survie aux soins diligents d’une détenue russe, médecin de son état. Elle est affectée avec sa sœur Lucienne à un petit kommando sur un aérodrome de la banlieue berlinoise, Ludwigsfeld, puis le 17 avril 1945 c’est l’évacuation elle est dirigées vers le camp de Sachsenhausen, d’où elle repart le 21 avril 1945. Le 1er septembre 1944 tous les camps extérieurs de KZ furent rattachés administrativement au « camp principal » le plus proche, ici Sachsenhausen. Date et lieu de libération : Elle est libérée le 2 mai 1945. Rapatriée par Valenciennes le 23 mai 1945 par le train, avec escale à Paris, à l'hôtel Lutétia transformé en centre d'accueil. Louisette Abraham revient à Nantes le 5 juin 1945 Bio après-guerre : Elle épouse en décembre 1946 Paul Pellet, lyonnais résistant et déporté du réseau Marco Polo. Elle habite à Nantes. Louisette Abraham décède le 21 septembre 2019 à l'age de 98 ans. Sources : Livre mémorial de la Fondation pour la Mémoire de la Déportation (liste I.282). AD44 (248 J 12-13) Témoignage Mme Sébilleau- La Résistance en Bretagne. Page 108. Pour la mémoire d'Abraham de Jules Roman. page 37 Le 29 avril 2019 entretien téléphonique avec Mme Louisette Abraham Pellet. Dossier SHD Caen Fiches 40 R 442 et 27 P 6601 camp extérieur du kz Ravensbrück » daimler-benz à genshagen (1) Christiane Moreau
Nom, Prénom : ABRAHAM Louisette, Geneviève épouse PELLET N° matricule : 62798 à Ravensbrück Date et lieu de naissance : Louisette Abraham fille de Joseph Abraham et de Marguerite née Calleau, est née le 28 avril 1921 à Nantes Bio avant-guerre : Elle est monitrice d’éducation physique dans un lycée de Nantes. Activité dans la résistance : Louisette Abraham (Lou)est agent de liaison du réseau Ker à partir du 1er novembre 1942. Avec sa soeur et des camarades du sport elles fournissent les plans et les indications qui conduisent aux bombardements des usines de locomotives des Batignolles à Nantes. Du matériel radio est installé au domicile parental et une pièce de la maison prêtée pour des réunions clandestines. Lors d’une soirée où elles essayent d’obtenir des informations d’officiers allemands, Christiane Moreau surprend un échange de mots en allemand et s’aperçoit qu’elles sont infiltrées. Elle échappe de justesse à une arrestation et s'enfuit à Bordeaux. Elle est cachée par Marguerite Chabiron, pharmacienne à Verdelais en Gironde qui sera aussi déportée. Elle est arrêtée à la suite d’une dénonciation, avec sa soeur et Christiane Moreau en tentant de rejoindre les Forces Françaises Libres en passant par l’Espagne. Christiane Moreau « … Alors commence un périple long et compliqué qui nous mena des jours et des nuits à Redon, à Nantes, à Bordeaux, à Verdelais, dans les Landes […] Enfin une femme, Marguerite Epaud, présentée par des résistants, s’offrit à nous passer en Espagne – Elle devait nous vendre à la Gestapo et nous faire arrêter à Bordeaux le 11 mars 1944 […] Date et lieu d’arrestation : Elle est arrêtée le 11 mars 1944 à Bordeaux, Parcours dans les prisons françaises : Louisette Abraham est internée au Fort du Hâ le 11 mars, elle est transférée à la prison Jacques Cartier de Rennes le 30 mars 44 puis à Belfort le 1er août 1944 jusqu’au 1er septembre 44. Parcours en déportation : Elle est déportée de Belfort (liste I.282) le 01 septembre 1944. Le 04 septembre elle est enregistrée au camp de Ravensbrück. Elle est affectée le 25 octobre 1944 au kommando de Genshagen sous le matricule 7808. Elle travaille pour l’usine AEG. Atteinte de diphtérie, elle doit sa survie aux soins diligents d’une détenue russe, médecin de son état. Elle est affectée avec sa sœur Lucienne à un petit kommando sur un aérodrome de la banlieue berlinoise, Ludwigsfeld, puis le 17 avril 1945 c’est l’évacuation elle est dirigées vers le camp de Sachsenhausen, d’où elle repart le 21 avril 1945. Le 1er septembre 1944 tous les camps extérieurs de KZ furent rattachés administrativement au « camp principal » le plus proche, ici Sachsenhausen. Date et lieu de libération : Elle est libérée le 2 mai 1945. Rapatriée par Valenciennes le 23 mai 1945 par le train, avec escale à Paris, à l'hôtel Lutétia transformé en centre d'accueil. Louisette Abraham revient à Nantes le 5 juin 1945 Bio après-guerre : Elle épouse en décembre 1946 Paul Pellet, lyonnais résistant et déporté du réseau Marco Polo. Elle habite à Nantes. Louisette Abraham décède le 21 septembre 2019 à l'age de 98 ans. Sources : Livre mémorial de la Fondation pour la Mémoire de la Déportation (liste I.282). AD44 (248 J 12-13) Témoignage Mme Sébilleau- La Résistance en Bretagne. Page 108. Pour la mémoire d'Abraham de Jules Roman. page 37 Le 29 avril 2019 entretien téléphonique avec Mme Louisette Abraham Pellet. Dossier SHD Caen Fiches 40 R 442 et 27 P 6601 camp extérieur du kz Ravensbrück » daimler-benz à genshagen (1) Christiane Moreau
Nom, Prénom : ABRAHAM Louisette, Geneviève épouse PELLET N° matricule : 62798 à Ravensbrück Date et lieu de naissance : Louisette Abraham fille de Joseph Abraham et de Marguerite née Calleau, est née le 28 avril 1921 à Nantes Bio avant-guerre : Elle est monitrice d’éducation physique dans un lycée de Nantes. Activité dans la résistance : Louisette Abraham (Lou)est agent de liaison du réseau Ker à partir du 1er novembre 1942. Avec sa soeur et des camarades du sport elles fournissent les plans et les indications qui conduisent aux bombardements des usines de locomotives des Batignolles à Nantes. Du matériel radio est installé au domicile parental et une pièce de la maison prêtée pour des réunions clandestines. Lors d’une soirée où elles essayent d’obtenir des informations d’officiers allemands, Christiane Moreau surprend un échange de mots en allemand et s’aperçoit qu’elles sont infiltrées. Elle échappe de justesse à une arrestation et s'enfuit à Bordeaux. Elle est cachée par Marguerite Chabiron, pharmacienne à Verdelais en Gironde qui sera aussi déportée. Elle est arrêtée à la suite d’une dénonciation, avec sa soeur et Christiane Moreau en tentant de rejoindre les Forces Françaises Libres en passant par l’Espagne. Christiane Moreau « … Alors commence un périple long et compliqué qui nous mena des jours et des nuits à Redon, à Nantes, à Bordeaux, à Verdelais, dans les Landes […] Enfin une femme, Marguerite Epaud, présentée par des résistants, s’offrit à nous passer en Espagne – Elle devait nous vendre à la Gestapo et nous faire arrêter à Bordeaux le 11 mars 1944 […] Date et lieu d’arrestation : Elle est arrêtée le 11 mars 1944 à Bordeaux, Parcours dans les prisons françaises : Louisette Abraham est internée au Fort du Hâ le 11 mars, elle est transférée à la prison Jacques Cartier de Rennes le 30 mars 44 puis à Belfort le 1er août 1944 jusqu’au 1er septembre 44. Parcours en déportation : Elle est déportée de Belfort (liste I.282) le 01 septembre 1944. Le 04 septembre elle est enregistrée au camp de Ravensbrück. Elle est affectée le 25 octobre 1944 au kommando de Genshagen sous le matricule 7808. Elle travaille pour l’usine AEG. Atteinte de diphtérie, elle doit sa survie aux soins diligents d’une détenue russe, médecin de son état. Elle est affectée avec sa sœur Lucienne à un petit kommando sur un aérodrome de la banlieue berlinoise, Ludwigsfeld, puis le 17 avril 1945 c’est l’évacuation elle est dirigées vers le camp de Sachsenhausen, d’où elle repart le 21 avril 1945. Le 1er septembre 1944 tous les camps extérieurs de KZ furent rattachés administrativement au « camp principal » le plus proche, ici Sachsenhausen. Date et lieu de libération : Elle est libérée le 2 mai 1945. Rapatriée par Valenciennes le 23 mai 1945 par le train, avec escale à Paris, à l'hôtel Lutétia transformé en centre d'accueil. Louisette Abraham revient à Nantes le 5 juin 1945 Bio après-guerre : Elle épouse en décembre 1946 Paul Pellet, lyonnais résistant et déporté du réseau Marco Polo. Elle habite à Nantes. Louisette Abraham décède le 21 septembre 2019 à l'age de 98 ans. Sources : Livre mémorial de la Fondation pour la Mémoire de la Déportation (liste I.282). AD44 (248 J 12-13) Témoignage Mme Sébilleau- La Résistance en Bretagne. Page 108. Pour la mémoire d'Abraham de Jules Roman. page 37 Le 29 avril 2019 entretien téléphonique avec Mme Louisette Abraham Pellet. Dossier SHD Caen Fiches 40 R 442 et 27 P 6601 camp extérieur du kz Ravensbrück » daimler-benz à genshagen (1) Christiane Moreau
Nom, Prénom : ABRAHAM Louisette, Geneviève épouse PELLET N° matricule : 62798 à Ravensbrück Date et lieu de naissance : Louisette Abraham fille de Joseph Abraham et de Marguerite née Calleau, est née le 28 avril 1921 à Nantes Bio avant-guerre : Elle est monitrice d’éducation physique dans un lycée de Nantes. Activité dans la résistance : Louisette Abraham (Lou)est agent de liaison du réseau Ker à partir du 1er novembre 1942. Avec sa soeur et des camarades du sport elles fournissent les plans et les indications qui conduisent aux bombardements des usines de locomotives des Batignolles à Nantes. Du matériel radio est installé au domicile parental et une pièce de la maison prêtée pour des réunions clandestines. Lors d’une soirée où elles essayent d’obtenir des informations d’officiers allemands, Christiane Moreau surprend un échange de mots en allemand et s’aperçoit qu’elles sont infiltrées. Elle échappe de justesse à une arrestation et s'enfuit à Bordeaux. Elle est cachée par Marguerite Chabiron, pharmacienne à Verdelais en Gironde qui sera aussi déportée. Elle est arrêtée à la suite d’une dénonciation, avec sa soeur et Christiane Moreau en tentant de rejoindre les Forces Françaises Libres en passant par l’Espagne. Christiane Moreau « … Alors commence un périple long et compliqué qui nous mena des jours et des nuits à Redon, à Nantes, à Bordeaux, à Verdelais, dans les Landes […] Enfin une femme, Marguerite Epaud, présentée par des résistants, s’offrit à nous passer en Espagne – Elle devait nous vendre à la Gestapo et nous faire arrêter à Bordeaux le 11 mars 1944 […] Date et lieu d’arrestation : Elle est arrêtée le 11 mars 1944 à Bordeaux, Parcours dans les prisons françaises : Louisette Abraham est internée au Fort du Hâ le 11 mars, elle est transférée à la prison Jacques Cartier de Rennes le 30 mars 44 puis à Belfort le 1er août 1944 jusqu’au 1er septembre 44. Parcours en déportation : Elle est déportée de Belfort (liste I.282) le 01 septembre 1944. Le 04 septembre elle est enregistrée au camp de Ravensbrück. Elle est affectée le 25 octobre 1944 au kommando de Genshagen sous le matricule 7808. Elle travaille pour l’usine AEG. Atteinte de diphtérie, elle doit sa survie aux soins diligents d’une détenue russe, médecin de son état. Elle est affectée avec sa sœur Lucienne à un petit kommando sur un aérodrome de la banlieue berlinoise, Ludwigsfeld, puis le 17 avril 1945 c’est l’évacuation elle est dirigées vers le camp de Sachsenhausen, d’où elle repart le 21 avril 1945. Le 1er septembre 1944 tous les camps extérieurs de KZ furent rattachés administrativement au « camp principal » le plus proche, ici Sachsenhausen. Date et lieu de libération : Elle est libérée le 2 mai 1945. Rapatriée par Valenciennes le 23 mai 1945 par le train, avec escale à Paris, à l'hôtel Lutétia transformé en centre d'accueil. Louisette Abraham revient à Nantes le 5 juin 1945 Bio après-guerre : Elle épouse en décembre 1946 Paul Pellet, lyonnais résistant et déporté du réseau Marco Polo. Elle habite à Nantes. Louisette Abraham décède le 21 septembre 2019 à l'age de 98 ans. Sources : Livre mémorial de la Fondation pour la Mémoire de la Déportation (liste I.282). AD44 (248 J 12-13) Témoignage Mme Sébilleau- La Résistance en Bretagne. Page 108. Pour la mémoire d'Abraham de Jules Roman. page 37 Le 29 avril 2019 entretien téléphonique avec Mme Louisette Abraham Pellet. Dossier SHD Caen Fiches 40 R 442 et 27 P 6601 camp extérieur du kz Ravensbrück » daimler-benz à genshagen (1) Christiane Moreau
31/01/2025
ABRAHAM
Lucienne
Nom, Prénom : ABRAHAM Lucienne N° matricule 62792 à Ravensbrück Date et lieu de naissance : Lucienne Abraham, fille de joseph Abraham et de Marguerite née Calleau, est née le 24 avril 1918 à Saint-Flaives-des-Loups (85) Bio avant-guerre : Elle est professeur au lycée V. Duruy à Paris. Activité dans la résistance : Agent de liaison P2 (réseau Ker) depuis novembre1942 en mission. Elle s’engage dans la résistance et dans la recherche de renseignements. Avec sa soeur Louisette et des camarades sportives de Nantes elles fournissent les plans et les indications qui conduisent aux bombardements des usines de locomotives des Batignolles à Nantes. Au domicile de ses parents, rue de la Contrie « Villa Marguerite » qui fournissent un local gratuit pour des réunions d’un groupe de clandestins, elle transporte du matériel radio en vue des réceptions et émissions de postes clandestins. Lors d’une soirée où elles essayent d’obtenir des informations d’officiers allemands, Christiane Moreau surprend un échange de mots en allemand et s’aperçoit qu’elles sont infiltrées. Pour échapper de justesse à l'arrestation, elle s'enfuit à Bordeaux. Elle est cachée par Marguerite Chabiron, pharmacienne à Verdelais en Gironde qui sera également déportée. Elle est arrêtée avec sa soeur Louisette Abraham et Christiane Moreau. Elles ont été dénoncées par la passeuse qui devait les conduire à la frontière espagnole pour rejoindre les FFL. Hervé Padioleau (1) « … Alors commence un périple long et compliqué qui nous mena des jours et des nuits à Redon, à Nantes, à Bordeaux, à Verdelais, dans les Landes […] Enfin une femme, Marguerite Epaud, présentée par des résistants, s’offrit à nous passer en Espagne – Elle devait nous vendre à la Gestapo et nous faire arrêter à Bordeaux le 11 mars 1944 […] Date et lieu d’arrestation : Elle est arrêtée le 11 mars 1944 à Bordeaux par les autorités allemandes Parcours dans les prisons françaises : Elle esr internée au Fort du Hâ à Bordeaux du 11 mars au 29 mars 1944, elle est transférée le 29 mars à la prison Jacques Cartier de Rennes jusqu’au 02 aout 1944, à cette date elle est transférée sur Belfort. Parcours en déportation : Elle est dans le convoi parti de Rennes le 2 août 1944 en direction de Belfort d’où elle est déportée le 1er septembre vers le KL Ravensbrück où elle entre le 04 septembre. (Matricule 62792). Elle est affectée au Kommando de Genshagen (matricule 7807), du 25 octobre 1944 jusqu’au 17 avril 1945. Le 17 avril elle entre au camp de Sachsenhausen. Jean Luc Belanger : Lucienne Abraham -« Les femmes du KZ, comme bien d’autres concentrationnaires, ont subi l’évacuation à pied, la « marche de la mort ». Deux jours avant, les concentrationnaires durent se déshabiller entièrement, on leur distribua les uniformes neufs qui étaient stockés dans le camp, et leurs hardes usées jusqu’à la corde furent brûlées, en même temps que la majeure partie des documents et des archives du camp. Le 17 avril 1945 elles durent prendre la route, d’abord jusqu’à Berlin, qu’elles traversèrent ensuite en métro(S-Bahn) pour atteindre Sachsenhausen, où elles passèrent 48 heures. » Date et lieu de libération : Lucienne Abraham est libérée le 3 mai 1945. Elle est rapatriée le 29 mai à Paris, à l'hôtel Lutétia, transformé en centre d'accueil pour les déporté.es. Bio après-guerre : Homologuée au grade de sous-lieutenant. Sources Livre-Mémorial de la Fondation pour la Mémoire de la Déportation. Service historique de la Défense, Caen SHD/ AC 21 P 659723 AD44 (248 J 12-13) Témoignage Mme. Sébilleau- La Résistance en Bretagne. Page 108. Pour la mémoire d'Abraham de Jules Roman. Page 37 Christiane Moreau - Nantes Patrimonia Hervé Padolieau Fiche modifiée le 02/11/2024
Nom, Prénom : ABRAHAM Lucienne N° matricule 62792 à Ravensbrück Date et lieu de naissance : Lucienne Abraham, fille de joseph Abraham et de Marguerite née Calleau, est née le 24 avril 1918 à Saint-Flaives-des-Loups (85) Bio avant-guerre : Elle est professeur au lycée V. Duruy à Paris. Activité dans la résistance : Agent de liaison P2 (réseau Ker) depuis novembre1942 en mission. Elle s’engage dans la résistance et dans la recherche de renseignements. Avec sa soeur Louisette et des camarades sportives de Nantes elles fournissent les plans et les indications qui conduisent aux bombardements des usines de locomotives des Batignolles à Nantes. Au domicile de ses parents, rue de la Contrie « Villa Marguerite » qui fournissent un local gratuit pour des réunions d’un groupe de clandestins, elle transporte du matériel radio en vue des réceptions et émissions de postes clandestins. Lors d’une soirée où elles essayent d’obtenir des informations d’officiers allemands, Christiane Moreau surprend un échange de mots en allemand et s’aperçoit qu’elles sont infiltrées. Pour échapper de justesse à l'arrestation, elle s'enfuit à Bordeaux. Elle est cachée par Marguerite Chabiron, pharmacienne à Verdelais en Gironde qui sera également déportée. Elle est arrêtée avec sa soeur Louisette Abraham et Christiane Moreau. Elles ont été dénoncées par la passeuse qui devait les conduire à la frontière espagnole pour rejoindre les FFL. Hervé Padioleau (1) « … Alors commence un périple long et compliqué qui nous mena des jours et des nuits à Redon, à Nantes, à Bordeaux, à Verdelais, dans les Landes […] Enfin une femme, Marguerite Epaud, présentée par des résistants, s’offrit à nous passer en Espagne – Elle devait nous vendre à la Gestapo et nous faire arrêter à Bordeaux le 11 mars 1944 […] Date et lieu d’arrestation : Elle est arrêtée le 11 mars 1944 à Bordeaux par les autorités allemandes Parcours dans les prisons françaises : Elle esr internée au Fort du Hâ à Bordeaux du 11 mars au 29 mars 1944, elle est transférée le 29 mars à la prison Jacques Cartier de Rennes jusqu’au 02 aout 1944, à cette date elle est transférée sur Belfort. Parcours en déportation : Elle est dans le convoi parti de Rennes le 2 août 1944 en direction de Belfort d’où elle est déportée le 1er septembre vers le KL Ravensbrück où elle entre le 04 septembre. (Matricule 62792). Elle est affectée au Kommando de Genshagen (matricule 7807), du 25 octobre 1944 jusqu’au 17 avril 1945. Le 17 avril elle entre au camp de Sachsenhausen. Jean Luc Belanger : Lucienne Abraham -« Les femmes du KZ, comme bien d’autres concentrationnaires, ont subi l’évacuation à pied, la « marche de la mort ». Deux jours avant, les concentrationnaires durent se déshabiller entièrement, on leur distribua les uniformes neufs qui étaient stockés dans le camp, et leurs hardes usées jusqu’à la corde furent brûlées, en même temps que la majeure partie des documents et des archives du camp. Le 17 avril 1945 elles durent prendre la route, d’abord jusqu’à Berlin, qu’elles traversèrent ensuite en métro(S-Bahn) pour atteindre Sachsenhausen, où elles passèrent 48 heures. » Date et lieu de libération : Lucienne Abraham est libérée le 3 mai 1945. Elle est rapatriée le 29 mai à Paris, à l'hôtel Lutétia, transformé en centre d'accueil pour les déporté.es. Bio après-guerre : Homologuée au grade de sous-lieutenant. Sources Livre-Mémorial de la Fondation pour la Mémoire de la Déportation. Service historique de la Défense, Caen SHD/ AC 21 P 659723 AD44 (248 J 12-13) Témoignage Mme. Sébilleau- La Résistance en Bretagne. Page 108. Pour la mémoire d'Abraham de Jules Roman. Page 37 Christiane Moreau - Nantes Patrimonia Hervé Padolieau Fiche modifiée le 02/11/2024
Nom, Prénom : ABRAHAM Lucienne N° matricule 62792 à Ravensbrück Date et lieu de naissance : Lucienne Abraham, fille de joseph Abraham et de Marguerite née Calleau, est née le 24 avril 1918 à Saint-Flaives-des-Loups (85) Bio avant-guerre : Elle est professeur au lycée V. Duruy à Paris. Activité dans la résistance : Agent de liaison P2 (réseau Ker) depuis novembre1942 en mission. Elle s’engage dans la résistance et dans la recherche de renseignements. Avec sa soeur Louisette et des camarades sportives de Nantes elles fournissent les plans et les indications qui conduisent aux bombardements des usines de locomotives des Batignolles à Nantes. Au domicile de ses parents, rue de la Contrie « Villa Marguerite » qui fournissent un local gratuit pour des réunions d’un groupe de clandestins, elle transporte du matériel radio en vue des réceptions et émissions de postes clandestins. Lors d’une soirée où elles essayent d’obtenir des informations d’officiers allemands, Christiane Moreau surprend un échange de mots en allemand et s’aperçoit qu’elles sont infiltrées. Pour échapper de justesse à l'arrestation, elle s'enfuit à Bordeaux. Elle est cachée par Marguerite Chabiron, pharmacienne à Verdelais en Gironde qui sera également déportée. Elle est arrêtée avec sa soeur Louisette Abraham et Christiane Moreau. Elles ont été dénoncées par la passeuse qui devait les conduire à la frontière espagnole pour rejoindre les FFL. Hervé Padioleau (1) « … Alors commence un périple long et compliqué qui nous mena des jours et des nuits à Redon, à Nantes, à Bordeaux, à Verdelais, dans les Landes […] Enfin une femme, Marguerite Epaud, présentée par des résistants, s’offrit à nous passer en Espagne – Elle devait nous vendre à la Gestapo et nous faire arrêter à Bordeaux le 11 mars 1944 […] Date et lieu d’arrestation : Elle est arrêtée le 11 mars 1944 à Bordeaux par les autorités allemandes Parcours dans les prisons françaises : Elle esr internée au Fort du Hâ à Bordeaux du 11 mars au 29 mars 1944, elle est transférée le 29 mars à la prison Jacques Cartier de Rennes jusqu’au 02 aout 1944, à cette date elle est transférée sur Belfort. Parcours en déportation : Elle est dans le convoi parti de Rennes le 2 août 1944 en direction de Belfort d’où elle est déportée le 1er septembre vers le KL Ravensbrück où elle entre le 04 septembre. (Matricule 62792). Elle est affectée au Kommando de Genshagen (matricule 7807), du 25 octobre 1944 jusqu’au 17 avril 1945. Le 17 avril elle entre au camp de Sachsenhausen. Jean Luc Belanger : Lucienne Abraham -« Les femmes du KZ, comme bien d’autres concentrationnaires, ont subi l’évacuation à pied, la « marche de la mort ». Deux jours avant, les concentrationnaires durent se déshabiller entièrement, on leur distribua les uniformes neufs qui étaient stockés dans le camp, et leurs hardes usées jusqu’à la corde furent brûlées, en même temps que la majeure partie des documents et des archives du camp. Le 17 avril 1945 elles durent prendre la route, d’abord jusqu’à Berlin, qu’elles traversèrent ensuite en métro(S-Bahn) pour atteindre Sachsenhausen, où elles passèrent 48 heures. » Date et lieu de libération : Lucienne Abraham est libérée le 3 mai 1945. Elle est rapatriée le 29 mai à Paris, à l'hôtel Lutétia, transformé en centre d'accueil pour les déporté.es. Bio après-guerre : Homologuée au grade de sous-lieutenant. Sources Livre-Mémorial de la Fondation pour la Mémoire de la Déportation. Service historique de la Défense, Caen SHD/ AC 21 P 659723 AD44 (248 J 12-13) Témoignage Mme. Sébilleau- La Résistance en Bretagne. Page 108. Pour la mémoire d'Abraham de Jules Roman. Page 37 Christiane Moreau - Nantes Patrimonia Hervé Padolieau Fiche modifiée le 02/11/2024
Nom, Prénom : ABRAHAM Lucienne N° matricule 62792 à Ravensbrück Date et lieu de naissance : Lucienne Abraham, fille de joseph Abraham et de Marguerite née Calleau, est née le 24 avril 1918 à Saint-Flaives-des-Loups (85) Bio avant-guerre : Elle est professeur au lycée V. Duruy à Paris. Activité dans la résistance : Agent de liaison P2 (réseau Ker) depuis novembre1942 en mission. Elle s’engage dans la résistance et dans la recherche de renseignements. Avec sa soeur Louisette et des camarades sportives de Nantes elles fournissent les plans et les indications qui conduisent aux bombardements des usines de locomotives des Batignolles à Nantes. Au domicile de ses parents, rue de la Contrie « Villa Marguerite » qui fournissent un local gratuit pour des réunions d’un groupe de clandestins, elle transporte du matériel radio en vue des réceptions et émissions de postes clandestins. Lors d’une soirée où elles essayent d’obtenir des informations d’officiers allemands, Christiane Moreau surprend un échange de mots en allemand et s’aperçoit qu’elles sont infiltrées. Pour échapper de justesse à l'arrestation, elle s'enfuit à Bordeaux. Elle est cachée par Marguerite Chabiron, pharmacienne à Verdelais en Gironde qui sera également déportée. Elle est arrêtée avec sa soeur Louisette Abraham et Christiane Moreau. Elles ont été dénoncées par la passeuse qui devait les conduire à la frontière espagnole pour rejoindre les FFL. Hervé Padioleau (1) « … Alors commence un périple long et compliqué qui nous mena des jours et des nuits à Redon, à Nantes, à Bordeaux, à Verdelais, dans les Landes […] Enfin une femme, Marguerite Epaud, présentée par des résistants, s’offrit à nous passer en Espagne – Elle devait nous vendre à la Gestapo et nous faire arrêter à Bordeaux le 11 mars 1944 […] Date et lieu d’arrestation : Elle est arrêtée le 11 mars 1944 à Bordeaux par les autorités allemandes Parcours dans les prisons françaises : Elle esr internée au Fort du Hâ à Bordeaux du 11 mars au 29 mars 1944, elle est transférée le 29 mars à la prison Jacques Cartier de Rennes jusqu’au 02 aout 1944, à cette date elle est transférée sur Belfort. Parcours en déportation : Elle est dans le convoi parti de Rennes le 2 août 1944 en direction de Belfort d’où elle est déportée le 1er septembre vers le KL Ravensbrück où elle entre le 04 septembre. (Matricule 62792). Elle est affectée au Kommando de Genshagen (matricule 7807), du 25 octobre 1944 jusqu’au 17 avril 1945. Le 17 avril elle entre au camp de Sachsenhausen. Jean Luc Belanger : Lucienne Abraham -« Les femmes du KZ, comme bien d’autres concentrationnaires, ont subi l’évacuation à pied, la « marche de la mort ». Deux jours avant, les concentrationnaires durent se déshabiller entièrement, on leur distribua les uniformes neufs qui étaient stockés dans le camp, et leurs hardes usées jusqu’à la corde furent brûlées, en même temps que la majeure partie des documents et des archives du camp. Le 17 avril 1945 elles durent prendre la route, d’abord jusqu’à Berlin, qu’elles traversèrent ensuite en métro(S-Bahn) pour atteindre Sachsenhausen, où elles passèrent 48 heures. » Date et lieu de libération : Lucienne Abraham est libérée le 3 mai 1945. Elle est rapatriée le 29 mai à Paris, à l'hôtel Lutétia, transformé en centre d'accueil pour les déporté.es. Bio après-guerre : Homologuée au grade de sous-lieutenant. Sources Livre-Mémorial de la Fondation pour la Mémoire de la Déportation. Service historique de la Défense, Caen SHD/ AC 21 P 659723 AD44 (248 J 12-13) Témoignage Mme. Sébilleau- La Résistance en Bretagne. Page 108. Pour la mémoire d'Abraham de Jules Roman. Page 37 Christiane Moreau - Nantes Patrimonia Hervé Padolieau Fiche modifiée le 02/11/2024
Nom, Prénom : ABRAHAM Lucienne N° matricule 62792 à Ravensbrück Date et lieu de naissance : Lucienne Abraham, fille de joseph Abraham et de Marguerite née Calleau, est née le 24 avril 1918 à Saint-Flaives-des-Loups (85) Bio avant-guerre : Elle est professeur au lycée V. Duruy à Paris. Activité dans la résistance : Agent de liaison P2 (réseau Ker) depuis novembre1942 en mission. Elle s’engage dans la résistance et dans la recherche de renseignements. Avec sa soeur Louisette et des camarades sportives de Nantes elles fournissent les plans et les indications qui conduisent aux bombardements des usines de locomotives des Batignolles à Nantes. Au domicile de ses parents, rue de la Contrie « Villa Marguerite » qui fournissent un local gratuit pour des réunions d’un groupe de clandestins, elle transporte du matériel radio en vue des réceptions et émissions de postes clandestins. Lors d’une soirée où elles essayent d’obtenir des informations d’officiers allemands, Christiane Moreau surprend un échange de mots en allemand et s’aperçoit qu’elles sont infiltrées. Pour échapper de justesse à l'arrestation, elle s'enfuit à Bordeaux. Elle est cachée par Marguerite Chabiron, pharmacienne à Verdelais en Gironde qui sera également déportée. Elle est arrêtée avec sa soeur Louisette Abraham et Christiane Moreau. Elles ont été dénoncées par la passeuse qui devait les conduire à la frontière espagnole pour rejoindre les FFL. Hervé Padioleau (1) « … Alors commence un périple long et compliqué qui nous mena des jours et des nuits à Redon, à Nantes, à Bordeaux, à Verdelais, dans les Landes […] Enfin une femme, Marguerite Epaud, présentée par des résistants, s’offrit à nous passer en Espagne – Elle devait nous vendre à la Gestapo et nous faire arrêter à Bordeaux le 11 mars 1944 […] Date et lieu d’arrestation : Elle est arrêtée le 11 mars 1944 à Bordeaux par les autorités allemandes Parcours dans les prisons françaises : Elle esr internée au Fort du Hâ à Bordeaux du 11 mars au 29 mars 1944, elle est transférée le 29 mars à la prison Jacques Cartier de Rennes jusqu’au 02 aout 1944, à cette date elle est transférée sur Belfort. Parcours en déportation : Elle est dans le convoi parti de Rennes le 2 août 1944 en direction de Belfort d’où elle est déportée le 1er septembre vers le KL Ravensbrück où elle entre le 04 septembre. (Matricule 62792). Elle est affectée au Kommando de Genshagen (matricule 7807), du 25 octobre 1944 jusqu’au 17 avril 1945. Le 17 avril elle entre au camp de Sachsenhausen. Jean Luc Belanger : Lucienne Abraham -« Les femmes du KZ, comme bien d’autres concentrationnaires, ont subi l’évacuation à pied, la « marche de la mort ». Deux jours avant, les concentrationnaires durent se déshabiller entièrement, on leur distribua les uniformes neufs qui étaient stockés dans le camp, et leurs hardes usées jusqu’à la corde furent brûlées, en même temps que la majeure partie des documents et des archives du camp. Le 17 avril 1945 elles durent prendre la route, d’abord jusqu’à Berlin, qu’elles traversèrent ensuite en métro(S-Bahn) pour atteindre Sachsenhausen, où elles passèrent 48 heures. » Date et lieu de libération : Lucienne Abraham est libérée le 3 mai 1945. Elle est rapatriée le 29 mai à Paris, à l'hôtel Lutétia, transformé en centre d'accueil pour les déporté.es. Bio après-guerre : Homologuée au grade de sous-lieutenant. Sources Livre-Mémorial de la Fondation pour la Mémoire de la Déportation. Service historique de la Défense, Caen SHD/ AC 21 P 659723 AD44 (248 J 12-13) Témoignage Mme. Sébilleau- La Résistance en Bretagne. Page 108. Pour la mémoire d'Abraham de Jules Roman. Page 37 Christiane Moreau - Nantes Patrimonia Hervé Padolieau Fiche modifiée le 02/11/2024
31/01/2025
ABRAHAM
Marguerite
Nom, Prénom : ABRAHAM Marguerite, née Calleau N° matricule : 79916 Ravensbrück Date et lieu de naissance : Marguerite Calleau, fille de Charles Calleau et de Ernestine née Fradin, est née le 17 mai 1898 à Saint-Flaives-des-Loups (85) Bio avant-guerre : Sans profession. Elle habite 18 route de la Contrie à Nantes. Elle est l’épouse de Joseph Abraham. Ils sont parents de deux filles Lucienne et Louisette. Activité dans la résistance : Marguerite Abraham est membre du réseau Ker depuis le 01 novembre 1942. A son domicile elle héberge un radio et son matériel radio. Elle met à disposition un local pour des réunions clandestines. Circonstance de l’arrestation : L’opérateur radio a conduit les autorités allemandes au domicile de la famille Abraham. Date et lieu d’arrestation : Elle est arrêtée à son domicile le 15 avril 1943 à Nantes. Parcours dans les prisons françaises : Marguerite Abraham est internée à la prison de Nantes du 17 avril jusqu’au 26 mai 1943, elle est transférée à Rennes du 27 mai au 6 septembre 1943, puis à Fresnes du 7 septembre au 17 février 1944 Parcours en déportation : Elle est déportée le 17 février 1944 (convoi I.183) à la prison d’Aix la Chapelle, puis à Lauban le 20 février. Le 18 octobre 1944 elle arrive au camp de Ravensbrück (déportée « NN »), jusqu’au 4 mars 1945. Elle est transférée à Mauthausen (matricule 1154) le 7 mars, elle est affectée au Kommando SIEDLUNGSBAU (« Kommando de construction de lotissement ») jusqu’au 22 avril 1945. Date de libération : Marguerite Abraham est libérée par la Croix-Rouge à la frontière suisse le 22 avril 1945. « Le centre de rapatriement d’Annecy (Haute-Savoie) accueille la majorité des femmes jugées aptes à poursuivre la route jusqu’en France : au moins 310 passent par ce centre de rapatriement, presque toutes entre le 25 et le 29 avril 1945. Quelques dizaines d’autres sont rapatriées par le centre d’Annemasse, également en Haute-Savoie, majoritairement le 3 mai 1945. » Lieu de rapatriement : ANNECY, le 25 avril 1945 Elle revient à Nantes le 5 juin 1945. Bio après-guerre Marguerite Abraham Marguerite Abraham décède à Nantes le 09 janvier 1983 Sources : Livre-Mémorial de la Fondation pour la Mémoire de la Déportation. AD44 (248 J 12-13; 1305 W 42) SHD Caen Dossier 21P 695 393 INSEE fichier 1983, ligne n°452781 Fiche modifiée le 02/11/2024 Les femmes détenues à Mauthausen Monument Mauthausen III https://monument-mauthausen.org › les-femmes-dans-le-...
Nom, Prénom : ABRAHAM Marguerite, née Calleau N° matricule : 79916 Ravensbrück Date et lieu de naissance : Marguerite Calleau, fille de Charles Calleau et de Ernestine née Fradin, est née le 17 mai 1898 à Saint-Flaives-des-Loups (85) Bio avant-guerre : Sans profession. Elle habite 18 route de la Contrie à Nantes. Elle est l’épouse de Joseph Abraham. Ils sont parents de deux filles Lucienne et Louisette. Activité dans la résistance : Marguerite Abraham est membre du réseau Ker depuis le 01 novembre 1942. A son domicile elle héberge un radio et son matériel radio. Elle met à disposition un local pour des réunions clandestines. Circonstance de l’arrestation : L’opérateur radio a conduit les autorités allemandes au domicile de la famille Abraham. Date et lieu d’arrestation : Elle est arrêtée à son domicile le 15 avril 1943 à Nantes. Parcours dans les prisons françaises : Marguerite Abraham est internée à la prison de Nantes du 17 avril jusqu’au 26 mai 1943, elle est transférée à Rennes du 27 mai au 6 septembre 1943, puis à Fresnes du 7 septembre au 17 février 1944 Parcours en déportation : Elle est déportée le 17 février 1944 (convoi I.183) à la prison d’Aix la Chapelle, puis à Lauban le 20 février. Le 18 octobre 1944 elle arrive au camp de Ravensbrück (déportée « NN »), jusqu’au 4 mars 1945. Elle est transférée à Mauthausen (matricule 1154) le 7 mars, elle est affectée au Kommando SIEDLUNGSBAU (« Kommando de construction de lotissement ») jusqu’au 22 avril 1945. Date de libération : Marguerite Abraham est libérée par la Croix-Rouge à la frontière suisse le 22 avril 1945. « Le centre de rapatriement d’Annecy (Haute-Savoie) accueille la majorité des femmes jugées aptes à poursuivre la route jusqu’en France : au moins 310 passent par ce centre de rapatriement, presque toutes entre le 25 et le 29 avril 1945. Quelques dizaines d’autres sont rapatriées par le centre d’Annemasse, également en Haute-Savoie, majoritairement le 3 mai 1945. » Lieu de rapatriement : ANNECY, le 25 avril 1945 Elle revient à Nantes le 5 juin 1945. Bio après-guerre Marguerite Abraham Marguerite Abraham décède à Nantes le 09 janvier 1983 Sources : Livre-Mémorial de la Fondation pour la Mémoire de la Déportation. AD44 (248 J 12-13; 1305 W 42) SHD Caen Dossier 21P 695 393 INSEE fichier 1983, ligne n°452781 Fiche modifiée le 02/11/2024 Les femmes détenues à Mauthausen Monument Mauthausen III https://monument-mauthausen.org › les-femmes-dans-le-...
Nom, Prénom : ABRAHAM Marguerite, née Calleau N° matricule : 79916 Ravensbrück Date et lieu de naissance : Marguerite Calleau, fille de Charles Calleau et de Ernestine née Fradin, est née le 17 mai 1898 à Saint-Flaives-des-Loups (85) Bio avant-guerre : Sans profession. Elle habite 18 route de la Contrie à Nantes. Elle est l’épouse de Joseph Abraham. Ils sont parents de deux filles Lucienne et Louisette. Activité dans la résistance : Marguerite Abraham est membre du réseau Ker depuis le 01 novembre 1942. A son domicile elle héberge un radio et son matériel radio. Elle met à disposition un local pour des réunions clandestines. Circonstance de l’arrestation : L’opérateur radio a conduit les autorités allemandes au domicile de la famille Abraham. Date et lieu d’arrestation : Elle est arrêtée à son domicile le 15 avril 1943 à Nantes. Parcours dans les prisons françaises : Marguerite Abraham est internée à la prison de Nantes du 17 avril jusqu’au 26 mai 1943, elle est transférée à Rennes du 27 mai au 6 septembre 1943, puis à Fresnes du 7 septembre au 17 février 1944 Parcours en déportation : Elle est déportée le 17 février 1944 (convoi I.183) à la prison d’Aix la Chapelle, puis à Lauban le 20 février. Le 18 octobre 1944 elle arrive au camp de Ravensbrück (déportée « NN »), jusqu’au 4 mars 1945. Elle est transférée à Mauthausen (matricule 1154) le 7 mars, elle est affectée au Kommando SIEDLUNGSBAU (« Kommando de construction de lotissement ») jusqu’au 22 avril 1945. Date de libération : Marguerite Abraham est libérée par la Croix-Rouge à la frontière suisse le 22 avril 1945. « Le centre de rapatriement d’Annecy (Haute-Savoie) accueille la majorité des femmes jugées aptes à poursuivre la route jusqu’en France : au moins 310 passent par ce centre de rapatriement, presque toutes entre le 25 et le 29 avril 1945. Quelques dizaines d’autres sont rapatriées par le centre d’Annemasse, également en Haute-Savoie, majoritairement le 3 mai 1945. » Lieu de rapatriement : ANNECY, le 25 avril 1945 Elle revient à Nantes le 5 juin 1945. Bio après-guerre Marguerite Abraham Marguerite Abraham décède à Nantes le 09 janvier 1983 Sources : Livre-Mémorial de la Fondation pour la Mémoire de la Déportation. AD44 (248 J 12-13; 1305 W 42) SHD Caen Dossier 21P 695 393 INSEE fichier 1983, ligne n°452781 Fiche modifiée le 02/11/2024 Les femmes détenues à Mauthausen Monument Mauthausen III https://monument-mauthausen.org › les-femmes-dans-le-...
Nom, Prénom : ABRAHAM Marguerite, née Calleau N° matricule : 79916 Ravensbrück Date et lieu de naissance : Marguerite Calleau, fille de Charles Calleau et de Ernestine née Fradin, est née le 17 mai 1898 à Saint-Flaives-des-Loups (85) Bio avant-guerre : Sans profession. Elle habite 18 route de la Contrie à Nantes. Elle est l’épouse de Joseph Abraham. Ils sont parents de deux filles Lucienne et Louisette. Activité dans la résistance : Marguerite Abraham est membre du réseau Ker depuis le 01 novembre 1942. A son domicile elle héberge un radio et son matériel radio. Elle met à disposition un local pour des réunions clandestines. Circonstance de l’arrestation : L’opérateur radio a conduit les autorités allemandes au domicile de la famille Abraham. Date et lieu d’arrestation : Elle est arrêtée à son domicile le 15 avril 1943 à Nantes. Parcours dans les prisons françaises : Marguerite Abraham est internée à la prison de Nantes du 17 avril jusqu’au 26 mai 1943, elle est transférée à Rennes du 27 mai au 6 septembre 1943, puis à Fresnes du 7 septembre au 17 février 1944 Parcours en déportation : Elle est déportée le 17 février 1944 (convoi I.183) à la prison d’Aix la Chapelle, puis à Lauban le 20 février. Le 18 octobre 1944 elle arrive au camp de Ravensbrück (déportée « NN »), jusqu’au 4 mars 1945. Elle est transférée à Mauthausen (matricule 1154) le 7 mars, elle est affectée au Kommando SIEDLUNGSBAU (« Kommando de construction de lotissement ») jusqu’au 22 avril 1945. Date de libération : Marguerite Abraham est libérée par la Croix-Rouge à la frontière suisse le 22 avril 1945. « Le centre de rapatriement d’Annecy (Haute-Savoie) accueille la majorité des femmes jugées aptes à poursuivre la route jusqu’en France : au moins 310 passent par ce centre de rapatriement, presque toutes entre le 25 et le 29 avril 1945. Quelques dizaines d’autres sont rapatriées par le centre d’Annemasse, également en Haute-Savoie, majoritairement le 3 mai 1945. » Lieu de rapatriement : ANNECY, le 25 avril 1945 Elle revient à Nantes le 5 juin 1945. Bio après-guerre Marguerite Abraham Marguerite Abraham décède à Nantes le 09 janvier 1983 Sources : Livre-Mémorial de la Fondation pour la Mémoire de la Déportation. AD44 (248 J 12-13; 1305 W 42) SHD Caen Dossier 21P 695 393 INSEE fichier 1983, ligne n°452781 Fiche modifiée le 02/11/2024 Les femmes détenues à Mauthausen Monument Mauthausen III https://monument-mauthausen.org › les-femmes-dans-le-...
Nom, Prénom : ABRAHAM Marguerite, née Calleau N° matricule : 79916 Ravensbrück Date et lieu de naissance : Marguerite Calleau, fille de Charles Calleau et de Ernestine née Fradin, est née le 17 mai 1898 à Saint-Flaives-des-Loups (85) Bio avant-guerre : Sans profession. Elle habite 18 route de la Contrie à Nantes. Elle est l’épouse de Joseph Abraham. Ils sont parents de deux filles Lucienne et Louisette. Activité dans la résistance : Marguerite Abraham est membre du réseau Ker depuis le 01 novembre 1942. A son domicile elle héberge un radio et son matériel radio. Elle met à disposition un local pour des réunions clandestines. Circonstance de l’arrestation : L’opérateur radio a conduit les autorités allemandes au domicile de la famille Abraham. Date et lieu d’arrestation : Elle est arrêtée à son domicile le 15 avril 1943 à Nantes. Parcours dans les prisons françaises : Marguerite Abraham est internée à la prison de Nantes du 17 avril jusqu’au 26 mai 1943, elle est transférée à Rennes du 27 mai au 6 septembre 1943, puis à Fresnes du 7 septembre au 17 février 1944 Parcours en déportation : Elle est déportée le 17 février 1944 (convoi I.183) à la prison d’Aix la Chapelle, puis à Lauban le 20 février. Le 18 octobre 1944 elle arrive au camp de Ravensbrück (déportée « NN »), jusqu’au 4 mars 1945. Elle est transférée à Mauthausen (matricule 1154) le 7 mars, elle est affectée au Kommando SIEDLUNGSBAU (« Kommando de construction de lotissement ») jusqu’au 22 avril 1945. Date de libération : Marguerite Abraham est libérée par la Croix-Rouge à la frontière suisse le 22 avril 1945. « Le centre de rapatriement d’Annecy (Haute-Savoie) accueille la majorité des femmes jugées aptes à poursuivre la route jusqu’en France : au moins 310 passent par ce centre de rapatriement, presque toutes entre le 25 et le 29 avril 1945. Quelques dizaines d’autres sont rapatriées par le centre d’Annemasse, également en Haute-Savoie, majoritairement le 3 mai 1945. » Lieu de rapatriement : ANNECY, le 25 avril 1945 Elle revient à Nantes le 5 juin 1945. Bio après-guerre Marguerite Abraham Marguerite Abraham décède à Nantes le 09 janvier 1983 Sources : Livre-Mémorial de la Fondation pour la Mémoire de la Déportation. AD44 (248 J 12-13; 1305 W 42) SHD Caen Dossier 21P 695 393 INSEE fichier 1983, ligne n°452781 Fiche modifiée le 02/11/2024 Les femmes détenues à Mauthausen Monument Mauthausen III https://monument-mauthausen.org › les-femmes-dans-le-...
31/01/2025
ABRAMOVITCH
Albert
Fiche créée le 20/05/2017 modifiée le 21/07/2022 NOM, Prénom : ABRAMOVITCH Albert N° matricule : Date et lieu de Naissance : Albert Abramovitch est né le 11 /05/1901 à Paris 18ème, fils de Elie Abramovitch et de Mathilde Oberstein. Son père est tailleur . Bio avant - guerre : Il se marie à Paris 9è me le 21/06/1934 avec Simone Weinstein. Il est ouvrier - fourreur et habite à Nantes. 1 / 06/02/1944 Famille Abramovitch - Albert, né à Paris en 1901, et Simone, née à Paris en 1911, réfugiés à Hauteville, sont arrêtés parce que juifs le 6 février 1944. I ls seront déportés sans retour de Drancy vers Auschwitz le 07/03/1944 par le convoi n° 69. Cir constances de l’arre station : Date et lieu de l’arrestation: Parcours avant déportation : Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Il e st déporté à Auschwitz le 07/03/1944 par le convoi n° 69 partis de Drancy Date et lieu de décès : Il meur t à Auschwitz en mar s 1944. Sources : Jean - Pierre Sauvage et Xavier Trochu. Mémorial des victimes de la persécution allemande en Loire Inférieure 194 0 - 1945. Déportés de la communauté juive. 2003 1 AJPN - anonymes, Justes et persécutés durant la période ... Mémorial de la Shoah - Musée et centre de docume ntation ... Photo recherchée Ce document est la propriété de l'AFMD44 Fiche créée le 20/05/2017 modifiée le 21/07/2022 Ce document est la propriété de l'AFMD44
Fiche créée le 20/05/2017 modifiée le 21/07/2022 NOM, Prénom : ABRAMOVITCH Albert N° matricule : Date et lieu de Naissance : Albert Abramovitch est né le 11 /05/1901 à Paris 18ème, fils de Elie Abramovitch et de Mathilde Oberstein. Son père est tailleur . Bio avant - guerre : Il se marie à Paris 9è me le 21/06/1934 avec Simone Weinstein. Il est ouvrier - fourreur et habite à Nantes. 1 / 06/02/1944 Famille Abramovitch - Albert, né à Paris en 1901, et Simone, née à Paris en 1911, réfugiés à Hauteville, sont arrêtés parce que juifs le 6 février 1944. I ls seront déportés sans retour de Drancy vers Auschwitz le 07/03/1944 par le convoi n° 69. Cir constances de l’arre station : Date et lieu de l’arrestation: Parcours avant déportation : Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Il e st déporté à Auschwitz le 07/03/1944 par le convoi n° 69 partis de Drancy Date et lieu de décès : Il meur t à Auschwitz en mar s 1944. Sources : Jean - Pierre Sauvage et Xavier Trochu. Mémorial des victimes de la persécution allemande en Loire Inférieure 194 0 - 1945. Déportés de la communauté juive. 2003 1 AJPN - anonymes, Justes et persécutés durant la période ... Mémorial de la Shoah - Musée et centre de docume ntation ... Photo recherchée Ce document est la propriété de l'AFMD44 Fiche créée le 20/05/2017 modifiée le 21/07/2022 Ce document est la propriété de l'AFMD44
Fiche créée le 20/05/2017 modifiée le 21/07/2022 NOM, Prénom : ABRAMOVITCH Albert N° matricule : Date et lieu de Naissance : Albert Abramovitch est né le 11 /05/1901 à Paris 18ème, fils de Elie Abramovitch et de Mathilde Oberstein. Son père est tailleur . Bio avant - guerre : Il se marie à Paris 9è me le 21/06/1934 avec Simone Weinstein. Il est ouvrier - fourreur et habite à Nantes. 1 / 06/02/1944 Famille Abramovitch - Albert, né à Paris en 1901, et Simone, née à Paris en 1911, réfugiés à Hauteville, sont arrêtés parce que juifs le 6 février 1944. I ls seront déportés sans retour de Drancy vers Auschwitz le 07/03/1944 par le convoi n° 69. Cir constances de l’arre station : Date et lieu de l’arrestation: Parcours avant déportation : Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Il e st déporté à Auschwitz le 07/03/1944 par le convoi n° 69 partis de Drancy Date et lieu de décès : Il meur t à Auschwitz en mar s 1944. Sources : Jean - Pierre Sauvage et Xavier Trochu. Mémorial des victimes de la persécution allemande en Loire Inférieure 194 0 - 1945. Déportés de la communauté juive. 2003 1 AJPN - anonymes, Justes et persécutés durant la période ... Mémorial de la Shoah - Musée et centre de docume ntation ... Photo recherchée Ce document est la propriété de l'AFMD44 Fiche créée le 20/05/2017 modifiée le 21/07/2022 Ce document est la propriété de l'AFMD44
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31/01/2025
ABRAMOVITCH
Simone
Fiche créée le 20/05/2017 modifiée le 21/07/2022 NOM, Prénom : ABRAMOVITCH Simone , née Weinstein N° matricule : Date et lieu de Naissance : Simone Weinstein est née le 19/07/1911 à Paris 10ème . Bio avant - guerre : Elle habite à Nantes, elle s’ est mariée à Paris le 21/06/1934 avec Albert Abramovi tch. 06/02/194 4 Famille Abramovitch - Albert, né à Paris en 1901, et Simone, née à Paris en 1911, réfugiés à Hauteville, sont arrêtés parce que juifs le 6 février 1944. Ils seront déportés sans retour de Drancy vers Auschwitz le 07/03/1944 par le convoi n ° 69. Circons tances de l’arrestation : Elle est arrêtée à Nantes Date et lieu de l’arrestation: Parcours avant déportation : Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Elle est déportée par le convoi n° 69 parti de Drancy pour Auschwitz le 07/03/1944 Dat e et lieu de décès : Elle est gazée à son arrivée. Sources : Jean - Pierre Sauvage et Xavier Trochu. Mémorial des victimes de la persécution allemande en Loire Inférieure 1940 - 1945. Déporté s de la communauté juive. 2003 J.O. du 28:01/1988, p .1386 1 Arrestations 1939 - 1945 : Hauteville - Lompnès - AJPN Bases de données | www.yadvash em.org Mémoria l de la Shoah - Musée et centre de docu mentation ... Photo recherchée Ce document est la propriété de l'AFMD44 Fiche créée le 20/05/2017 modifiée le 21/07/2022 Ce document est la propriété de l'AFMD44
Fiche créée le 20/05/2017 modifiée le 21/07/2022 NOM, Prénom : ABRAMOVITCH Simone , née Weinstein N° matricule : Date et lieu de Naissance : Simone Weinstein est née le 19/07/1911 à Paris 10ème . Bio avant - guerre : Elle habite à Nantes, elle s’ est mariée à Paris le 21/06/1934 avec Albert Abramovi tch. 06/02/194 4 Famille Abramovitch - Albert, né à Paris en 1901, et Simone, née à Paris en 1911, réfugiés à Hauteville, sont arrêtés parce que juifs le 6 février 1944. Ils seront déportés sans retour de Drancy vers Auschwitz le 07/03/1944 par le convoi n ° 69. Circons tances de l’arrestation : Elle est arrêtée à Nantes Date et lieu de l’arrestation: Parcours avant déportation : Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Elle est déportée par le convoi n° 69 parti de Drancy pour Auschwitz le 07/03/1944 Dat e et lieu de décès : Elle est gazée à son arrivée. Sources : Jean - Pierre Sauvage et Xavier Trochu. Mémorial des victimes de la persécution allemande en Loire Inférieure 1940 - 1945. Déporté s de la communauté juive. 2003 J.O. du 28:01/1988, p .1386 1 Arrestations 1939 - 1945 : Hauteville - Lompnès - AJPN Bases de données | www.yadvash em.org Mémoria l de la Shoah - Musée et centre de docu mentation ... Photo recherchée Ce document est la propriété de l'AFMD44 Fiche créée le 20/05/2017 modifiée le 21/07/2022 Ce document est la propriété de l'AFMD44
Fiche créée le 20/05/2017 modifiée le 21/07/2022 NOM, Prénom : ABRAMOVITCH Simone , née Weinstein N° matricule : Date et lieu de Naissance : Simone Weinstein est née le 19/07/1911 à Paris 10ème . Bio avant - guerre : Elle habite à Nantes, elle s’ est mariée à Paris le 21/06/1934 avec Albert Abramovi tch. 06/02/194 4 Famille Abramovitch - Albert, né à Paris en 1901, et Simone, née à Paris en 1911, réfugiés à Hauteville, sont arrêtés parce que juifs le 6 février 1944. Ils seront déportés sans retour de Drancy vers Auschwitz le 07/03/1944 par le convoi n ° 69. Circons tances de l’arrestation : Elle est arrêtée à Nantes Date et lieu de l’arrestation: Parcours avant déportation : Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Elle est déportée par le convoi n° 69 parti de Drancy pour Auschwitz le 07/03/1944 Dat e et lieu de décès : Elle est gazée à son arrivée. Sources : Jean - Pierre Sauvage et Xavier Trochu. Mémorial des victimes de la persécution allemande en Loire Inférieure 1940 - 1945. Déporté s de la communauté juive. 2003 J.O. du 28:01/1988, p .1386 1 Arrestations 1939 - 1945 : Hauteville - Lompnès - AJPN Bases de données | www.yadvash em.org Mémoria l de la Shoah - Musée et centre de docu mentation ... Photo recherchée Ce document est la propriété de l'AFMD44 Fiche créée le 20/05/2017 modifiée le 21/07/2022 Ce document est la propriété de l'AFMD44
Fiche créée le 20/05/2017 modifiée le 21/07/2022 NOM, Prénom : ABRAMOVITCH Simone , née Weinstein N° matricule : Date et lieu de Naissance : Simone Weinstein est née le 19/07/1911 à Paris 10ème . Bio avant - guerre : Elle habite à Nantes, elle s’ est mariée à Paris le 21/06/1934 avec Albert Abramovi tch. 06/02/194 4 Famille Abramovitch - Albert, né à Paris en 1901, et Simone, née à Paris en 1911, réfugiés à Hauteville, sont arrêtés parce que juifs le 6 février 1944. Ils seront déportés sans retour de Drancy vers Auschwitz le 07/03/1944 par le convoi n ° 69. Circons tances de l’arrestation : Elle est arrêtée à Nantes Date et lieu de l’arrestation: Parcours avant déportation : Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Elle est déportée par le convoi n° 69 parti de Drancy pour Auschwitz le 07/03/1944 Dat e et lieu de décès : Elle est gazée à son arrivée. Sources : Jean - Pierre Sauvage et Xavier Trochu. Mémorial des victimes de la persécution allemande en Loire Inférieure 1940 - 1945. Déporté s de la communauté juive. 2003 J.O. du 28:01/1988, p .1386 1 Arrestations 1939 - 1945 : Hauteville - Lompnès - AJPN Bases de données | www.yadvash em.org Mémoria l de la Shoah - Musée et centre de docu mentation ... Photo recherchée Ce document est la propriété de l'AFMD44 Fiche créée le 20/05/2017 modifiée le 21/07/2022 Ce document est la propriété de l'AFMD44
Fiche créée le 20/05/2017 modifiée le 21/07/2022 NOM, Prénom : ABRAMOVITCH Simone , née Weinstein N° matricule : Date et lieu de Naissance : Simone Weinstein est née le 19/07/1911 à Paris 10ème . Bio avant - guerre : Elle habite à Nantes, elle s’ est mariée à Paris le 21/06/1934 avec Albert Abramovi tch. 06/02/194 4 Famille Abramovitch - Albert, né à Paris en 1901, et Simone, née à Paris en 1911, réfugiés à Hauteville, sont arrêtés parce que juifs le 6 février 1944. Ils seront déportés sans retour de Drancy vers Auschwitz le 07/03/1944 par le convoi n ° 69. Circons tances de l’arrestation : Elle est arrêtée à Nantes Date et lieu de l’arrestation: Parcours avant déportation : Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Elle est déportée par le convoi n° 69 parti de Drancy pour Auschwitz le 07/03/1944 Dat e et lieu de décès : Elle est gazée à son arrivée. Sources : Jean - Pierre Sauvage et Xavier Trochu. Mémorial des victimes de la persécution allemande en Loire Inférieure 1940 - 1945. Déporté s de la communauté juive. 2003 J.O. du 28:01/1988, p .1386 1 Arrestations 1939 - 1945 : Hauteville - Lompnès - AJPN Bases de données | www.yadvash em.org Mémoria l de la Shoah - Musée et centre de docu mentation ... Photo recherchée Ce document est la propriété de l'AFMD44 Fiche créée le 20/05/2017 modifiée le 21/07/2022 Ce document est la propriété de l'AFMD44
31/01/2025
ABRAMOWICZ
Jacques
Fiche créée le 20/05/2017 modifiée le 30/03/2023 NOM, Prénom : ABRAMOWICZ Jacques Date et lieu de Naissance : Jacques Abramowicz est né le 4 octobre 1939 à Saint-Nazaire. C’est le fils d’Adjel Abramowicz et Israël Marchewski. Il est probable que la famille se réfugié dans la presqu’île peu avant sa naissance à St-Nazaire. Bio avant-guerre : La famille habite 15 rue des Vignerons à Vincennes. La mère de Jacques est arrivée en France le 10 août 1934. Son père est représentant de commerce pour la maison de confection Edelman, 30 rue du Caire à Paris (2ème arrondissement). Ils vivent maritalement depuis octobre 1938. Il a une soeur, Hélène, née le 09 avril 1938 à Paris. Circonstances de l’arrestation : Jacques Abramowicz est arrêté avec sa sœur Hélène à Paris et ses parents lors de la rafle du « Vél d’Hiv ». Date et lieu de l’arrestation: Il est arrêté 16 juillet 1942 à Paris. Parcours avant déportation : Tous sont transférés sur le camp de Pithiviers le 21 juillet 1942. « Hélène et Jacques, ont été déportés à priori et selon Serge Klarsfeld dans le Mémorial des Enfants par le convoi n° 20 du 17 août 1942 de Pithiviers vers Auschwitz. Il manque une page dans la liste de déportation. Mais Il semble, d’après les informations dont nous disposons, qu’ils aient tous les deux rejoints Drancy le 25 août 1942 pour être déportés par la suite. » Laffitte Michel « La rafle du Vel’ d’hiv’ des 16 et 17 juillet 1942 inaugure une seconde phase dans la vie du camp d’internement de Drancy. Entre le 31 juillet et le 26 août, un total de 4 000 enfants passent par Drancy en provenance des camps de Pithiviers et de Beaune-la- Rolande, y séjournent quelques heures avant leur déportation en direction des chambres à gaz d’Auschwitz. » Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Il est déporté à Auschwitz le 17 août 1942 par le convoi n° 20 parti de Drancy (Mémorial de la Shoah). Date et lieu de décès : Jacques Abramowicz est gazé à Auschwitz à son arrivée le 22 aout 1942 Sources : https://shoahpresquile.com/ Mémorial de la Shoah - Musée et centre de documentation ... www.memorialdelashoah.org Figur e 1Shoah presqu'ile recherchée Fiche créée le 20/05/2017 modifiée le 30/03/2023 Le Mémorial des enfants Serge Klarsfeld edition1995 Photo Jacques Abramowicz sur https://shoahpresquile.com/ Mémorial des déporté(e)s du Val-de-Marne - Choisy le roi - Le camp de Drancy | Sciences Po Violence de masse et ... Laffitte Michel
Fiche créée le 20/05/2017 modifiée le 30/03/2023 NOM, Prénom : ABRAMOWICZ Jacques Date et lieu de Naissance : Jacques Abramowicz est né le 4 octobre 1939 à Saint-Nazaire. C’est le fils d’Adjel Abramowicz et Israël Marchewski. Il est probable que la famille se réfugié dans la presqu’île peu avant sa naissance à St-Nazaire. Bio avant-guerre : La famille habite 15 rue des Vignerons à Vincennes. La mère de Jacques est arrivée en France le 10 août 1934. Son père est représentant de commerce pour la maison de confection Edelman, 30 rue du Caire à Paris (2ème arrondissement). Ils vivent maritalement depuis octobre 1938. Il a une soeur, Hélène, née le 09 avril 1938 à Paris. Circonstances de l’arrestation : Jacques Abramowicz est arrêté avec sa sœur Hélène à Paris et ses parents lors de la rafle du « Vél d’Hiv ». Date et lieu de l’arrestation: Il est arrêté 16 juillet 1942 à Paris. Parcours avant déportation : Tous sont transférés sur le camp de Pithiviers le 21 juillet 1942. « Hélène et Jacques, ont été déportés à priori et selon Serge Klarsfeld dans le Mémorial des Enfants par le convoi n° 20 du 17 août 1942 de Pithiviers vers Auschwitz. Il manque une page dans la liste de déportation. Mais Il semble, d’après les informations dont nous disposons, qu’ils aient tous les deux rejoints Drancy le 25 août 1942 pour être déportés par la suite. » Laffitte Michel « La rafle du Vel’ d’hiv’ des 16 et 17 juillet 1942 inaugure une seconde phase dans la vie du camp d’internement de Drancy. Entre le 31 juillet et le 26 août, un total de 4 000 enfants passent par Drancy en provenance des camps de Pithiviers et de Beaune-la- Rolande, y séjournent quelques heures avant leur déportation en direction des chambres à gaz d’Auschwitz. » Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Il est déporté à Auschwitz le 17 août 1942 par le convoi n° 20 parti de Drancy (Mémorial de la Shoah). Date et lieu de décès : Jacques Abramowicz est gazé à Auschwitz à son arrivée le 22 aout 1942 Sources : https://shoahpresquile.com/ Mémorial de la Shoah - Musée et centre de documentation ... www.memorialdelashoah.org Figur e 1Shoah presqu'ile recherchée Fiche créée le 20/05/2017 modifiée le 30/03/2023 Le Mémorial des enfants Serge Klarsfeld edition1995 Photo Jacques Abramowicz sur https://shoahpresquile.com/ Mémorial des déporté(e)s du Val-de-Marne - Choisy le roi - Le camp de Drancy | Sciences Po Violence de masse et ... Laffitte Michel
Fiche créée le 20/05/2017 modifiée le 30/03/2023 NOM, Prénom : ABRAMOWICZ Jacques Date et lieu de Naissance : Jacques Abramowicz est né le 4 octobre 1939 à Saint-Nazaire. C’est le fils d’Adjel Abramowicz et Israël Marchewski. Il est probable que la famille se réfugié dans la presqu’île peu avant sa naissance à St-Nazaire. Bio avant-guerre : La famille habite 15 rue des Vignerons à Vincennes. La mère de Jacques est arrivée en France le 10 août 1934. Son père est représentant de commerce pour la maison de confection Edelman, 30 rue du Caire à Paris (2ème arrondissement). Ils vivent maritalement depuis octobre 1938. Il a une soeur, Hélène, née le 09 avril 1938 à Paris. Circonstances de l’arrestation : Jacques Abramowicz est arrêté avec sa sœur Hélène à Paris et ses parents lors de la rafle du « Vél d’Hiv ». Date et lieu de l’arrestation: Il est arrêté 16 juillet 1942 à Paris. Parcours avant déportation : Tous sont transférés sur le camp de Pithiviers le 21 juillet 1942. « Hélène et Jacques, ont été déportés à priori et selon Serge Klarsfeld dans le Mémorial des Enfants par le convoi n° 20 du 17 août 1942 de Pithiviers vers Auschwitz. Il manque une page dans la liste de déportation. Mais Il semble, d’après les informations dont nous disposons, qu’ils aient tous les deux rejoints Drancy le 25 août 1942 pour être déportés par la suite. » Laffitte Michel « La rafle du Vel’ d’hiv’ des 16 et 17 juillet 1942 inaugure une seconde phase dans la vie du camp d’internement de Drancy. Entre le 31 juillet et le 26 août, un total de 4 000 enfants passent par Drancy en provenance des camps de Pithiviers et de Beaune-la- Rolande, y séjournent quelques heures avant leur déportation en direction des chambres à gaz d’Auschwitz. » Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Il est déporté à Auschwitz le 17 août 1942 par le convoi n° 20 parti de Drancy (Mémorial de la Shoah). Date et lieu de décès : Jacques Abramowicz est gazé à Auschwitz à son arrivée le 22 aout 1942 Sources : https://shoahpresquile.com/ Mémorial de la Shoah - Musée et centre de documentation ... www.memorialdelashoah.org Figur e 1Shoah presqu'ile recherchée Fiche créée le 20/05/2017 modifiée le 30/03/2023 Le Mémorial des enfants Serge Klarsfeld edition1995 Photo Jacques Abramowicz sur https://shoahpresquile.com/ Mémorial des déporté(e)s du Val-de-Marne - Choisy le roi - Le camp de Drancy | Sciences Po Violence de masse et ... Laffitte Michel
Fiche créée le 20/05/2017 modifiée le 30/03/2023 NOM, Prénom : ABRAMOWICZ Jacques Date et lieu de Naissance : Jacques Abramowicz est né le 4 octobre 1939 à Saint-Nazaire. C’est le fils d’Adjel Abramowicz et Israël Marchewski. Il est probable que la famille se réfugié dans la presqu’île peu avant sa naissance à St-Nazaire. Bio avant-guerre : La famille habite 15 rue des Vignerons à Vincennes. La mère de Jacques est arrivée en France le 10 août 1934. Son père est représentant de commerce pour la maison de confection Edelman, 30 rue du Caire à Paris (2ème arrondissement). Ils vivent maritalement depuis octobre 1938. Il a une soeur, Hélène, née le 09 avril 1938 à Paris. Circonstances de l’arrestation : Jacques Abramowicz est arrêté avec sa sœur Hélène à Paris et ses parents lors de la rafle du « Vél d’Hiv ». Date et lieu de l’arrestation: Il est arrêté 16 juillet 1942 à Paris. Parcours avant déportation : Tous sont transférés sur le camp de Pithiviers le 21 juillet 1942. « Hélène et Jacques, ont été déportés à priori et selon Serge Klarsfeld dans le Mémorial des Enfants par le convoi n° 20 du 17 août 1942 de Pithiviers vers Auschwitz. Il manque une page dans la liste de déportation. Mais Il semble, d’après les informations dont nous disposons, qu’ils aient tous les deux rejoints Drancy le 25 août 1942 pour être déportés par la suite. » Laffitte Michel « La rafle du Vel’ d’hiv’ des 16 et 17 juillet 1942 inaugure une seconde phase dans la vie du camp d’internement de Drancy. Entre le 31 juillet et le 26 août, un total de 4 000 enfants passent par Drancy en provenance des camps de Pithiviers et de Beaune-la- Rolande, y séjournent quelques heures avant leur déportation en direction des chambres à gaz d’Auschwitz. » Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Il est déporté à Auschwitz le 17 août 1942 par le convoi n° 20 parti de Drancy (Mémorial de la Shoah). Date et lieu de décès : Jacques Abramowicz est gazé à Auschwitz à son arrivée le 22 aout 1942 Sources : https://shoahpresquile.com/ Mémorial de la Shoah - Musée et centre de documentation ... www.memorialdelashoah.org Figur e 1Shoah presqu'ile recherchée Fiche créée le 20/05/2017 modifiée le 30/03/2023 Le Mémorial des enfants Serge Klarsfeld edition1995 Photo Jacques Abramowicz sur https://shoahpresquile.com/ Mémorial des déporté(e)s du Val-de-Marne - Choisy le roi - Le camp de Drancy | Sciences Po Violence de masse et ... Laffitte Michel
Fiche créée le 20/05/2017 modifiée le 30/03/2023 NOM, Prénom : ABRAMOWICZ Jacques Date et lieu de Naissance : Jacques Abramowicz est né le 4 octobre 1939 à Saint-Nazaire. C’est le fils d’Adjel Abramowicz et Israël Marchewski. Il est probable que la famille se réfugié dans la presqu’île peu avant sa naissance à St-Nazaire. Bio avant-guerre : La famille habite 15 rue des Vignerons à Vincennes. La mère de Jacques est arrivée en France le 10 août 1934. Son père est représentant de commerce pour la maison de confection Edelman, 30 rue du Caire à Paris (2ème arrondissement). Ils vivent maritalement depuis octobre 1938. Il a une soeur, Hélène, née le 09 avril 1938 à Paris. Circonstances de l’arrestation : Jacques Abramowicz est arrêté avec sa sœur Hélène à Paris et ses parents lors de la rafle du « Vél d’Hiv ». Date et lieu de l’arrestation: Il est arrêté 16 juillet 1942 à Paris. Parcours avant déportation : Tous sont transférés sur le camp de Pithiviers le 21 juillet 1942. « Hélène et Jacques, ont été déportés à priori et selon Serge Klarsfeld dans le Mémorial des Enfants par le convoi n° 20 du 17 août 1942 de Pithiviers vers Auschwitz. Il manque une page dans la liste de déportation. Mais Il semble, d’après les informations dont nous disposons, qu’ils aient tous les deux rejoints Drancy le 25 août 1942 pour être déportés par la suite. » Laffitte Michel « La rafle du Vel’ d’hiv’ des 16 et 17 juillet 1942 inaugure une seconde phase dans la vie du camp d’internement de Drancy. Entre le 31 juillet et le 26 août, un total de 4 000 enfants passent par Drancy en provenance des camps de Pithiviers et de Beaune-la- Rolande, y séjournent quelques heures avant leur déportation en direction des chambres à gaz d’Auschwitz. » Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Il est déporté à Auschwitz le 17 août 1942 par le convoi n° 20 parti de Drancy (Mémorial de la Shoah). Date et lieu de décès : Jacques Abramowicz est gazé à Auschwitz à son arrivée le 22 aout 1942 Sources : https://shoahpresquile.com/ Mémorial de la Shoah - Musée et centre de documentation ... www.memorialdelashoah.org Figur e 1Shoah presqu'ile recherchée Fiche créée le 20/05/2017 modifiée le 30/03/2023 Le Mémorial des enfants Serge Klarsfeld edition1995 Photo Jacques Abramowicz sur https://shoahpresquile.com/ Mémorial des déporté(e)s du Val-de-Marne - Choisy le roi - Le camp de Drancy | Sciences Po Violence de masse et ... Laffitte Michel
31/01/2025
ACHARD
Jules
NOM, Prénom : ACHARD Jules, Marcel, Gaston. N° matricule : 4149 à Hinzert Date et lieu de Naissance : Jules Achard fils de Gaston Achard et de Marie né Maillard son épouse, est né le 17 juin 1913 à Nantes. Bio avant-guerre : Il est lithographe. Il habite 24 rue Paul Bellamy à Nantes. Il épouse Antoinette Le Ny en mars 1938 à Nantes Circonstances de l’arrestation : Jules Achard est membre du réseau C.N.D Castille depuis le 1 janvier 1941. Agent P2, il est opérateur radio agence Saint-Nazaire-Nantes. Il est arrêté par les autorités allemandes au café d’Alsace à Nantes. Il est porteur d’un lot de 50 photos du général De Gaulle à remettre à un agent. Date et lieu de l’arrestation : Il est arrêté le 26 décembre 1941 à Nantes. Parcours avant déportation : Il est interné à Nantes Lafayette du 26 décembre 1941 au 11 avril 1942, puis à Fresnes du 11 avril au 28 mai 1942. Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Jules Achard est déporté de la gare de l’est le 28 mai 1942 pour le camp de Hinzert où il arrive le 29 mai (Convoi I.033 de déportés "NN"). Il y reste jusqu’au 24 juillet 1942, date où il est transféré à la prison de Wittlich jusqu’au 13 janvier 1943, puis de Köln-Kingelpütz le 14 janvier 1943 au 27 février 1943 , (matricule 1269/42). Le « tribunal du peuple » de Cologne le condamne à cinq ans de travaux forces. Il est transféré le 01 mars1943 à la forteresse de Sonnenburg jusqu’au 14 novembre 1944. Il est transféré le 15 novembre au camp de Sachsenhausen (matricule 117250) jusqu’au 21 avril 1945 date de son évacuation par une « marche de la mort ». Le 21 avril 1945, 30 000 hommes de Sachsenhausen et 5 000 femmes venant de Ravensbrück sont évacués, par groupe de 500, en direction de la Baltique. Des milliers de déportés, incapables de suivre, sont abattus d’une balle dans la nuque sur le bord de la route. Les 18 000 survivants sont libérés le 2 et 3 mai entre Crivitz et Schwerin. Date et lieu de libération : Jules Achard est libéré lors de l’évacuation, le 02 mai 1945 à Schwerin. Il rentre à Nantes le 26 mai 1945. Jules Achard Bio après guerre : Jules Achard décède le 29 novembre 1993 à Orvault. Sources : Livre-Mémorial FMD (I.033) http://www.bddm.org/ AD44 (248 J 12-13; 1305 W 42) Service historique de la Défense, Caen SHD/ AC 21 P 695 507 Sachsenhausen afmd.org https://afmd.org › sachsenhausen C.N.D. Castille - Annuaire Fiche modifiée le 27/11/2024
NOM, Prénom : ACHARD Jules, Marcel, Gaston. N° matricule : 4149 à Hinzert Date et lieu de Naissance : Jules Achard fils de Gaston Achard et de Marie né Maillard son épouse, est né le 17 juin 1913 à Nantes. Bio avant-guerre : Il est lithographe. Il habite 24 rue Paul Bellamy à Nantes. Il épouse Antoinette Le Ny en mars 1938 à Nantes Circonstances de l’arrestation : Jules Achard est membre du réseau C.N.D Castille depuis le 1 janvier 1941. Agent P2, il est opérateur radio agence Saint-Nazaire-Nantes. Il est arrêté par les autorités allemandes au café d’Alsace à Nantes. Il est porteur d’un lot de 50 photos du général De Gaulle à remettre à un agent. Date et lieu de l’arrestation : Il est arrêté le 26 décembre 1941 à Nantes. Parcours avant déportation : Il est interné à Nantes Lafayette du 26 décembre 1941 au 11 avril 1942, puis à Fresnes du 11 avril au 28 mai 1942. Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Jules Achard est déporté de la gare de l’est le 28 mai 1942 pour le camp de Hinzert où il arrive le 29 mai (Convoi I.033 de déportés "NN"). Il y reste jusqu’au 24 juillet 1942, date où il est transféré à la prison de Wittlich jusqu’au 13 janvier 1943, puis de Köln-Kingelpütz le 14 janvier 1943 au 27 février 1943 , (matricule 1269/42). Le « tribunal du peuple » de Cologne le condamne à cinq ans de travaux forces. Il est transféré le 01 mars1943 à la forteresse de Sonnenburg jusqu’au 14 novembre 1944. Il est transféré le 15 novembre au camp de Sachsenhausen (matricule 117250) jusqu’au 21 avril 1945 date de son évacuation par une « marche de la mort ». Le 21 avril 1945, 30 000 hommes de Sachsenhausen et 5 000 femmes venant de Ravensbrück sont évacués, par groupe de 500, en direction de la Baltique. Des milliers de déportés, incapables de suivre, sont abattus d’une balle dans la nuque sur le bord de la route. Les 18 000 survivants sont libérés le 2 et 3 mai entre Crivitz et Schwerin. Date et lieu de libération : Jules Achard est libéré lors de l’évacuation, le 02 mai 1945 à Schwerin. Il rentre à Nantes le 26 mai 1945. Jules Achard Bio après guerre : Jules Achard décède le 29 novembre 1993 à Orvault. Sources : Livre-Mémorial FMD (I.033) http://www.bddm.org/ AD44 (248 J 12-13; 1305 W 42) Service historique de la Défense, Caen SHD/ AC 21 P 695 507 Sachsenhausen afmd.org https://afmd.org › sachsenhausen C.N.D. Castille - Annuaire Fiche modifiée le 27/11/2024
NOM, Prénom : ACHARD Jules, Marcel, Gaston. N° matricule : 4149 à Hinzert Date et lieu de Naissance : Jules Achard fils de Gaston Achard et de Marie né Maillard son épouse, est né le 17 juin 1913 à Nantes. Bio avant-guerre : Il est lithographe. Il habite 24 rue Paul Bellamy à Nantes. Il épouse Antoinette Le Ny en mars 1938 à Nantes Circonstances de l’arrestation : Jules Achard est membre du réseau C.N.D Castille depuis le 1 janvier 1941. Agent P2, il est opérateur radio agence Saint-Nazaire-Nantes. Il est arrêté par les autorités allemandes au café d’Alsace à Nantes. Il est porteur d’un lot de 50 photos du général De Gaulle à remettre à un agent. Date et lieu de l’arrestation : Il est arrêté le 26 décembre 1941 à Nantes. Parcours avant déportation : Il est interné à Nantes Lafayette du 26 décembre 1941 au 11 avril 1942, puis à Fresnes du 11 avril au 28 mai 1942. Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Jules Achard est déporté de la gare de l’est le 28 mai 1942 pour le camp de Hinzert où il arrive le 29 mai (Convoi I.033 de déportés "NN"). Il y reste jusqu’au 24 juillet 1942, date où il est transféré à la prison de Wittlich jusqu’au 13 janvier 1943, puis de Köln-Kingelpütz le 14 janvier 1943 au 27 février 1943 , (matricule 1269/42). Le « tribunal du peuple » de Cologne le condamne à cinq ans de travaux forces. Il est transféré le 01 mars1943 à la forteresse de Sonnenburg jusqu’au 14 novembre 1944. Il est transféré le 15 novembre au camp de Sachsenhausen (matricule 117250) jusqu’au 21 avril 1945 date de son évacuation par une « marche de la mort ». Le 21 avril 1945, 30 000 hommes de Sachsenhausen et 5 000 femmes venant de Ravensbrück sont évacués, par groupe de 500, en direction de la Baltique. Des milliers de déportés, incapables de suivre, sont abattus d’une balle dans la nuque sur le bord de la route. Les 18 000 survivants sont libérés le 2 et 3 mai entre Crivitz et Schwerin. Date et lieu de libération : Jules Achard est libéré lors de l’évacuation, le 02 mai 1945 à Schwerin. Il rentre à Nantes le 26 mai 1945. Jules Achard Bio après guerre : Jules Achard décède le 29 novembre 1993 à Orvault. Sources : Livre-Mémorial FMD (I.033) http://www.bddm.org/ AD44 (248 J 12-13; 1305 W 42) Service historique de la Défense, Caen SHD/ AC 21 P 695 507 Sachsenhausen afmd.org https://afmd.org › sachsenhausen C.N.D. Castille - Annuaire Fiche modifiée le 27/11/2024
NOM, Prénom : ACHARD Jules, Marcel, Gaston. N° matricule : 4149 à Hinzert Date et lieu de Naissance : Jules Achard fils de Gaston Achard et de Marie né Maillard son épouse, est né le 17 juin 1913 à Nantes. Bio avant-guerre : Il est lithographe. Il habite 24 rue Paul Bellamy à Nantes. Il épouse Antoinette Le Ny en mars 1938 à Nantes Circonstances de l’arrestation : Jules Achard est membre du réseau C.N.D Castille depuis le 1 janvier 1941. Agent P2, il est opérateur radio agence Saint-Nazaire-Nantes. Il est arrêté par les autorités allemandes au café d’Alsace à Nantes. Il est porteur d’un lot de 50 photos du général De Gaulle à remettre à un agent. Date et lieu de l’arrestation : Il est arrêté le 26 décembre 1941 à Nantes. Parcours avant déportation : Il est interné à Nantes Lafayette du 26 décembre 1941 au 11 avril 1942, puis à Fresnes du 11 avril au 28 mai 1942. Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Jules Achard est déporté de la gare de l’est le 28 mai 1942 pour le camp de Hinzert où il arrive le 29 mai (Convoi I.033 de déportés "NN"). Il y reste jusqu’au 24 juillet 1942, date où il est transféré à la prison de Wittlich jusqu’au 13 janvier 1943, puis de Köln-Kingelpütz le 14 janvier 1943 au 27 février 1943 , (matricule 1269/42). Le « tribunal du peuple » de Cologne le condamne à cinq ans de travaux forces. Il est transféré le 01 mars1943 à la forteresse de Sonnenburg jusqu’au 14 novembre 1944. Il est transféré le 15 novembre au camp de Sachsenhausen (matricule 117250) jusqu’au 21 avril 1945 date de son évacuation par une « marche de la mort ». Le 21 avril 1945, 30 000 hommes de Sachsenhausen et 5 000 femmes venant de Ravensbrück sont évacués, par groupe de 500, en direction de la Baltique. Des milliers de déportés, incapables de suivre, sont abattus d’une balle dans la nuque sur le bord de la route. Les 18 000 survivants sont libérés le 2 et 3 mai entre Crivitz et Schwerin. Date et lieu de libération : Jules Achard est libéré lors de l’évacuation, le 02 mai 1945 à Schwerin. Il rentre à Nantes le 26 mai 1945. Jules Achard Bio après guerre : Jules Achard décède le 29 novembre 1993 à Orvault. Sources : Livre-Mémorial FMD (I.033) http://www.bddm.org/ AD44 (248 J 12-13; 1305 W 42) Service historique de la Défense, Caen SHD/ AC 21 P 695 507 Sachsenhausen afmd.org https://afmd.org › sachsenhausen C.N.D. Castille - Annuaire Fiche modifiée le 27/11/2024
NOM, Prénom : ACHARD Jules, Marcel, Gaston. N° matricule : 4149 à Hinzert Date et lieu de Naissance : Jules Achard fils de Gaston Achard et de Marie né Maillard son épouse, est né le 17 juin 1913 à Nantes. Bio avant-guerre : Il est lithographe. Il habite 24 rue Paul Bellamy à Nantes. Il épouse Antoinette Le Ny en mars 1938 à Nantes Circonstances de l’arrestation : Jules Achard est membre du réseau C.N.D Castille depuis le 1 janvier 1941. Agent P2, il est opérateur radio agence Saint-Nazaire-Nantes. Il est arrêté par les autorités allemandes au café d’Alsace à Nantes. Il est porteur d’un lot de 50 photos du général De Gaulle à remettre à un agent. Date et lieu de l’arrestation : Il est arrêté le 26 décembre 1941 à Nantes. Parcours avant déportation : Il est interné à Nantes Lafayette du 26 décembre 1941 au 11 avril 1942, puis à Fresnes du 11 avril au 28 mai 1942. Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Jules Achard est déporté de la gare de l’est le 28 mai 1942 pour le camp de Hinzert où il arrive le 29 mai (Convoi I.033 de déportés "NN"). Il y reste jusqu’au 24 juillet 1942, date où il est transféré à la prison de Wittlich jusqu’au 13 janvier 1943, puis de Köln-Kingelpütz le 14 janvier 1943 au 27 février 1943 , (matricule 1269/42). Le « tribunal du peuple » de Cologne le condamne à cinq ans de travaux forces. Il est transféré le 01 mars1943 à la forteresse de Sonnenburg jusqu’au 14 novembre 1944. Il est transféré le 15 novembre au camp de Sachsenhausen (matricule 117250) jusqu’au 21 avril 1945 date de son évacuation par une « marche de la mort ». Le 21 avril 1945, 30 000 hommes de Sachsenhausen et 5 000 femmes venant de Ravensbrück sont évacués, par groupe de 500, en direction de la Baltique. Des milliers de déportés, incapables de suivre, sont abattus d’une balle dans la nuque sur le bord de la route. Les 18 000 survivants sont libérés le 2 et 3 mai entre Crivitz et Schwerin. Date et lieu de libération : Jules Achard est libéré lors de l’évacuation, le 02 mai 1945 à Schwerin. Il rentre à Nantes le 26 mai 1945. Jules Achard Bio après guerre : Jules Achard décède le 29 novembre 1993 à Orvault. Sources : Livre-Mémorial FMD (I.033) http://www.bddm.org/ AD44 (248 J 12-13; 1305 W 42) Service historique de la Défense, Caen SHD/ AC 21 P 695 507 Sachsenhausen afmd.org https://afmd.org › sachsenhausen C.N.D. Castille - Annuaire Fiche modifiée le 27/11/2024
31/01/2025
ADAM
Henri
fiche modifiée le 25/11/2024 NOM, Prénom : ADAM Henri François (Ne pas confondre avec Henri Adam, fusillé du procès des 42 et Henri Adam, fusillé du groupe Bocq-Adam) N° matricule : 19353 Natzweiler-Struthof. Date et lieu de Naissance : Henri Adam fils de Désiré Adam et de Thérèse Lebon son épouse, est né le 08 avril 1891 à Saint-Mars du Désert (Loire-Inférieure). Bio avant-guerre : Il est administrateur de société, conseiller municipal de Paris, domicilié 24 rue Eglé à Maisons-Laffitte (78). Il s’est marié avec Suzanne née Bousquet, est père de deux enfants âgés de 21 et 18 ans. Circonstances de l'arrestation : Henri Adam est membre de l’OCM sous les ordres du colonel Desjardins et membre du réseau Goélette à partir du 01 Janvier 19.44. Il est impliqué dans l’ affaire avec madame James qui se révèle être Agente de la Gestapo Date et lieu de l’arrestation : Il est arrêté le 30 mars 1944 à son domicilie par les autorités allemandes. Un document des archives Arolsen indique l’arrestation le 30 mars 1944. Parcours avant déportation : Il est interné à la prison de Fresnes du 30 mars 1944 au 7 juillet 1944. Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Il est déporté « NN » par le convoi parti de la gare de Bercy (I.243) au camp de Natzweiler- Struthof le 7 juillet 1944. Le convoi arrive au camp le 10 juillet 1944. Le 02 septembre 1944 c’est l’évacuation du camp. Henri Adam est transféré à Dachau le 4 septembre 1944 (matricule 99227) jusqu’en avril 1945. Date et lieu de libération : Henri Adam est libéré à Dachau le 29 avril 1945. Bio après guerre : Sources : Livre-Mémorial FMD (I.243) http://www.bddm.org/ Dossier SHD Caen 21 P 695 620 Arolsen archives Photo à Natzweiler-Struthof
fiche modifiée le 25/11/2024 NOM, Prénom : ADAM Henri François (Ne pas confondre avec Henri Adam, fusillé du procès des 42 et Henri Adam, fusillé du groupe Bocq-Adam) N° matricule : 19353 Natzweiler-Struthof. Date et lieu de Naissance : Henri Adam fils de Désiré Adam et de Thérèse Lebon son épouse, est né le 08 avril 1891 à Saint-Mars du Désert (Loire-Inférieure). Bio avant-guerre : Il est administrateur de société, conseiller municipal de Paris, domicilié 24 rue Eglé à Maisons-Laffitte (78). Il s’est marié avec Suzanne née Bousquet, est père de deux enfants âgés de 21 et 18 ans. Circonstances de l'arrestation : Henri Adam est membre de l’OCM sous les ordres du colonel Desjardins et membre du réseau Goélette à partir du 01 Janvier 19.44. Il est impliqué dans l’ affaire avec madame James qui se révèle être Agente de la Gestapo Date et lieu de l’arrestation : Il est arrêté le 30 mars 1944 à son domicilie par les autorités allemandes. Un document des archives Arolsen indique l’arrestation le 30 mars 1944. Parcours avant déportation : Il est interné à la prison de Fresnes du 30 mars 1944 au 7 juillet 1944. Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Il est déporté « NN » par le convoi parti de la gare de Bercy (I.243) au camp de Natzweiler- Struthof le 7 juillet 1944. Le convoi arrive au camp le 10 juillet 1944. Le 02 septembre 1944 c’est l’évacuation du camp. Henri Adam est transféré à Dachau le 4 septembre 1944 (matricule 99227) jusqu’en avril 1945. Date et lieu de libération : Henri Adam est libéré à Dachau le 29 avril 1945. Bio après guerre : Sources : Livre-Mémorial FMD (I.243) http://www.bddm.org/ Dossier SHD Caen 21 P 695 620 Arolsen archives Photo à Natzweiler-Struthof
fiche modifiée le 25/11/2024 NOM, Prénom : ADAM Henri François (Ne pas confondre avec Henri Adam, fusillé du procès des 42 et Henri Adam, fusillé du groupe Bocq-Adam) N° matricule : 19353 Natzweiler-Struthof. Date et lieu de Naissance : Henri Adam fils de Désiré Adam et de Thérèse Lebon son épouse, est né le 08 avril 1891 à Saint-Mars du Désert (Loire-Inférieure). Bio avant-guerre : Il est administrateur de société, conseiller municipal de Paris, domicilié 24 rue Eglé à Maisons-Laffitte (78). Il s’est marié avec Suzanne née Bousquet, est père de deux enfants âgés de 21 et 18 ans. Circonstances de l'arrestation : Henri Adam est membre de l’OCM sous les ordres du colonel Desjardins et membre du réseau Goélette à partir du 01 Janvier 19.44. Il est impliqué dans l’ affaire avec madame James qui se révèle être Agente de la Gestapo Date et lieu de l’arrestation : Il est arrêté le 30 mars 1944 à son domicilie par les autorités allemandes. Un document des archives Arolsen indique l’arrestation le 30 mars 1944. Parcours avant déportation : Il est interné à la prison de Fresnes du 30 mars 1944 au 7 juillet 1944. Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Il est déporté « NN » par le convoi parti de la gare de Bercy (I.243) au camp de Natzweiler- Struthof le 7 juillet 1944. Le convoi arrive au camp le 10 juillet 1944. Le 02 septembre 1944 c’est l’évacuation du camp. Henri Adam est transféré à Dachau le 4 septembre 1944 (matricule 99227) jusqu’en avril 1945. Date et lieu de libération : Henri Adam est libéré à Dachau le 29 avril 1945. Bio après guerre : Sources : Livre-Mémorial FMD (I.243) http://www.bddm.org/ Dossier SHD Caen 21 P 695 620 Arolsen archives Photo à Natzweiler-Struthof
fiche modifiée le 25/11/2024 NOM, Prénom : ADAM Henri François (Ne pas confondre avec Henri Adam, fusillé du procès des 42 et Henri Adam, fusillé du groupe Bocq-Adam) N° matricule : 19353 Natzweiler-Struthof. Date et lieu de Naissance : Henri Adam fils de Désiré Adam et de Thérèse Lebon son épouse, est né le 08 avril 1891 à Saint-Mars du Désert (Loire-Inférieure). Bio avant-guerre : Il est administrateur de société, conseiller municipal de Paris, domicilié 24 rue Eglé à Maisons-Laffitte (78). Il s’est marié avec Suzanne née Bousquet, est père de deux enfants âgés de 21 et 18 ans. Circonstances de l'arrestation : Henri Adam est membre de l’OCM sous les ordres du colonel Desjardins et membre du réseau Goélette à partir du 01 Janvier 19.44. Il est impliqué dans l’ affaire avec madame James qui se révèle être Agente de la Gestapo Date et lieu de l’arrestation : Il est arrêté le 30 mars 1944 à son domicilie par les autorités allemandes. Un document des archives Arolsen indique l’arrestation le 30 mars 1944. Parcours avant déportation : Il est interné à la prison de Fresnes du 30 mars 1944 au 7 juillet 1944. Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Il est déporté « NN » par le convoi parti de la gare de Bercy (I.243) au camp de Natzweiler- Struthof le 7 juillet 1944. Le convoi arrive au camp le 10 juillet 1944. Le 02 septembre 1944 c’est l’évacuation du camp. Henri Adam est transféré à Dachau le 4 septembre 1944 (matricule 99227) jusqu’en avril 1945. Date et lieu de libération : Henri Adam est libéré à Dachau le 29 avril 1945. Bio après guerre : Sources : Livre-Mémorial FMD (I.243) http://www.bddm.org/ Dossier SHD Caen 21 P 695 620 Arolsen archives Photo à Natzweiler-Struthof
fiche modifiée le 25/11/2024 NOM, Prénom : ADAM Henri François (Ne pas confondre avec Henri Adam, fusillé du procès des 42 et Henri Adam, fusillé du groupe Bocq-Adam) N° matricule : 19353 Natzweiler-Struthof. Date et lieu de Naissance : Henri Adam fils de Désiré Adam et de Thérèse Lebon son épouse, est né le 08 avril 1891 à Saint-Mars du Désert (Loire-Inférieure). Bio avant-guerre : Il est administrateur de société, conseiller municipal de Paris, domicilié 24 rue Eglé à Maisons-Laffitte (78). Il s’est marié avec Suzanne née Bousquet, est père de deux enfants âgés de 21 et 18 ans. Circonstances de l'arrestation : Henri Adam est membre de l’OCM sous les ordres du colonel Desjardins et membre du réseau Goélette à partir du 01 Janvier 19.44. Il est impliqué dans l’ affaire avec madame James qui se révèle être Agente de la Gestapo Date et lieu de l’arrestation : Il est arrêté le 30 mars 1944 à son domicilie par les autorités allemandes. Un document des archives Arolsen indique l’arrestation le 30 mars 1944. Parcours avant déportation : Il est interné à la prison de Fresnes du 30 mars 1944 au 7 juillet 1944. Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Il est déporté « NN » par le convoi parti de la gare de Bercy (I.243) au camp de Natzweiler- Struthof le 7 juillet 1944. Le convoi arrive au camp le 10 juillet 1944. Le 02 septembre 1944 c’est l’évacuation du camp. Henri Adam est transféré à Dachau le 4 septembre 1944 (matricule 99227) jusqu’en avril 1945. Date et lieu de libération : Henri Adam est libéré à Dachau le 29 avril 1945. Bio après guerre : Sources : Livre-Mémorial FMD (I.243) http://www.bddm.org/ Dossier SHD Caen 21 P 695 620 Arolsen archives Photo à Natzweiler-Struthof
31/01/2025
ADAM
Pierre
NOM, Prénom : ADAM Pierre, Jean. N° matricule : 23805 au camp de Natzweiler-Struthof Date et lieu de Naissance : Pierre Adam fils d’Alfred Adam et de Magdeleine né Vincent-Viry son épouse, naît le 21 novembre 1927 à Paris 18ème (75). Bio avant-guerre : Il est aide-charpentier, il est domicilié chez ses parents villa Ker Mélanie avenue des Salines à La Baule. Circonstances de l’arrestation : Pierre Adam cherche à entrer dans le maquis le plus proche, le Maquis de Saint-Marcel dans le Morbihan. Son père indique : « Mon fils étant résistant clandestin avait la ferme intention de prendre part d’une façon plus efficace aux activités d’un maquis ». pierre Adam est surveillé par son chef à cause de ses absences répétées alors qu’il est requis pour travailler à la Kriegsmarine. Dénoncé, il est arrêté par la Feldgendarmerie. Il est accusé d’avoir tué des officiers allemands lors des affrontements du maquis de Saint-Marcel. Il est condamné par le tribunal militaire Allemand de Nantes à la déportation. Date et lieu de l’arrestation : Il est arrêté le 01 juillet 1944 à La Baule. Parcours avant déportation : Il est interné à Nantes du 4 au 10 juillet, transféré à Belfort (au Fort Hatry) par le train qui évacue les prisonniers de Rennes et de Nantes le 10 juillet 1944. Le train arrive à Belfort « le Fort Hatry à Belfort reçoit, depuis quelques mois, un nombre important de détenus de plusieurs prisons françaises. Ceci est à replacer dans le contexte de la libération progressive du territoire, entamée par le débarquement du 6 juin 1944 en Normandie, et qui voit les Allemands évacuer les villes qu’ils occupent et déporter les détenus jugés dangereux. A partir du mois d’août, ne pouvant plus les faire transiter par Paris ou Compiègne, qui étaient jusque-là les principaux lieux de départs en déportation, ils les dirigent directement vers l’Allemagne. Belfort devient alors un des lieux de transit avant la déportation dans un KL ou une prison du Reich. » Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Pierre Adam est déporté au camp de Natzweiler-Struthof le 26 août 1944 (convoi I.273) jusqu’au 04 septembre 1944. Il est transféré à Dachau matricule 100175 le 4 septembre 1944, c’est l’évacuation de Natzweiler-Struthof. Le camp est évacué principalement en deux journées, les 2 et 4 septembre. 5 518 détenus sont transférés à Dachau. Pierre Adam est ensuite affecté au kommando d’Ottobrunn en septembre 1944, puis à Dautmergen (ancien Kommando de Natzweiler) d’où il part le 7 novembre 1944 pour Vaihingen : Pi erre Adam « Situé dans le Bade-Wurtemberg, le camp annexe de Vaihingen est créé en août 1944. Il doit fournir la main d’œuvre d’esclaves nécessaire à la construction de bunkers colossaux destinés à abriter des usines d’armement. Repérés par les Alliés et bombardés, les chantiers sont abandonnés mais le camp est alors utilisé pour y transférer les inaptes au travail des annexes du KL Natzweiler. Il devient un camp mouroir dans lequel les camps de la vallée du Neckar envoyaient leurs détenus inaptes. Plus de 3 200 déportés polonais, tchèques, roumains, russes et français y moururent en huit mois de l’absence totale de soins et de l’insalubrité des conditions de vie. » Date et lieu de décès : Pierre Adam meurt à Vaihingen le 20 novembre 1944 Sources: www.bddm.org AD44 (1305 W 42) SHD Caen, 21 P 416 719 Les arrivées du 26 août 1944 en provenance de Belfort (I.273.) bddm.org http://www.bddm.org › liv › details fin du système concentrationnaire et début des retours.ii Fondation pour la mémoire de la déportation https://fondationmemoiredeportation.com › 23-p... Centre européen du résistant déporté Mémorial Struthof https://www.struthof.fr › Struthof › Espace_presse
NOM, Prénom : ADAM Pierre, Jean. N° matricule : 23805 au camp de Natzweiler-Struthof Date et lieu de Naissance : Pierre Adam fils d’Alfred Adam et de Magdeleine né Vincent-Viry son épouse, naît le 21 novembre 1927 à Paris 18ème (75). Bio avant-guerre : Il est aide-charpentier, il est domicilié chez ses parents villa Ker Mélanie avenue des Salines à La Baule. Circonstances de l’arrestation : Pierre Adam cherche à entrer dans le maquis le plus proche, le Maquis de Saint-Marcel dans le Morbihan. Son père indique : « Mon fils étant résistant clandestin avait la ferme intention de prendre part d’une façon plus efficace aux activités d’un maquis ». pierre Adam est surveillé par son chef à cause de ses absences répétées alors qu’il est requis pour travailler à la Kriegsmarine. Dénoncé, il est arrêté par la Feldgendarmerie. Il est accusé d’avoir tué des officiers allemands lors des affrontements du maquis de Saint-Marcel. Il est condamné par le tribunal militaire Allemand de Nantes à la déportation. Date et lieu de l’arrestation : Il est arrêté le 01 juillet 1944 à La Baule. Parcours avant déportation : Il est interné à Nantes du 4 au 10 juillet, transféré à Belfort (au Fort Hatry) par le train qui évacue les prisonniers de Rennes et de Nantes le 10 juillet 1944. Le train arrive à Belfort « le Fort Hatry à Belfort reçoit, depuis quelques mois, un nombre important de détenus de plusieurs prisons françaises. Ceci est à replacer dans le contexte de la libération progressive du territoire, entamée par le débarquement du 6 juin 1944 en Normandie, et qui voit les Allemands évacuer les villes qu’ils occupent et déporter les détenus jugés dangereux. A partir du mois d’août, ne pouvant plus les faire transiter par Paris ou Compiègne, qui étaient jusque-là les principaux lieux de départs en déportation, ils les dirigent directement vers l’Allemagne. Belfort devient alors un des lieux de transit avant la déportation dans un KL ou une prison du Reich. » Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Pierre Adam est déporté au camp de Natzweiler-Struthof le 26 août 1944 (convoi I.273) jusqu’au 04 septembre 1944. Il est transféré à Dachau matricule 100175 le 4 septembre 1944, c’est l’évacuation de Natzweiler-Struthof. Le camp est évacué principalement en deux journées, les 2 et 4 septembre. 5 518 détenus sont transférés à Dachau. Pierre Adam est ensuite affecté au kommando d’Ottobrunn en septembre 1944, puis à Dautmergen (ancien Kommando de Natzweiler) d’où il part le 7 novembre 1944 pour Vaihingen : Pi erre Adam « Situé dans le Bade-Wurtemberg, le camp annexe de Vaihingen est créé en août 1944. Il doit fournir la main d’œuvre d’esclaves nécessaire à la construction de bunkers colossaux destinés à abriter des usines d’armement. Repérés par les Alliés et bombardés, les chantiers sont abandonnés mais le camp est alors utilisé pour y transférer les inaptes au travail des annexes du KL Natzweiler. Il devient un camp mouroir dans lequel les camps de la vallée du Neckar envoyaient leurs détenus inaptes. Plus de 3 200 déportés polonais, tchèques, roumains, russes et français y moururent en huit mois de l’absence totale de soins et de l’insalubrité des conditions de vie. » Date et lieu de décès : Pierre Adam meurt à Vaihingen le 20 novembre 1944 Sources: www.bddm.org AD44 (1305 W 42) SHD Caen, 21 P 416 719 Les arrivées du 26 août 1944 en provenance de Belfort (I.273.) bddm.org http://www.bddm.org › liv › details fin du système concentrationnaire et début des retours.ii Fondation pour la mémoire de la déportation https://fondationmemoiredeportation.com › 23-p... Centre européen du résistant déporté Mémorial Struthof https://www.struthof.fr › Struthof › Espace_presse
NOM, Prénom : ADAM Pierre, Jean. N° matricule : 23805 au camp de Natzweiler-Struthof Date et lieu de Naissance : Pierre Adam fils d’Alfred Adam et de Magdeleine né Vincent-Viry son épouse, naît le 21 novembre 1927 à Paris 18ème (75). Bio avant-guerre : Il est aide-charpentier, il est domicilié chez ses parents villa Ker Mélanie avenue des Salines à La Baule. Circonstances de l’arrestation : Pierre Adam cherche à entrer dans le maquis le plus proche, le Maquis de Saint-Marcel dans le Morbihan. Son père indique : « Mon fils étant résistant clandestin avait la ferme intention de prendre part d’une façon plus efficace aux activités d’un maquis ». pierre Adam est surveillé par son chef à cause de ses absences répétées alors qu’il est requis pour travailler à la Kriegsmarine. Dénoncé, il est arrêté par la Feldgendarmerie. Il est accusé d’avoir tué des officiers allemands lors des affrontements du maquis de Saint-Marcel. Il est condamné par le tribunal militaire Allemand de Nantes à la déportation. Date et lieu de l’arrestation : Il est arrêté le 01 juillet 1944 à La Baule. Parcours avant déportation : Il est interné à Nantes du 4 au 10 juillet, transféré à Belfort (au Fort Hatry) par le train qui évacue les prisonniers de Rennes et de Nantes le 10 juillet 1944. Le train arrive à Belfort « le Fort Hatry à Belfort reçoit, depuis quelques mois, un nombre important de détenus de plusieurs prisons françaises. Ceci est à replacer dans le contexte de la libération progressive du territoire, entamée par le débarquement du 6 juin 1944 en Normandie, et qui voit les Allemands évacuer les villes qu’ils occupent et déporter les détenus jugés dangereux. A partir du mois d’août, ne pouvant plus les faire transiter par Paris ou Compiègne, qui étaient jusque-là les principaux lieux de départs en déportation, ils les dirigent directement vers l’Allemagne. Belfort devient alors un des lieux de transit avant la déportation dans un KL ou une prison du Reich. » Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Pierre Adam est déporté au camp de Natzweiler-Struthof le 26 août 1944 (convoi I.273) jusqu’au 04 septembre 1944. Il est transféré à Dachau matricule 100175 le 4 septembre 1944, c’est l’évacuation de Natzweiler-Struthof. Le camp est évacué principalement en deux journées, les 2 et 4 septembre. 5 518 détenus sont transférés à Dachau. Pierre Adam est ensuite affecté au kommando d’Ottobrunn en septembre 1944, puis à Dautmergen (ancien Kommando de Natzweiler) d’où il part le 7 novembre 1944 pour Vaihingen : Pi erre Adam « Situé dans le Bade-Wurtemberg, le camp annexe de Vaihingen est créé en août 1944. Il doit fournir la main d’œuvre d’esclaves nécessaire à la construction de bunkers colossaux destinés à abriter des usines d’armement. Repérés par les Alliés et bombardés, les chantiers sont abandonnés mais le camp est alors utilisé pour y transférer les inaptes au travail des annexes du KL Natzweiler. Il devient un camp mouroir dans lequel les camps de la vallée du Neckar envoyaient leurs détenus inaptes. Plus de 3 200 déportés polonais, tchèques, roumains, russes et français y moururent en huit mois de l’absence totale de soins et de l’insalubrité des conditions de vie. » Date et lieu de décès : Pierre Adam meurt à Vaihingen le 20 novembre 1944 Sources: www.bddm.org AD44 (1305 W 42) SHD Caen, 21 P 416 719 Les arrivées du 26 août 1944 en provenance de Belfort (I.273.) bddm.org http://www.bddm.org › liv › details fin du système concentrationnaire et début des retours.ii Fondation pour la mémoire de la déportation https://fondationmemoiredeportation.com › 23-p... Centre européen du résistant déporté Mémorial Struthof https://www.struthof.fr › Struthof › Espace_presse
NOM, Prénom : ADAM Pierre, Jean. N° matricule : 23805 au camp de Natzweiler-Struthof Date et lieu de Naissance : Pierre Adam fils d’Alfred Adam et de Magdeleine né Vincent-Viry son épouse, naît le 21 novembre 1927 à Paris 18ème (75). Bio avant-guerre : Il est aide-charpentier, il est domicilié chez ses parents villa Ker Mélanie avenue des Salines à La Baule. Circonstances de l’arrestation : Pierre Adam cherche à entrer dans le maquis le plus proche, le Maquis de Saint-Marcel dans le Morbihan. Son père indique : « Mon fils étant résistant clandestin avait la ferme intention de prendre part d’une façon plus efficace aux activités d’un maquis ». pierre Adam est surveillé par son chef à cause de ses absences répétées alors qu’il est requis pour travailler à la Kriegsmarine. Dénoncé, il est arrêté par la Feldgendarmerie. Il est accusé d’avoir tué des officiers allemands lors des affrontements du maquis de Saint-Marcel. Il est condamné par le tribunal militaire Allemand de Nantes à la déportation. Date et lieu de l’arrestation : Il est arrêté le 01 juillet 1944 à La Baule. Parcours avant déportation : Il est interné à Nantes du 4 au 10 juillet, transféré à Belfort (au Fort Hatry) par le train qui évacue les prisonniers de Rennes et de Nantes le 10 juillet 1944. Le train arrive à Belfort « le Fort Hatry à Belfort reçoit, depuis quelques mois, un nombre important de détenus de plusieurs prisons françaises. Ceci est à replacer dans le contexte de la libération progressive du territoire, entamée par le débarquement du 6 juin 1944 en Normandie, et qui voit les Allemands évacuer les villes qu’ils occupent et déporter les détenus jugés dangereux. A partir du mois d’août, ne pouvant plus les faire transiter par Paris ou Compiègne, qui étaient jusque-là les principaux lieux de départs en déportation, ils les dirigent directement vers l’Allemagne. Belfort devient alors un des lieux de transit avant la déportation dans un KL ou une prison du Reich. » Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Pierre Adam est déporté au camp de Natzweiler-Struthof le 26 août 1944 (convoi I.273) jusqu’au 04 septembre 1944. Il est transféré à Dachau matricule 100175 le 4 septembre 1944, c’est l’évacuation de Natzweiler-Struthof. Le camp est évacué principalement en deux journées, les 2 et 4 septembre. 5 518 détenus sont transférés à Dachau. Pierre Adam est ensuite affecté au kommando d’Ottobrunn en septembre 1944, puis à Dautmergen (ancien Kommando de Natzweiler) d’où il part le 7 novembre 1944 pour Vaihingen : Pi erre Adam « Situé dans le Bade-Wurtemberg, le camp annexe de Vaihingen est créé en août 1944. Il doit fournir la main d’œuvre d’esclaves nécessaire à la construction de bunkers colossaux destinés à abriter des usines d’armement. Repérés par les Alliés et bombardés, les chantiers sont abandonnés mais le camp est alors utilisé pour y transférer les inaptes au travail des annexes du KL Natzweiler. Il devient un camp mouroir dans lequel les camps de la vallée du Neckar envoyaient leurs détenus inaptes. Plus de 3 200 déportés polonais, tchèques, roumains, russes et français y moururent en huit mois de l’absence totale de soins et de l’insalubrité des conditions de vie. » Date et lieu de décès : Pierre Adam meurt à Vaihingen le 20 novembre 1944 Sources: www.bddm.org AD44 (1305 W 42) SHD Caen, 21 P 416 719 Les arrivées du 26 août 1944 en provenance de Belfort (I.273.) bddm.org http://www.bddm.org › liv › details fin du système concentrationnaire et début des retours.ii Fondation pour la mémoire de la déportation https://fondationmemoiredeportation.com › 23-p... Centre européen du résistant déporté Mémorial Struthof https://www.struthof.fr › Struthof › Espace_presse
NOM, Prénom : ADAM Pierre, Jean. N° matricule : 23805 au camp de Natzweiler-Struthof Date et lieu de Naissance : Pierre Adam fils d’Alfred Adam et de Magdeleine né Vincent-Viry son épouse, naît le 21 novembre 1927 à Paris 18ème (75). Bio avant-guerre : Il est aide-charpentier, il est domicilié chez ses parents villa Ker Mélanie avenue des Salines à La Baule. Circonstances de l’arrestation : Pierre Adam cherche à entrer dans le maquis le plus proche, le Maquis de Saint-Marcel dans le Morbihan. Son père indique : « Mon fils étant résistant clandestin avait la ferme intention de prendre part d’une façon plus efficace aux activités d’un maquis ». pierre Adam est surveillé par son chef à cause de ses absences répétées alors qu’il est requis pour travailler à la Kriegsmarine. Dénoncé, il est arrêté par la Feldgendarmerie. Il est accusé d’avoir tué des officiers allemands lors des affrontements du maquis de Saint-Marcel. Il est condamné par le tribunal militaire Allemand de Nantes à la déportation. Date et lieu de l’arrestation : Il est arrêté le 01 juillet 1944 à La Baule. Parcours avant déportation : Il est interné à Nantes du 4 au 10 juillet, transféré à Belfort (au Fort Hatry) par le train qui évacue les prisonniers de Rennes et de Nantes le 10 juillet 1944. Le train arrive à Belfort « le Fort Hatry à Belfort reçoit, depuis quelques mois, un nombre important de détenus de plusieurs prisons françaises. Ceci est à replacer dans le contexte de la libération progressive du territoire, entamée par le débarquement du 6 juin 1944 en Normandie, et qui voit les Allemands évacuer les villes qu’ils occupent et déporter les détenus jugés dangereux. A partir du mois d’août, ne pouvant plus les faire transiter par Paris ou Compiègne, qui étaient jusque-là les principaux lieux de départs en déportation, ils les dirigent directement vers l’Allemagne. Belfort devient alors un des lieux de transit avant la déportation dans un KL ou une prison du Reich. » Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Pierre Adam est déporté au camp de Natzweiler-Struthof le 26 août 1944 (convoi I.273) jusqu’au 04 septembre 1944. Il est transféré à Dachau matricule 100175 le 4 septembre 1944, c’est l’évacuation de Natzweiler-Struthof. Le camp est évacué principalement en deux journées, les 2 et 4 septembre. 5 518 détenus sont transférés à Dachau. Pierre Adam est ensuite affecté au kommando d’Ottobrunn en septembre 1944, puis à Dautmergen (ancien Kommando de Natzweiler) d’où il part le 7 novembre 1944 pour Vaihingen : Pi erre Adam « Situé dans le Bade-Wurtemberg, le camp annexe de Vaihingen est créé en août 1944. Il doit fournir la main d’œuvre d’esclaves nécessaire à la construction de bunkers colossaux destinés à abriter des usines d’armement. Repérés par les Alliés et bombardés, les chantiers sont abandonnés mais le camp est alors utilisé pour y transférer les inaptes au travail des annexes du KL Natzweiler. Il devient un camp mouroir dans lequel les camps de la vallée du Neckar envoyaient leurs détenus inaptes. Plus de 3 200 déportés polonais, tchèques, roumains, russes et français y moururent en huit mois de l’absence totale de soins et de l’insalubrité des conditions de vie. » Date et lieu de décès : Pierre Adam meurt à Vaihingen le 20 novembre 1944 Sources: www.bddm.org AD44 (1305 W 42) SHD Caen, 21 P 416 719 Les arrivées du 26 août 1944 en provenance de Belfort (I.273.) bddm.org http://www.bddm.org › liv › details fin du système concentrationnaire et début des retours.ii Fondation pour la mémoire de la déportation https://fondationmemoiredeportation.com › 23-p... Centre européen du résistant déporté Mémorial Struthof https://www.struthof.fr › Struthof › Espace_presse
31/01/2025
ADLER
Dinah
Fiche créée le 20 /05/2017 modifiée le 21/07/2022 NOM, Prénom : ADLER Dinah, née HELFT N° matricule : Date et lieu de Naissance : Dinah Helft est née à Nantes le 11/05/1890, fille d’Arthur et Hélène Helft Bio avant - guerre : Elle est mariée à M . Adler Circonstances de l’arrestation : Date et lieu de l’arrestation : Elle est arrêtée à Nice, internée à Drancy (matricule 5670) Parcours avant déportation : Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Elle est déportée à Auschwitz par le convoi n° 60 parti e de Drancy le 7 oct obre 1943. Date et lieu de décès : Elle est gazée à Auschwitz le 12/10/1943 Sources : Jean - Pierre Sauvage et Xavier Trochu. Mémorial des victimes de la persécution allemande en Loire Inférieure 1940 - 1945. Déportés de la communauté juive. 2003 http: //m aitron - fusilles - 40 - 44.univ - paris1.fr/spip.php?article201245 Deportation - Nice Occupation - Free Bases de données | www.yadvashem.org morial de la Shoah - Musée et centre de document ati on ... Photo recherchée Ce document est la propriété de l'AFMD44
Fiche créée le 20 /05/2017 modifiée le 21/07/2022 NOM, Prénom : ADLER Dinah, née HELFT N° matricule : Date et lieu de Naissance : Dinah Helft est née à Nantes le 11/05/1890, fille d’Arthur et Hélène Helft Bio avant - guerre : Elle est mariée à M . Adler Circonstances de l’arrestation : Date et lieu de l’arrestation : Elle est arrêtée à Nice, internée à Drancy (matricule 5670) Parcours avant déportation : Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Elle est déportée à Auschwitz par le convoi n° 60 parti e de Drancy le 7 oct obre 1943. Date et lieu de décès : Elle est gazée à Auschwitz le 12/10/1943 Sources : Jean - Pierre Sauvage et Xavier Trochu. Mémorial des victimes de la persécution allemande en Loire Inférieure 1940 - 1945. Déportés de la communauté juive. 2003 http: //m aitron - fusilles - 40 - 44.univ - paris1.fr/spip.php?article201245 Deportation - Nice Occupation - Free Bases de données | www.yadvashem.org morial de la Shoah - Musée et centre de document ati on ... Photo recherchée Ce document est la propriété de l'AFMD44
Fiche créée le 20 /05/2017 modifiée le 21/07/2022 NOM, Prénom : ADLER Dinah, née HELFT N° matricule : Date et lieu de Naissance : Dinah Helft est née à Nantes le 11/05/1890, fille d’Arthur et Hélène Helft Bio avant - guerre : Elle est mariée à M . Adler Circonstances de l’arrestation : Date et lieu de l’arrestation : Elle est arrêtée à Nice, internée à Drancy (matricule 5670) Parcours avant déportation : Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Elle est déportée à Auschwitz par le convoi n° 60 parti e de Drancy le 7 oct obre 1943. Date et lieu de décès : Elle est gazée à Auschwitz le 12/10/1943 Sources : Jean - Pierre Sauvage et Xavier Trochu. Mémorial des victimes de la persécution allemande en Loire Inférieure 1940 - 1945. Déportés de la communauté juive. 2003 http: //m aitron - fusilles - 40 - 44.univ - paris1.fr/spip.php?article201245 Deportation - Nice Occupation - Free Bases de données | www.yadvashem.org morial de la Shoah - Musée et centre de document ati on ... Photo recherchée Ce document est la propriété de l'AFMD44
Fiche créée le 20 /05/2017 modifiée le 21/07/2022 NOM, Prénom : ADLER Dinah, née HELFT N° matricule : Date et lieu de Naissance : Dinah Helft est née à Nantes le 11/05/1890, fille d’Arthur et Hélène Helft Bio avant - guerre : Elle est mariée à M . Adler Circonstances de l’arrestation : Date et lieu de l’arrestation : Elle est arrêtée à Nice, internée à Drancy (matricule 5670) Parcours avant déportation : Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Elle est déportée à Auschwitz par le convoi n° 60 parti e de Drancy le 7 oct obre 1943. Date et lieu de décès : Elle est gazée à Auschwitz le 12/10/1943 Sources : Jean - Pierre Sauvage et Xavier Trochu. Mémorial des victimes de la persécution allemande en Loire Inférieure 1940 - 1945. Déportés de la communauté juive. 2003 http: //m aitron - fusilles - 40 - 44.univ - paris1.fr/spip.php?article201245 Deportation - Nice Occupation - Free Bases de données | www.yadvashem.org morial de la Shoah - Musée et centre de document ati on ... Photo recherchée Ce document est la propriété de l'AFMD44
Fiche créée le 20 /05/2017 modifiée le 21/07/2022 NOM, Prénom : ADLER Dinah, née HELFT N° matricule : Date et lieu de Naissance : Dinah Helft est née à Nantes le 11/05/1890, fille d’Arthur et Hélène Helft Bio avant - guerre : Elle est mariée à M . Adler Circonstances de l’arrestation : Date et lieu de l’arrestation : Elle est arrêtée à Nice, internée à Drancy (matricule 5670) Parcours avant déportation : Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Elle est déportée à Auschwitz par le convoi n° 60 parti e de Drancy le 7 oct obre 1943. Date et lieu de décès : Elle est gazée à Auschwitz le 12/10/1943 Sources : Jean - Pierre Sauvage et Xavier Trochu. Mémorial des victimes de la persécution allemande en Loire Inférieure 1940 - 1945. Déportés de la communauté juive. 2003 http: //m aitron - fusilles - 40 - 44.univ - paris1.fr/spip.php?article201245 Deportation - Nice Occupation - Free Bases de données | www.yadvashem.org morial de la Shoah - Musée et centre de document ati on ... Photo recherchée Ce document est la propriété de l'AFMD44
31/01/2025
AGUILERA-GISBERT
Emilio
NOM, Prénom : AGUILERA GISBERT Emilio N° matricule : 3168 à Mauthausen Date et lieu de Naissance : Emilio Aguilera Gisbert fils de Maravillas Gisbert Morales, sa mère et José Maria Aguilera Garrido son père, est né le 14 janvier 1913 à La Calahonra (province de Grenade) en Espagne. Bio avant-guerre : Il est métallurgiste, célibataire. Il s’est enrôlé dans la 136 ème Compagnie des Travailleurs Etrangers, tout comme son compatriote Juan MASSIP BACH. Au début de l’année 1940 cette compagnie est employée dans la « Poudrerie Gennes » à Longuefuye (Mayenne). Elle est rejointe en mai 1940 par la 126 ème C.T.E. commandée par le lieutenant d’infanterie coloniale, Wautier. L’encadrement français est également composé de deux sergents, trois caporaux et sept soldats. Cette compagnie est affectée au chantier de construction du Parc des Alcools qui dépend du Service des poudres du ministère des Armées. Avec l’avancée fulgurante des armées allemandes nous entrons dans une période de terrible désarroi et d’exode. L’encadrement militaire français déserte et abandonne à leur propre sort les républicains espagnols. Le 18 juin 1940 les allemands sont déjà à Château-Gontier. La veille, dans les deux C.T.E. il est décidé de fuir à pied et par petits groupes en direction du sud ou sud- ouest afin de franchir La Loire et rejoindre Toulouse. La progression est lente et exténuante en cette période estivale. C’est ainsi que Emilio Aguilera Gisbert est arrêté le 19 juin, à Nantes, le jour même de l’arrivée des troupes allemandes dans cette ville. Date et lieu de l’arrestation : Il est arrêté à Nantes le 19 juin 1940. Parcours avant déportation : Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Il est interné au camp de prisonniers de guerre situé à Sandbostel au « Stalag X B « sous le matricule 70.920 jusqu’au 28 février 1941. Il est transféré au camp de Mauthausen où il arrive le 3 mars 194, il est affecté au kommando de Gusen le 29 mars 1941 (matricule 11547). Date et lieu de décès : Emilio Aguilera-Gibert meurt à Gusen le 3 novembre 1941. Sources: Livre mémorial FMD (III.3) D.A.V.C.C, SHD Caen: 21 P 416 976. Ghislain Audion: « Réfugiés espagnols en Loire-Inférieure, 1936 - 1945, De la République Espagnole à La Résistance ». Geste Editions - 2015. Fiche modifiée le 28/11/2024 PHOTO recherchée
NOM, Prénom : AGUILERA GISBERT Emilio N° matricule : 3168 à Mauthausen Date et lieu de Naissance : Emilio Aguilera Gisbert fils de Maravillas Gisbert Morales, sa mère et José Maria Aguilera Garrido son père, est né le 14 janvier 1913 à La Calahonra (province de Grenade) en Espagne. Bio avant-guerre : Il est métallurgiste, célibataire. Il s’est enrôlé dans la 136 ème Compagnie des Travailleurs Etrangers, tout comme son compatriote Juan MASSIP BACH. Au début de l’année 1940 cette compagnie est employée dans la « Poudrerie Gennes » à Longuefuye (Mayenne). Elle est rejointe en mai 1940 par la 126 ème C.T.E. commandée par le lieutenant d’infanterie coloniale, Wautier. L’encadrement français est également composé de deux sergents, trois caporaux et sept soldats. Cette compagnie est affectée au chantier de construction du Parc des Alcools qui dépend du Service des poudres du ministère des Armées. Avec l’avancée fulgurante des armées allemandes nous entrons dans une période de terrible désarroi et d’exode. L’encadrement militaire français déserte et abandonne à leur propre sort les républicains espagnols. Le 18 juin 1940 les allemands sont déjà à Château-Gontier. La veille, dans les deux C.T.E. il est décidé de fuir à pied et par petits groupes en direction du sud ou sud- ouest afin de franchir La Loire et rejoindre Toulouse. La progression est lente et exténuante en cette période estivale. C’est ainsi que Emilio Aguilera Gisbert est arrêté le 19 juin, à Nantes, le jour même de l’arrivée des troupes allemandes dans cette ville. Date et lieu de l’arrestation : Il est arrêté à Nantes le 19 juin 1940. Parcours avant déportation : Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Il est interné au camp de prisonniers de guerre situé à Sandbostel au « Stalag X B « sous le matricule 70.920 jusqu’au 28 février 1941. Il est transféré au camp de Mauthausen où il arrive le 3 mars 194, il est affecté au kommando de Gusen le 29 mars 1941 (matricule 11547). Date et lieu de décès : Emilio Aguilera-Gibert meurt à Gusen le 3 novembre 1941. Sources: Livre mémorial FMD (III.3) D.A.V.C.C, SHD Caen: 21 P 416 976. Ghislain Audion: « Réfugiés espagnols en Loire-Inférieure, 1936 - 1945, De la République Espagnole à La Résistance ». Geste Editions - 2015. Fiche modifiée le 28/11/2024 PHOTO recherchée
NOM, Prénom : AGUILERA GISBERT Emilio N° matricule : 3168 à Mauthausen Date et lieu de Naissance : Emilio Aguilera Gisbert fils de Maravillas Gisbert Morales, sa mère et José Maria Aguilera Garrido son père, est né le 14 janvier 1913 à La Calahonra (province de Grenade) en Espagne. Bio avant-guerre : Il est métallurgiste, célibataire. Il s’est enrôlé dans la 136 ème Compagnie des Travailleurs Etrangers, tout comme son compatriote Juan MASSIP BACH. Au début de l’année 1940 cette compagnie est employée dans la « Poudrerie Gennes » à Longuefuye (Mayenne). Elle est rejointe en mai 1940 par la 126 ème C.T.E. commandée par le lieutenant d’infanterie coloniale, Wautier. L’encadrement français est également composé de deux sergents, trois caporaux et sept soldats. Cette compagnie est affectée au chantier de construction du Parc des Alcools qui dépend du Service des poudres du ministère des Armées. Avec l’avancée fulgurante des armées allemandes nous entrons dans une période de terrible désarroi et d’exode. L’encadrement militaire français déserte et abandonne à leur propre sort les républicains espagnols. Le 18 juin 1940 les allemands sont déjà à Château-Gontier. La veille, dans les deux C.T.E. il est décidé de fuir à pied et par petits groupes en direction du sud ou sud- ouest afin de franchir La Loire et rejoindre Toulouse. La progression est lente et exténuante en cette période estivale. C’est ainsi que Emilio Aguilera Gisbert est arrêté le 19 juin, à Nantes, le jour même de l’arrivée des troupes allemandes dans cette ville. Date et lieu de l’arrestation : Il est arrêté à Nantes le 19 juin 1940. Parcours avant déportation : Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Il est interné au camp de prisonniers de guerre situé à Sandbostel au « Stalag X B « sous le matricule 70.920 jusqu’au 28 février 1941. Il est transféré au camp de Mauthausen où il arrive le 3 mars 194, il est affecté au kommando de Gusen le 29 mars 1941 (matricule 11547). Date et lieu de décès : Emilio Aguilera-Gibert meurt à Gusen le 3 novembre 1941. Sources: Livre mémorial FMD (III.3) D.A.V.C.C, SHD Caen: 21 P 416 976. Ghislain Audion: « Réfugiés espagnols en Loire-Inférieure, 1936 - 1945, De la République Espagnole à La Résistance ». Geste Editions - 2015. Fiche modifiée le 28/11/2024 PHOTO recherchée
NOM, Prénom : AGUILERA GISBERT Emilio N° matricule : 3168 à Mauthausen Date et lieu de Naissance : Emilio Aguilera Gisbert fils de Maravillas Gisbert Morales, sa mère et José Maria Aguilera Garrido son père, est né le 14 janvier 1913 à La Calahonra (province de Grenade) en Espagne. Bio avant-guerre : Il est métallurgiste, célibataire. Il s’est enrôlé dans la 136 ème Compagnie des Travailleurs Etrangers, tout comme son compatriote Juan MASSIP BACH. Au début de l’année 1940 cette compagnie est employée dans la « Poudrerie Gennes » à Longuefuye (Mayenne). Elle est rejointe en mai 1940 par la 126 ème C.T.E. commandée par le lieutenant d’infanterie coloniale, Wautier. L’encadrement français est également composé de deux sergents, trois caporaux et sept soldats. Cette compagnie est affectée au chantier de construction du Parc des Alcools qui dépend du Service des poudres du ministère des Armées. Avec l’avancée fulgurante des armées allemandes nous entrons dans une période de terrible désarroi et d’exode. L’encadrement militaire français déserte et abandonne à leur propre sort les républicains espagnols. Le 18 juin 1940 les allemands sont déjà à Château-Gontier. La veille, dans les deux C.T.E. il est décidé de fuir à pied et par petits groupes en direction du sud ou sud- ouest afin de franchir La Loire et rejoindre Toulouse. La progression est lente et exténuante en cette période estivale. C’est ainsi que Emilio Aguilera Gisbert est arrêté le 19 juin, à Nantes, le jour même de l’arrivée des troupes allemandes dans cette ville. Date et lieu de l’arrestation : Il est arrêté à Nantes le 19 juin 1940. Parcours avant déportation : Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Il est interné au camp de prisonniers de guerre situé à Sandbostel au « Stalag X B « sous le matricule 70.920 jusqu’au 28 février 1941. Il est transféré au camp de Mauthausen où il arrive le 3 mars 194, il est affecté au kommando de Gusen le 29 mars 1941 (matricule 11547). Date et lieu de décès : Emilio Aguilera-Gibert meurt à Gusen le 3 novembre 1941. Sources: Livre mémorial FMD (III.3) D.A.V.C.C, SHD Caen: 21 P 416 976. Ghislain Audion: « Réfugiés espagnols en Loire-Inférieure, 1936 - 1945, De la République Espagnole à La Résistance ». Geste Editions - 2015. Fiche modifiée le 28/11/2024 PHOTO recherchée
NOM, Prénom : AGUILERA GISBERT Emilio N° matricule : 3168 à Mauthausen Date et lieu de Naissance : Emilio Aguilera Gisbert fils de Maravillas Gisbert Morales, sa mère et José Maria Aguilera Garrido son père, est né le 14 janvier 1913 à La Calahonra (province de Grenade) en Espagne. Bio avant-guerre : Il est métallurgiste, célibataire. Il s’est enrôlé dans la 136 ème Compagnie des Travailleurs Etrangers, tout comme son compatriote Juan MASSIP BACH. Au début de l’année 1940 cette compagnie est employée dans la « Poudrerie Gennes » à Longuefuye (Mayenne). Elle est rejointe en mai 1940 par la 126 ème C.T.E. commandée par le lieutenant d’infanterie coloniale, Wautier. L’encadrement français est également composé de deux sergents, trois caporaux et sept soldats. Cette compagnie est affectée au chantier de construction du Parc des Alcools qui dépend du Service des poudres du ministère des Armées. Avec l’avancée fulgurante des armées allemandes nous entrons dans une période de terrible désarroi et d’exode. L’encadrement militaire français déserte et abandonne à leur propre sort les républicains espagnols. Le 18 juin 1940 les allemands sont déjà à Château-Gontier. La veille, dans les deux C.T.E. il est décidé de fuir à pied et par petits groupes en direction du sud ou sud- ouest afin de franchir La Loire et rejoindre Toulouse. La progression est lente et exténuante en cette période estivale. C’est ainsi que Emilio Aguilera Gisbert est arrêté le 19 juin, à Nantes, le jour même de l’arrivée des troupes allemandes dans cette ville. Date et lieu de l’arrestation : Il est arrêté à Nantes le 19 juin 1940. Parcours avant déportation : Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Il est interné au camp de prisonniers de guerre situé à Sandbostel au « Stalag X B « sous le matricule 70.920 jusqu’au 28 février 1941. Il est transféré au camp de Mauthausen où il arrive le 3 mars 194, il est affecté au kommando de Gusen le 29 mars 1941 (matricule 11547). Date et lieu de décès : Emilio Aguilera-Gibert meurt à Gusen le 3 novembre 1941. Sources: Livre mémorial FMD (III.3) D.A.V.C.C, SHD Caen: 21 P 416 976. Ghislain Audion: « Réfugiés espagnols en Loire-Inférieure, 1936 - 1945, De la République Espagnole à La Résistance ». Geste Editions - 2015. Fiche modifiée le 28/11/2024 PHOTO recherchée
31/01/2025
AIRIAU
Elie
NOM, Prénom : AIRIAU Elie, jean, joseph N° matricule : 38827 à Buchenwald Date et lieu de Naissance : Elie Airiau, fils de Jean Airiau et de Victorine née David son épouse, est né le 17 mai 1895 à La Limouzinière (44) Bio avant-guerre : Il s’est marié avec Juliette née Chevalier le 24 septembre 1923 à la Limouzinière, il est ouvrier agricole, le couple a une fille Marie née le 11 mai 1925. La famille Airiau habite la Maison-Neuve à la Limouzinière Circonstances de l’arrestation : Depuis le 17 septembre 1942 Elie Airiau est membre du réseau Marie-Odile. Il est membre de libération-Nord dont le responsable est Jean- Baptiste Daviais. Il participe à la réception de parachutages. Avec son épouse et sa fille ils recueillent un aviateur tombé dans la région de Saint -Etienne de Montluc, arrivé à leur domicile le 18 septembre 1943, venant de Saint Philbert de Grandlieu. Date et lieu de l’arrestation : Il est arrêté par les autorités allemandes le 16 octobre 1943 à La Limouzinière. Parcours avant déportation : Il est interné à Nantes du 16 octobre 1943 jusqu’au 2 novembre 1943, puis à Compiègne du 2 novembre au 14 décembre 1943. Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Il est déporté le 14 décembre par le convoi I.161 (FMD) 1943 à Buchenwald où il est enregistré le 16 décembre. Il est affecté au Kommando Dora le 12 janvier 1944. Il est transféré le 27 mars 1944 à Bergen-Belsen, dans un convoi de malades jugés "inaptes " au travail par les SS. Date et lieu de décès : Elie Airiau meurt à Bergen-Belsen le 22 avril 1944. A l’état civil il est déclaré décédé le 08 avril à Bergen-Belsen Elie Airiau est décoré de la médaille étrangère Medal of Freedom Sources : Livre-Mémorial FMD (I.161) http://www.bddm.org/ AD44 (248 J 12-13; 1305 W 42) Mémorial des victimes de la persécution allemande en Loire Inférieure (1940-1945) : déportés politiques, déportés résistants. SAUVAGE (Jean-Pierre) ; TROCHU (Xavier) Bu 7/2 et Bu 21/8- Liste Amicale de Buchenwald ; fiche correction LM (ONAC 44, Amicale Ng) ; Liste Do ; LTBUDO12/1/44 ; DVF. PHOTO recherche e Service historique de la Défense, Caen 21 p 417 039 Livre des 9000 déportés de France à Mittelbau-Dora Notice de Lionel Roux Fichier Archives Arolsen fichier modifié le 29/11/2024
NOM, Prénom : AIRIAU Elie, jean, joseph N° matricule : 38827 à Buchenwald Date et lieu de Naissance : Elie Airiau, fils de Jean Airiau et de Victorine née David son épouse, est né le 17 mai 1895 à La Limouzinière (44) Bio avant-guerre : Il s’est marié avec Juliette née Chevalier le 24 septembre 1923 à la Limouzinière, il est ouvrier agricole, le couple a une fille Marie née le 11 mai 1925. La famille Airiau habite la Maison-Neuve à la Limouzinière Circonstances de l’arrestation : Depuis le 17 septembre 1942 Elie Airiau est membre du réseau Marie-Odile. Il est membre de libération-Nord dont le responsable est Jean- Baptiste Daviais. Il participe à la réception de parachutages. Avec son épouse et sa fille ils recueillent un aviateur tombé dans la région de Saint -Etienne de Montluc, arrivé à leur domicile le 18 septembre 1943, venant de Saint Philbert de Grandlieu. Date et lieu de l’arrestation : Il est arrêté par les autorités allemandes le 16 octobre 1943 à La Limouzinière. Parcours avant déportation : Il est interné à Nantes du 16 octobre 1943 jusqu’au 2 novembre 1943, puis à Compiègne du 2 novembre au 14 décembre 1943. Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Il est déporté le 14 décembre par le convoi I.161 (FMD) 1943 à Buchenwald où il est enregistré le 16 décembre. Il est affecté au Kommando Dora le 12 janvier 1944. Il est transféré le 27 mars 1944 à Bergen-Belsen, dans un convoi de malades jugés "inaptes " au travail par les SS. Date et lieu de décès : Elie Airiau meurt à Bergen-Belsen le 22 avril 1944. A l’état civil il est déclaré décédé le 08 avril à Bergen-Belsen Elie Airiau est décoré de la médaille étrangère Medal of Freedom Sources : Livre-Mémorial FMD (I.161) http://www.bddm.org/ AD44 (248 J 12-13; 1305 W 42) Mémorial des victimes de la persécution allemande en Loire Inférieure (1940-1945) : déportés politiques, déportés résistants. SAUVAGE (Jean-Pierre) ; TROCHU (Xavier) Bu 7/2 et Bu 21/8- Liste Amicale de Buchenwald ; fiche correction LM (ONAC 44, Amicale Ng) ; Liste Do ; LTBUDO12/1/44 ; DVF. PHOTO recherche e Service historique de la Défense, Caen 21 p 417 039 Livre des 9000 déportés de France à Mittelbau-Dora Notice de Lionel Roux Fichier Archives Arolsen fichier modifié le 29/11/2024
NOM, Prénom : AIRIAU Elie, jean, joseph N° matricule : 38827 à Buchenwald Date et lieu de Naissance : Elie Airiau, fils de Jean Airiau et de Victorine née David son épouse, est né le 17 mai 1895 à La Limouzinière (44) Bio avant-guerre : Il s’est marié avec Juliette née Chevalier le 24 septembre 1923 à la Limouzinière, il est ouvrier agricole, le couple a une fille Marie née le 11 mai 1925. La famille Airiau habite la Maison-Neuve à la Limouzinière Circonstances de l’arrestation : Depuis le 17 septembre 1942 Elie Airiau est membre du réseau Marie-Odile. Il est membre de libération-Nord dont le responsable est Jean- Baptiste Daviais. Il participe à la réception de parachutages. Avec son épouse et sa fille ils recueillent un aviateur tombé dans la région de Saint -Etienne de Montluc, arrivé à leur domicile le 18 septembre 1943, venant de Saint Philbert de Grandlieu. Date et lieu de l’arrestation : Il est arrêté par les autorités allemandes le 16 octobre 1943 à La Limouzinière. Parcours avant déportation : Il est interné à Nantes du 16 octobre 1943 jusqu’au 2 novembre 1943, puis à Compiègne du 2 novembre au 14 décembre 1943. Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Il est déporté le 14 décembre par le convoi I.161 (FMD) 1943 à Buchenwald où il est enregistré le 16 décembre. Il est affecté au Kommando Dora le 12 janvier 1944. Il est transféré le 27 mars 1944 à Bergen-Belsen, dans un convoi de malades jugés "inaptes " au travail par les SS. Date et lieu de décès : Elie Airiau meurt à Bergen-Belsen le 22 avril 1944. A l’état civil il est déclaré décédé le 08 avril à Bergen-Belsen Elie Airiau est décoré de la médaille étrangère Medal of Freedom Sources : Livre-Mémorial FMD (I.161) http://www.bddm.org/ AD44 (248 J 12-13; 1305 W 42) Mémorial des victimes de la persécution allemande en Loire Inférieure (1940-1945) : déportés politiques, déportés résistants. SAUVAGE (Jean-Pierre) ; TROCHU (Xavier) Bu 7/2 et Bu 21/8- Liste Amicale de Buchenwald ; fiche correction LM (ONAC 44, Amicale Ng) ; Liste Do ; LTBUDO12/1/44 ; DVF. PHOTO recherche e Service historique de la Défense, Caen 21 p 417 039 Livre des 9000 déportés de France à Mittelbau-Dora Notice de Lionel Roux Fichier Archives Arolsen fichier modifié le 29/11/2024
NOM, Prénom : AIRIAU Elie, jean, joseph N° matricule : 38827 à Buchenwald Date et lieu de Naissance : Elie Airiau, fils de Jean Airiau et de Victorine née David son épouse, est né le 17 mai 1895 à La Limouzinière (44) Bio avant-guerre : Il s’est marié avec Juliette née Chevalier le 24 septembre 1923 à la Limouzinière, il est ouvrier agricole, le couple a une fille Marie née le 11 mai 1925. La famille Airiau habite la Maison-Neuve à la Limouzinière Circonstances de l’arrestation : Depuis le 17 septembre 1942 Elie Airiau est membre du réseau Marie-Odile. Il est membre de libération-Nord dont le responsable est Jean- Baptiste Daviais. Il participe à la réception de parachutages. Avec son épouse et sa fille ils recueillent un aviateur tombé dans la région de Saint -Etienne de Montluc, arrivé à leur domicile le 18 septembre 1943, venant de Saint Philbert de Grandlieu. Date et lieu de l’arrestation : Il est arrêté par les autorités allemandes le 16 octobre 1943 à La Limouzinière. Parcours avant déportation : Il est interné à Nantes du 16 octobre 1943 jusqu’au 2 novembre 1943, puis à Compiègne du 2 novembre au 14 décembre 1943. Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Il est déporté le 14 décembre par le convoi I.161 (FMD) 1943 à Buchenwald où il est enregistré le 16 décembre. Il est affecté au Kommando Dora le 12 janvier 1944. Il est transféré le 27 mars 1944 à Bergen-Belsen, dans un convoi de malades jugés "inaptes " au travail par les SS. Date et lieu de décès : Elie Airiau meurt à Bergen-Belsen le 22 avril 1944. A l’état civil il est déclaré décédé le 08 avril à Bergen-Belsen Elie Airiau est décoré de la médaille étrangère Medal of Freedom Sources : Livre-Mémorial FMD (I.161) http://www.bddm.org/ AD44 (248 J 12-13; 1305 W 42) Mémorial des victimes de la persécution allemande en Loire Inférieure (1940-1945) : déportés politiques, déportés résistants. SAUVAGE (Jean-Pierre) ; TROCHU (Xavier) Bu 7/2 et Bu 21/8- Liste Amicale de Buchenwald ; fiche correction LM (ONAC 44, Amicale Ng) ; Liste Do ; LTBUDO12/1/44 ; DVF. PHOTO recherche e Service historique de la Défense, Caen 21 p 417 039 Livre des 9000 déportés de France à Mittelbau-Dora Notice de Lionel Roux Fichier Archives Arolsen fichier modifié le 29/11/2024
NOM, Prénom : AIRIAU Elie, jean, joseph N° matricule : 38827 à Buchenwald Date et lieu de Naissance : Elie Airiau, fils de Jean Airiau et de Victorine née David son épouse, est né le 17 mai 1895 à La Limouzinière (44) Bio avant-guerre : Il s’est marié avec Juliette née Chevalier le 24 septembre 1923 à la Limouzinière, il est ouvrier agricole, le couple a une fille Marie née le 11 mai 1925. La famille Airiau habite la Maison-Neuve à la Limouzinière Circonstances de l’arrestation : Depuis le 17 septembre 1942 Elie Airiau est membre du réseau Marie-Odile. Il est membre de libération-Nord dont le responsable est Jean- Baptiste Daviais. Il participe à la réception de parachutages. Avec son épouse et sa fille ils recueillent un aviateur tombé dans la région de Saint -Etienne de Montluc, arrivé à leur domicile le 18 septembre 1943, venant de Saint Philbert de Grandlieu. Date et lieu de l’arrestation : Il est arrêté par les autorités allemandes le 16 octobre 1943 à La Limouzinière. Parcours avant déportation : Il est interné à Nantes du 16 octobre 1943 jusqu’au 2 novembre 1943, puis à Compiègne du 2 novembre au 14 décembre 1943. Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Il est déporté le 14 décembre par le convoi I.161 (FMD) 1943 à Buchenwald où il est enregistré le 16 décembre. Il est affecté au Kommando Dora le 12 janvier 1944. Il est transféré le 27 mars 1944 à Bergen-Belsen, dans un convoi de malades jugés "inaptes " au travail par les SS. Date et lieu de décès : Elie Airiau meurt à Bergen-Belsen le 22 avril 1944. A l’état civil il est déclaré décédé le 08 avril à Bergen-Belsen Elie Airiau est décoré de la médaille étrangère Medal of Freedom Sources : Livre-Mémorial FMD (I.161) http://www.bddm.org/ AD44 (248 J 12-13; 1305 W 42) Mémorial des victimes de la persécution allemande en Loire Inférieure (1940-1945) : déportés politiques, déportés résistants. SAUVAGE (Jean-Pierre) ; TROCHU (Xavier) Bu 7/2 et Bu 21/8- Liste Amicale de Buchenwald ; fiche correction LM (ONAC 44, Amicale Ng) ; Liste Do ; LTBUDO12/1/44 ; DVF. PHOTO recherche e Service historique de la Défense, Caen 21 p 417 039 Livre des 9000 déportés de France à Mittelbau-Dora Notice de Lionel Roux Fichier Archives Arolsen fichier modifié le 29/11/2024
31/01/2025
AIRIAU
Juliette
fiche modifiée le 29/11/2024 NOM, Prénom : AIRIAU Juliette, Marie Emilienne, née Chevalier N° matricule : 27031 à Ravensbrück Date et lieu de Naissance : Juliette Chevalier fille de Jean- Baptiste Chevalier et de Marie Léonide née Giraudineau, naît le 29 juin 1894 à La Limouzinière (44) Bio avant-guerre : Elle est cultivatrice. Elle épouse Elie Airiau. Le couple à une fille Marie née le 11 mai 1925, la famille réside à la Maison-Neuve à la Limouzinière. Circonstances de l’arrestation : Juliette Airiau est agente d’évasion pour le réseau Marie- Odile de puis le 17 septembre 1942, nommée par Le lieutenant René Barraud. Elle est membre du mouvement Libération-Nord sous la responsabilité de Jean-Baptiste Daviais. Avec son époux et sa fille, ils hébergent des militaires français ils recueillent un aviateurs américain. Date et lieu de l’arrestation : Elle est arrêtée par les autorités allemandes à son domicile le 16 octobre 1943. Francine Sébastien écrit : « la famille Airiau, famille de paysans habitant la Limouzinière, près de Nantes; qui en septembre 1943, pendant quinze jours, hébergèrent dans leur ferme un aviateur américain (abattu après un raid sur Nantes). Dénoncée par des voisins, la famille entière fut arrêtée par la Gestapo en octobre 1943. « Parcours avant déportation : Elle est internée à Nantes du 16 octobre jusqu’au 2 novembre 1943, puis transférée à Compiègne du 4 novembre 43 au 31 janvier 1944. Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Elle est déportée à Ravensbrück (convoi I.175) le 31 janvier 1944 ; le convoi arrive le 3 février 1944. Elle est affectée au kommando de Beendorf (Mine de sel) le 11 août 1944, jusqu’au 10 avril 1945, date de l’évacuation. Le convoi arrive à Hambourg le 20 avril 1945. Le Kommando de Beendorf qui fabrique de pièces pour moteur d’avion est installé dans une ancienne mine de sel a` 600 m sous terre près d’Helensted. Date et lieu de libération : Juliette Airiau restée à Hambourg-Sassel est libérée le 06 mai 1945 par les alliés. fiche modifiée le 29/11/2024 Elle est rapatriée le 13 juin 1945 Juliette Airiau rentre à Nantes le 20 juin 1945. Bio après guerre : Décoration étrangère Medal of Freedom Juliette Airiau décède le 24 janvier 1980 à Annecy (74), ville où elle réside avec sa fille Marie. Sources : Livre-Mémorial FMD (I.161) http://www.bddm.org/ AD44 (248 J 12-13) SHD Caen 21 P 696 141 ARCHIVES MUNICIPALES 9 Z 11 Résistance | Images et Archives de militants INSEE fichier 1980, ligne n°172361
fiche modifiée le 29/11/2024 NOM, Prénom : AIRIAU Juliette, Marie Emilienne, née Chevalier N° matricule : 27031 à Ravensbrück Date et lieu de Naissance : Juliette Chevalier fille de Jean- Baptiste Chevalier et de Marie Léonide née Giraudineau, naît le 29 juin 1894 à La Limouzinière (44) Bio avant-guerre : Elle est cultivatrice. Elle épouse Elie Airiau. Le couple à une fille Marie née le 11 mai 1925, la famille réside à la Maison-Neuve à la Limouzinière. Circonstances de l’arrestation : Juliette Airiau est agente d’évasion pour le réseau Marie- Odile de puis le 17 septembre 1942, nommée par Le lieutenant René Barraud. Elle est membre du mouvement Libération-Nord sous la responsabilité de Jean-Baptiste Daviais. Avec son époux et sa fille, ils hébergent des militaires français ils recueillent un aviateurs américain. Date et lieu de l’arrestation : Elle est arrêtée par les autorités allemandes à son domicile le 16 octobre 1943. Francine Sébastien écrit : « la famille Airiau, famille de paysans habitant la Limouzinière, près de Nantes; qui en septembre 1943, pendant quinze jours, hébergèrent dans leur ferme un aviateur américain (abattu après un raid sur Nantes). Dénoncée par des voisins, la famille entière fut arrêtée par la Gestapo en octobre 1943. « Parcours avant déportation : Elle est internée à Nantes du 16 octobre jusqu’au 2 novembre 1943, puis transférée à Compiègne du 4 novembre 43 au 31 janvier 1944. Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Elle est déportée à Ravensbrück (convoi I.175) le 31 janvier 1944 ; le convoi arrive le 3 février 1944. Elle est affectée au kommando de Beendorf (Mine de sel) le 11 août 1944, jusqu’au 10 avril 1945, date de l’évacuation. Le convoi arrive à Hambourg le 20 avril 1945. Le Kommando de Beendorf qui fabrique de pièces pour moteur d’avion est installé dans une ancienne mine de sel a` 600 m sous terre près d’Helensted. Date et lieu de libération : Juliette Airiau restée à Hambourg-Sassel est libérée le 06 mai 1945 par les alliés. fiche modifiée le 29/11/2024 Elle est rapatriée le 13 juin 1945 Juliette Airiau rentre à Nantes le 20 juin 1945. Bio après guerre : Décoration étrangère Medal of Freedom Juliette Airiau décède le 24 janvier 1980 à Annecy (74), ville où elle réside avec sa fille Marie. Sources : Livre-Mémorial FMD (I.161) http://www.bddm.org/ AD44 (248 J 12-13) SHD Caen 21 P 696 141 ARCHIVES MUNICIPALES 9 Z 11 Résistance | Images et Archives de militants INSEE fichier 1980, ligne n°172361
fiche modifiée le 29/11/2024 NOM, Prénom : AIRIAU Juliette, Marie Emilienne, née Chevalier N° matricule : 27031 à Ravensbrück Date et lieu de Naissance : Juliette Chevalier fille de Jean- Baptiste Chevalier et de Marie Léonide née Giraudineau, naît le 29 juin 1894 à La Limouzinière (44) Bio avant-guerre : Elle est cultivatrice. Elle épouse Elie Airiau. Le couple à une fille Marie née le 11 mai 1925, la famille réside à la Maison-Neuve à la Limouzinière. Circonstances de l’arrestation : Juliette Airiau est agente d’évasion pour le réseau Marie- Odile de puis le 17 septembre 1942, nommée par Le lieutenant René Barraud. Elle est membre du mouvement Libération-Nord sous la responsabilité de Jean-Baptiste Daviais. Avec son époux et sa fille, ils hébergent des militaires français ils recueillent un aviateurs américain. Date et lieu de l’arrestation : Elle est arrêtée par les autorités allemandes à son domicile le 16 octobre 1943. Francine Sébastien écrit : « la famille Airiau, famille de paysans habitant la Limouzinière, près de Nantes; qui en septembre 1943, pendant quinze jours, hébergèrent dans leur ferme un aviateur américain (abattu après un raid sur Nantes). Dénoncée par des voisins, la famille entière fut arrêtée par la Gestapo en octobre 1943. « Parcours avant déportation : Elle est internée à Nantes du 16 octobre jusqu’au 2 novembre 1943, puis transférée à Compiègne du 4 novembre 43 au 31 janvier 1944. Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Elle est déportée à Ravensbrück (convoi I.175) le 31 janvier 1944 ; le convoi arrive le 3 février 1944. Elle est affectée au kommando de Beendorf (Mine de sel) le 11 août 1944, jusqu’au 10 avril 1945, date de l’évacuation. Le convoi arrive à Hambourg le 20 avril 1945. Le Kommando de Beendorf qui fabrique de pièces pour moteur d’avion est installé dans une ancienne mine de sel a` 600 m sous terre près d’Helensted. Date et lieu de libération : Juliette Airiau restée à Hambourg-Sassel est libérée le 06 mai 1945 par les alliés. fiche modifiée le 29/11/2024 Elle est rapatriée le 13 juin 1945 Juliette Airiau rentre à Nantes le 20 juin 1945. Bio après guerre : Décoration étrangère Medal of Freedom Juliette Airiau décède le 24 janvier 1980 à Annecy (74), ville où elle réside avec sa fille Marie. Sources : Livre-Mémorial FMD (I.161) http://www.bddm.org/ AD44 (248 J 12-13) SHD Caen 21 P 696 141 ARCHIVES MUNICIPALES 9 Z 11 Résistance | Images et Archives de militants INSEE fichier 1980, ligne n°172361
fiche modifiée le 29/11/2024 NOM, Prénom : AIRIAU Juliette, Marie Emilienne, née Chevalier N° matricule : 27031 à Ravensbrück Date et lieu de Naissance : Juliette Chevalier fille de Jean- Baptiste Chevalier et de Marie Léonide née Giraudineau, naît le 29 juin 1894 à La Limouzinière (44) Bio avant-guerre : Elle est cultivatrice. Elle épouse Elie Airiau. Le couple à une fille Marie née le 11 mai 1925, la famille réside à la Maison-Neuve à la Limouzinière. Circonstances de l’arrestation : Juliette Airiau est agente d’évasion pour le réseau Marie- Odile de puis le 17 septembre 1942, nommée par Le lieutenant René Barraud. Elle est membre du mouvement Libération-Nord sous la responsabilité de Jean-Baptiste Daviais. Avec son époux et sa fille, ils hébergent des militaires français ils recueillent un aviateurs américain. Date et lieu de l’arrestation : Elle est arrêtée par les autorités allemandes à son domicile le 16 octobre 1943. Francine Sébastien écrit : « la famille Airiau, famille de paysans habitant la Limouzinière, près de Nantes; qui en septembre 1943, pendant quinze jours, hébergèrent dans leur ferme un aviateur américain (abattu après un raid sur Nantes). Dénoncée par des voisins, la famille entière fut arrêtée par la Gestapo en octobre 1943. « Parcours avant déportation : Elle est internée à Nantes du 16 octobre jusqu’au 2 novembre 1943, puis transférée à Compiègne du 4 novembre 43 au 31 janvier 1944. Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Elle est déportée à Ravensbrück (convoi I.175) le 31 janvier 1944 ; le convoi arrive le 3 février 1944. Elle est affectée au kommando de Beendorf (Mine de sel) le 11 août 1944, jusqu’au 10 avril 1945, date de l’évacuation. Le convoi arrive à Hambourg le 20 avril 1945. Le Kommando de Beendorf qui fabrique de pièces pour moteur d’avion est installé dans une ancienne mine de sel a` 600 m sous terre près d’Helensted. Date et lieu de libération : Juliette Airiau restée à Hambourg-Sassel est libérée le 06 mai 1945 par les alliés. fiche modifiée le 29/11/2024 Elle est rapatriée le 13 juin 1945 Juliette Airiau rentre à Nantes le 20 juin 1945. Bio après guerre : Décoration étrangère Medal of Freedom Juliette Airiau décède le 24 janvier 1980 à Annecy (74), ville où elle réside avec sa fille Marie. Sources : Livre-Mémorial FMD (I.161) http://www.bddm.org/ AD44 (248 J 12-13) SHD Caen 21 P 696 141 ARCHIVES MUNICIPALES 9 Z 11 Résistance | Images et Archives de militants INSEE fichier 1980, ligne n°172361
fiche modifiée le 29/11/2024 NOM, Prénom : AIRIAU Juliette, Marie Emilienne, née Chevalier N° matricule : 27031 à Ravensbrück Date et lieu de Naissance : Juliette Chevalier fille de Jean- Baptiste Chevalier et de Marie Léonide née Giraudineau, naît le 29 juin 1894 à La Limouzinière (44) Bio avant-guerre : Elle est cultivatrice. Elle épouse Elie Airiau. Le couple à une fille Marie née le 11 mai 1925, la famille réside à la Maison-Neuve à la Limouzinière. Circonstances de l’arrestation : Juliette Airiau est agente d’évasion pour le réseau Marie- Odile de puis le 17 septembre 1942, nommée par Le lieutenant René Barraud. Elle est membre du mouvement Libération-Nord sous la responsabilité de Jean-Baptiste Daviais. Avec son époux et sa fille, ils hébergent des militaires français ils recueillent un aviateurs américain. Date et lieu de l’arrestation : Elle est arrêtée par les autorités allemandes à son domicile le 16 octobre 1943. Francine Sébastien écrit : « la famille Airiau, famille de paysans habitant la Limouzinière, près de Nantes; qui en septembre 1943, pendant quinze jours, hébergèrent dans leur ferme un aviateur américain (abattu après un raid sur Nantes). Dénoncée par des voisins, la famille entière fut arrêtée par la Gestapo en octobre 1943. « Parcours avant déportation : Elle est internée à Nantes du 16 octobre jusqu’au 2 novembre 1943, puis transférée à Compiègne du 4 novembre 43 au 31 janvier 1944. Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Elle est déportée à Ravensbrück (convoi I.175) le 31 janvier 1944 ; le convoi arrive le 3 février 1944. Elle est affectée au kommando de Beendorf (Mine de sel) le 11 août 1944, jusqu’au 10 avril 1945, date de l’évacuation. Le convoi arrive à Hambourg le 20 avril 1945. Le Kommando de Beendorf qui fabrique de pièces pour moteur d’avion est installé dans une ancienne mine de sel a` 600 m sous terre près d’Helensted. Date et lieu de libération : Juliette Airiau restée à Hambourg-Sassel est libérée le 06 mai 1945 par les alliés. fiche modifiée le 29/11/2024 Elle est rapatriée le 13 juin 1945 Juliette Airiau rentre à Nantes le 20 juin 1945. Bio après guerre : Décoration étrangère Medal of Freedom Juliette Airiau décède le 24 janvier 1980 à Annecy (74), ville où elle réside avec sa fille Marie. Sources : Livre-Mémorial FMD (I.161) http://www.bddm.org/ AD44 (248 J 12-13) SHD Caen 21 P 696 141 ARCHIVES MUNICIPALES 9 Z 11 Résistance | Images et Archives de militants INSEE fichier 1980, ligne n°172361
31/01/2025
AIRIAU
Marie
fiche modifiée le 29/11/2024 NOM, Prénom : AIRIAU Marie, Juliette, Anna, Augustine N° matricule : 27032 à Ravensbrück Date et lieu de Naissance : Marie Airiau, fille de Juliette née Chevalier et de Elie Airiau naît le 11 mai 1925 à La Limouzinière (44) Bio avant-guerre : En 1940 Marie Airiau est étudiante et célibataire. Elle réside chez ses parents. Marie Airiau Photo prise lors de son accueil en Suède Activité dans la résistance : Elle est agente d’évasion pour le réseau Marie-Odile depuis le 17 septembre1942. Elle est membre de Libération-Nord dont le responsable est Jean Baptiste Daviais. La famille Airiau recueille un aviateur américain et des militaires Français. Francine Sébastien du réseau Marie Odile écrit : « la famille Airiau, famille de paysans habitant la Limouzinière, près de Nantes; qui en septembre 1943, pendant quinze jours, hébergèrent dans leur ferme un aviateur américain (abattu après un raid sur Nantes). Dénoncés par des voisins, la famille entière fut arrêtée par la Gestapo en octobre 1943.» Date et lieu de l’arrestation : Elle est arrêtée par les autorités allemandes à La “Maison neuve” à la Limouzinière son domicile le 16 octobre 1943 Parcours avant déportation : Elle est internée à Nantes jusqu’au 2 novembre 1943, puis à Compiègne du 4 novembre 43 au 31 janvier 1944. Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Marie Airiau est déportée à Ravensbrück (convoi I.175) le 31 janvier 1944, le convoi arrive le 3 février 1944. Elle est transférée au kommando de Beendorf le 11 août 1944, jusqu’au 10 avril 1945, puis évacuée à Hambourg-Sassel jusqu’au 20 avril 1945. Le Kommando de Beendorf qui fabrique de pièces pour moteur d’avion est installé dans une ancienne mine de sel a` 600 m sous terre près d’Helensted. Lors de l’évacuation du Kommando les femmes sont transportées par wagons de marchandises. Après plusieurs jours le train stationne à Sülsdorf en Mecklembourg où les SS font disparaître dans des charniers un nombre important de morts. Le convoi repart vers l’ouest et arrive le 20 avril à Hambourg. les déportées sont alors réparties dans les kommandos presque complètement évacués de la ville. Ma rie Airiau fiche modifiée le 29/11/2024 Date et lieu de libération : Elle est libérée à Hambourg le 1er mai 1945 par négociation avec la Suède . Un train de la Croix-Rouge suédoise emmène les survivantes en Suède via le Danemark. Elles sont tout d’abord soignées à Padborg avant d’échapper définitivement à toute influence allemande et d’être emmenées en Suède, pays neutre. Marie Airiau est arrivée en Suède à Malmö le 04 mai 1945 c’est de cette ville qu’elle est rapatriée en France par avion français le 10 juillet 1945. Bio après guerre : Décoration étrangère Medal of Freedom Marie Airiau s’établit avec sa mère à Annecy Elle décède le 09 mars 2000 à Annecy (74) Sources Livre-Mémorial FMD (I.161) http://www.bddm.org/ AD44 (248 J 12-13) ARCHIVES MUNICIPALES 9 Z 11 SHD 21 P 696 142Archives Mairie d’Annecy Acte de décès Helmstedt-Beendorf (femmes) KZ-Gedenkstätte Neuengamme https://www.kz-gedenkstaette-neuengamme.de › helms... Padborg (« Bus blancs Dossiers personnels (A-O) - Calames - Abes « Témoignage du temps des ténèbres à mes camarades et à mon père mort en déportation », rédigé en 1995, à l’occasion du 50e anniversaire du souvenir des camps de la mort, lu lors de son enterrement en 2000. Témoignage de Marie Airiau, déportée à Ravensbrück et Beendorf, matricule 27032 Cote : ARCH/RES/0002/3 / 5 Source INSEE fichier 2000, ligne n°157567
fiche modifiée le 29/11/2024 NOM, Prénom : AIRIAU Marie, Juliette, Anna, Augustine N° matricule : 27032 à Ravensbrück Date et lieu de Naissance : Marie Airiau, fille de Juliette née Chevalier et de Elie Airiau naît le 11 mai 1925 à La Limouzinière (44) Bio avant-guerre : En 1940 Marie Airiau est étudiante et célibataire. Elle réside chez ses parents. Marie Airiau Photo prise lors de son accueil en Suède Activité dans la résistance : Elle est agente d’évasion pour le réseau Marie-Odile depuis le 17 septembre1942. Elle est membre de Libération-Nord dont le responsable est Jean Baptiste Daviais. La famille Airiau recueille un aviateur américain et des militaires Français. Francine Sébastien du réseau Marie Odile écrit : « la famille Airiau, famille de paysans habitant la Limouzinière, près de Nantes; qui en septembre 1943, pendant quinze jours, hébergèrent dans leur ferme un aviateur américain (abattu après un raid sur Nantes). Dénoncés par des voisins, la famille entière fut arrêtée par la Gestapo en octobre 1943.» Date et lieu de l’arrestation : Elle est arrêtée par les autorités allemandes à La “Maison neuve” à la Limouzinière son domicile le 16 octobre 1943 Parcours avant déportation : Elle est internée à Nantes jusqu’au 2 novembre 1943, puis à Compiègne du 4 novembre 43 au 31 janvier 1944. Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Marie Airiau est déportée à Ravensbrück (convoi I.175) le 31 janvier 1944, le convoi arrive le 3 février 1944. Elle est transférée au kommando de Beendorf le 11 août 1944, jusqu’au 10 avril 1945, puis évacuée à Hambourg-Sassel jusqu’au 20 avril 1945. Le Kommando de Beendorf qui fabrique de pièces pour moteur d’avion est installé dans une ancienne mine de sel a` 600 m sous terre près d’Helensted. Lors de l’évacuation du Kommando les femmes sont transportées par wagons de marchandises. Après plusieurs jours le train stationne à Sülsdorf en Mecklembourg où les SS font disparaître dans des charniers un nombre important de morts. Le convoi repart vers l’ouest et arrive le 20 avril à Hambourg. les déportées sont alors réparties dans les kommandos presque complètement évacués de la ville. Ma rie Airiau fiche modifiée le 29/11/2024 Date et lieu de libération : Elle est libérée à Hambourg le 1er mai 1945 par négociation avec la Suède . Un train de la Croix-Rouge suédoise emmène les survivantes en Suède via le Danemark. Elles sont tout d’abord soignées à Padborg avant d’échapper définitivement à toute influence allemande et d’être emmenées en Suède, pays neutre. Marie Airiau est arrivée en Suède à Malmö le 04 mai 1945 c’est de cette ville qu’elle est rapatriée en France par avion français le 10 juillet 1945. Bio après guerre : Décoration étrangère Medal of Freedom Marie Airiau s’établit avec sa mère à Annecy Elle décède le 09 mars 2000 à Annecy (74) Sources Livre-Mémorial FMD (I.161) http://www.bddm.org/ AD44 (248 J 12-13) ARCHIVES MUNICIPALES 9 Z 11 SHD 21 P 696 142Archives Mairie d’Annecy Acte de décès Helmstedt-Beendorf (femmes) KZ-Gedenkstätte Neuengamme https://www.kz-gedenkstaette-neuengamme.de › helms... Padborg (« Bus blancs Dossiers personnels (A-O) - Calames - Abes « Témoignage du temps des ténèbres à mes camarades et à mon père mort en déportation », rédigé en 1995, à l’occasion du 50e anniversaire du souvenir des camps de la mort, lu lors de son enterrement en 2000. Témoignage de Marie Airiau, déportée à Ravensbrück et Beendorf, matricule 27032 Cote : ARCH/RES/0002/3 / 5 Source INSEE fichier 2000, ligne n°157567
fiche modifiée le 29/11/2024 NOM, Prénom : AIRIAU Marie, Juliette, Anna, Augustine N° matricule : 27032 à Ravensbrück Date et lieu de Naissance : Marie Airiau, fille de Juliette née Chevalier et de Elie Airiau naît le 11 mai 1925 à La Limouzinière (44) Bio avant-guerre : En 1940 Marie Airiau est étudiante et célibataire. Elle réside chez ses parents. Marie Airiau Photo prise lors de son accueil en Suède Activité dans la résistance : Elle est agente d’évasion pour le réseau Marie-Odile depuis le 17 septembre1942. Elle est membre de Libération-Nord dont le responsable est Jean Baptiste Daviais. La famille Airiau recueille un aviateur américain et des militaires Français. Francine Sébastien du réseau Marie Odile écrit : « la famille Airiau, famille de paysans habitant la Limouzinière, près de Nantes; qui en septembre 1943, pendant quinze jours, hébergèrent dans leur ferme un aviateur américain (abattu après un raid sur Nantes). Dénoncés par des voisins, la famille entière fut arrêtée par la Gestapo en octobre 1943.» Date et lieu de l’arrestation : Elle est arrêtée par les autorités allemandes à La “Maison neuve” à la Limouzinière son domicile le 16 octobre 1943 Parcours avant déportation : Elle est internée à Nantes jusqu’au 2 novembre 1943, puis à Compiègne du 4 novembre 43 au 31 janvier 1944. Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Marie Airiau est déportée à Ravensbrück (convoi I.175) le 31 janvier 1944, le convoi arrive le 3 février 1944. Elle est transférée au kommando de Beendorf le 11 août 1944, jusqu’au 10 avril 1945, puis évacuée à Hambourg-Sassel jusqu’au 20 avril 1945. Le Kommando de Beendorf qui fabrique de pièces pour moteur d’avion est installé dans une ancienne mine de sel a` 600 m sous terre près d’Helensted. Lors de l’évacuation du Kommando les femmes sont transportées par wagons de marchandises. Après plusieurs jours le train stationne à Sülsdorf en Mecklembourg où les SS font disparaître dans des charniers un nombre important de morts. Le convoi repart vers l’ouest et arrive le 20 avril à Hambourg. les déportées sont alors réparties dans les kommandos presque complètement évacués de la ville. Ma rie Airiau fiche modifiée le 29/11/2024 Date et lieu de libération : Elle est libérée à Hambourg le 1er mai 1945 par négociation avec la Suède . Un train de la Croix-Rouge suédoise emmène les survivantes en Suède via le Danemark. Elles sont tout d’abord soignées à Padborg avant d’échapper définitivement à toute influence allemande et d’être emmenées en Suède, pays neutre. Marie Airiau est arrivée en Suède à Malmö le 04 mai 1945 c’est de cette ville qu’elle est rapatriée en France par avion français le 10 juillet 1945. Bio après guerre : Décoration étrangère Medal of Freedom Marie Airiau s’établit avec sa mère à Annecy Elle décède le 09 mars 2000 à Annecy (74) Sources Livre-Mémorial FMD (I.161) http://www.bddm.org/ AD44 (248 J 12-13) ARCHIVES MUNICIPALES 9 Z 11 SHD 21 P 696 142Archives Mairie d’Annecy Acte de décès Helmstedt-Beendorf (femmes) KZ-Gedenkstätte Neuengamme https://www.kz-gedenkstaette-neuengamme.de › helms... Padborg (« Bus blancs Dossiers personnels (A-O) - Calames - Abes « Témoignage du temps des ténèbres à mes camarades et à mon père mort en déportation », rédigé en 1995, à l’occasion du 50e anniversaire du souvenir des camps de la mort, lu lors de son enterrement en 2000. Témoignage de Marie Airiau, déportée à Ravensbrück et Beendorf, matricule 27032 Cote : ARCH/RES/0002/3 / 5 Source INSEE fichier 2000, ligne n°157567
fiche modifiée le 29/11/2024 NOM, Prénom : AIRIAU Marie, Juliette, Anna, Augustine N° matricule : 27032 à Ravensbrück Date et lieu de Naissance : Marie Airiau, fille de Juliette née Chevalier et de Elie Airiau naît le 11 mai 1925 à La Limouzinière (44) Bio avant-guerre : En 1940 Marie Airiau est étudiante et célibataire. Elle réside chez ses parents. Marie Airiau Photo prise lors de son accueil en Suède Activité dans la résistance : Elle est agente d’évasion pour le réseau Marie-Odile depuis le 17 septembre1942. Elle est membre de Libération-Nord dont le responsable est Jean Baptiste Daviais. La famille Airiau recueille un aviateur américain et des militaires Français. Francine Sébastien du réseau Marie Odile écrit : « la famille Airiau, famille de paysans habitant la Limouzinière, près de Nantes; qui en septembre 1943, pendant quinze jours, hébergèrent dans leur ferme un aviateur américain (abattu après un raid sur Nantes). Dénoncés par des voisins, la famille entière fut arrêtée par la Gestapo en octobre 1943.» Date et lieu de l’arrestation : Elle est arrêtée par les autorités allemandes à La “Maison neuve” à la Limouzinière son domicile le 16 octobre 1943 Parcours avant déportation : Elle est internée à Nantes jusqu’au 2 novembre 1943, puis à Compiègne du 4 novembre 43 au 31 janvier 1944. Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Marie Airiau est déportée à Ravensbrück (convoi I.175) le 31 janvier 1944, le convoi arrive le 3 février 1944. Elle est transférée au kommando de Beendorf le 11 août 1944, jusqu’au 10 avril 1945, puis évacuée à Hambourg-Sassel jusqu’au 20 avril 1945. Le Kommando de Beendorf qui fabrique de pièces pour moteur d’avion est installé dans une ancienne mine de sel a` 600 m sous terre près d’Helensted. Lors de l’évacuation du Kommando les femmes sont transportées par wagons de marchandises. Après plusieurs jours le train stationne à Sülsdorf en Mecklembourg où les SS font disparaître dans des charniers un nombre important de morts. Le convoi repart vers l’ouest et arrive le 20 avril à Hambourg. les déportées sont alors réparties dans les kommandos presque complètement évacués de la ville. Ma rie Airiau fiche modifiée le 29/11/2024 Date et lieu de libération : Elle est libérée à Hambourg le 1er mai 1945 par négociation avec la Suède . Un train de la Croix-Rouge suédoise emmène les survivantes en Suède via le Danemark. Elles sont tout d’abord soignées à Padborg avant d’échapper définitivement à toute influence allemande et d’être emmenées en Suède, pays neutre. Marie Airiau est arrivée en Suède à Malmö le 04 mai 1945 c’est de cette ville qu’elle est rapatriée en France par avion français le 10 juillet 1945. Bio après guerre : Décoration étrangère Medal of Freedom Marie Airiau s’établit avec sa mère à Annecy Elle décède le 09 mars 2000 à Annecy (74) Sources Livre-Mémorial FMD (I.161) http://www.bddm.org/ AD44 (248 J 12-13) ARCHIVES MUNICIPALES 9 Z 11 SHD 21 P 696 142Archives Mairie d’Annecy Acte de décès Helmstedt-Beendorf (femmes) KZ-Gedenkstätte Neuengamme https://www.kz-gedenkstaette-neuengamme.de › helms... Padborg (« Bus blancs Dossiers personnels (A-O) - Calames - Abes « Témoignage du temps des ténèbres à mes camarades et à mon père mort en déportation », rédigé en 1995, à l’occasion du 50e anniversaire du souvenir des camps de la mort, lu lors de son enterrement en 2000. Témoignage de Marie Airiau, déportée à Ravensbrück et Beendorf, matricule 27032 Cote : ARCH/RES/0002/3 / 5 Source INSEE fichier 2000, ligne n°157567
fiche modifiée le 29/11/2024 NOM, Prénom : AIRIAU Marie, Juliette, Anna, Augustine N° matricule : 27032 à Ravensbrück Date et lieu de Naissance : Marie Airiau, fille de Juliette née Chevalier et de Elie Airiau naît le 11 mai 1925 à La Limouzinière (44) Bio avant-guerre : En 1940 Marie Airiau est étudiante et célibataire. Elle réside chez ses parents. Marie Airiau Photo prise lors de son accueil en Suède Activité dans la résistance : Elle est agente d’évasion pour le réseau Marie-Odile depuis le 17 septembre1942. Elle est membre de Libération-Nord dont le responsable est Jean Baptiste Daviais. La famille Airiau recueille un aviateur américain et des militaires Français. Francine Sébastien du réseau Marie Odile écrit : « la famille Airiau, famille de paysans habitant la Limouzinière, près de Nantes; qui en septembre 1943, pendant quinze jours, hébergèrent dans leur ferme un aviateur américain (abattu après un raid sur Nantes). Dénoncés par des voisins, la famille entière fut arrêtée par la Gestapo en octobre 1943.» Date et lieu de l’arrestation : Elle est arrêtée par les autorités allemandes à La “Maison neuve” à la Limouzinière son domicile le 16 octobre 1943 Parcours avant déportation : Elle est internée à Nantes jusqu’au 2 novembre 1943, puis à Compiègne du 4 novembre 43 au 31 janvier 1944. Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Marie Airiau est déportée à Ravensbrück (convoi I.175) le 31 janvier 1944, le convoi arrive le 3 février 1944. Elle est transférée au kommando de Beendorf le 11 août 1944, jusqu’au 10 avril 1945, puis évacuée à Hambourg-Sassel jusqu’au 20 avril 1945. Le Kommando de Beendorf qui fabrique de pièces pour moteur d’avion est installé dans une ancienne mine de sel a` 600 m sous terre près d’Helensted. Lors de l’évacuation du Kommando les femmes sont transportées par wagons de marchandises. Après plusieurs jours le train stationne à Sülsdorf en Mecklembourg où les SS font disparaître dans des charniers un nombre important de morts. Le convoi repart vers l’ouest et arrive le 20 avril à Hambourg. les déportées sont alors réparties dans les kommandos presque complètement évacués de la ville. Ma rie Airiau fiche modifiée le 29/11/2024 Date et lieu de libération : Elle est libérée à Hambourg le 1er mai 1945 par négociation avec la Suède . Un train de la Croix-Rouge suédoise emmène les survivantes en Suède via le Danemark. Elles sont tout d’abord soignées à Padborg avant d’échapper définitivement à toute influence allemande et d’être emmenées en Suède, pays neutre. Marie Airiau est arrivée en Suède à Malmö le 04 mai 1945 c’est de cette ville qu’elle est rapatriée en France par avion français le 10 juillet 1945. Bio après guerre : Décoration étrangère Medal of Freedom Marie Airiau s’établit avec sa mère à Annecy Elle décède le 09 mars 2000 à Annecy (74) Sources Livre-Mémorial FMD (I.161) http://www.bddm.org/ AD44 (248 J 12-13) ARCHIVES MUNICIPALES 9 Z 11 SHD 21 P 696 142Archives Mairie d’Annecy Acte de décès Helmstedt-Beendorf (femmes) KZ-Gedenkstätte Neuengamme https://www.kz-gedenkstaette-neuengamme.de › helms... Padborg (« Bus blancs Dossiers personnels (A-O) - Calames - Abes « Témoignage du temps des ténèbres à mes camarades et à mon père mort en déportation », rédigé en 1995, à l’occasion du 50e anniversaire du souvenir des camps de la mort, lu lors de son enterrement en 2000. Témoignage de Marie Airiau, déportée à Ravensbrück et Beendorf, matricule 27032 Cote : ARCH/RES/0002/3 / 5 Source INSEE fichier 2000, ligne n°157567
31/01/2025
AJZENBUCH
Joseph
Fiche créée le 20/05/2017 modifiée le 07/07/2023 NOM, Prénom : AJZENBUCH Joseph N° matricule : Buchenwald 118394 Date et lieu de Naissance : Fils de Mordhaï et Malka Ajzenbuch, Joseph Ajzenbuch est né le 17 février 1902 à Klimontov (Pologne). Bio avant-guerre : Il est matelassier-tapissier, habite 66 quai de la Fosse à Nantes. Il a épousé Ida Goldman. Ils sont parents d’ une fille, Denise . Circonstances de l’arrestation : Date et lieu de l’arrestation: Il est arrêté lors de la rafle du 15 juillet 1942 à Nantes. Parcours avant déportation : Il est interné du 16 au 19 juillet 1942 au grand Séminaire à Angers. Parcours en déportation : Camps, kommandos, prisons. Il est déporté le 20 juillet 1942 à Auschwitz par le convoi n° 08 au départ d'Angers. Evacué d’Auschwitz au début janvier, il arrive le 22 janvier au camp de Buchenwald et le 24 janvier il est transféré à Ohrdruf. Date et lieu de décès : Nous ne savons si Joseph Ajzenbuch survit à ce Kommando Sources: https://arolsen-archives.org/ Jean-Pierre Sauvage et Xavier Trochu. Mémorial des victimes de la persécution allemande en Loire Inférieure 1940-1945. Déportés de la communauté juive. 2003 Bases de données | www.yadvashem.org Mémorial de la Shoah - Musée et centre de documentation ... ADLA2501W511. Joseph Ajzenbuch Fiche créée le 20/05/2017 modifiée le 07/07/2023 ADLA1694W25 151 https://yvng.yadvashem.org (feuille de témoignage) http://db.yadvashem.org/deportation/transportDetails.html?language=fr&itemId=509 2652 AD44 (248 J 12-13)
Fiche créée le 20/05/2017 modifiée le 07/07/2023 NOM, Prénom : AJZENBUCH Joseph N° matricule : Buchenwald 118394 Date et lieu de Naissance : Fils de Mordhaï et Malka Ajzenbuch, Joseph Ajzenbuch est né le 17 février 1902 à Klimontov (Pologne). Bio avant-guerre : Il est matelassier-tapissier, habite 66 quai de la Fosse à Nantes. Il a épousé Ida Goldman. Ils sont parents d’ une fille, Denise . Circonstances de l’arrestation : Date et lieu de l’arrestation: Il est arrêté lors de la rafle du 15 juillet 1942 à Nantes. Parcours avant déportation : Il est interné du 16 au 19 juillet 1942 au grand Séminaire à Angers. Parcours en déportation : Camps, kommandos, prisons. Il est déporté le 20 juillet 1942 à Auschwitz par le convoi n° 08 au départ d'Angers. Evacué d’Auschwitz au début janvier, il arrive le 22 janvier au camp de Buchenwald et le 24 janvier il est transféré à Ohrdruf. Date et lieu de décès : Nous ne savons si Joseph Ajzenbuch survit à ce Kommando Sources: https://arolsen-archives.org/ Jean-Pierre Sauvage et Xavier Trochu. Mémorial des victimes de la persécution allemande en Loire Inférieure 1940-1945. Déportés de la communauté juive. 2003 Bases de données | www.yadvashem.org Mémorial de la Shoah - Musée et centre de documentation ... ADLA2501W511. Joseph Ajzenbuch Fiche créée le 20/05/2017 modifiée le 07/07/2023 ADLA1694W25 151 https://yvng.yadvashem.org (feuille de témoignage) http://db.yadvashem.org/deportation/transportDetails.html?language=fr&itemId=509 2652 AD44 (248 J 12-13)
Fiche créée le 20/05/2017 modifiée le 07/07/2023 NOM, Prénom : AJZENBUCH Joseph N° matricule : Buchenwald 118394 Date et lieu de Naissance : Fils de Mordhaï et Malka Ajzenbuch, Joseph Ajzenbuch est né le 17 février 1902 à Klimontov (Pologne). Bio avant-guerre : Il est matelassier-tapissier, habite 66 quai de la Fosse à Nantes. Il a épousé Ida Goldman. Ils sont parents d’ une fille, Denise . Circonstances de l’arrestation : Date et lieu de l’arrestation: Il est arrêté lors de la rafle du 15 juillet 1942 à Nantes. Parcours avant déportation : Il est interné du 16 au 19 juillet 1942 au grand Séminaire à Angers. Parcours en déportation : Camps, kommandos, prisons. Il est déporté le 20 juillet 1942 à Auschwitz par le convoi n° 08 au départ d'Angers. Evacué d’Auschwitz au début janvier, il arrive le 22 janvier au camp de Buchenwald et le 24 janvier il est transféré à Ohrdruf. Date et lieu de décès : Nous ne savons si Joseph Ajzenbuch survit à ce Kommando Sources: https://arolsen-archives.org/ Jean-Pierre Sauvage et Xavier Trochu. Mémorial des victimes de la persécution allemande en Loire Inférieure 1940-1945. Déportés de la communauté juive. 2003 Bases de données | www.yadvashem.org Mémorial de la Shoah - Musée et centre de documentation ... ADLA2501W511. Joseph Ajzenbuch Fiche créée le 20/05/2017 modifiée le 07/07/2023 ADLA1694W25 151 https://yvng.yadvashem.org (feuille de témoignage) http://db.yadvashem.org/deportation/transportDetails.html?language=fr&itemId=509 2652 AD44 (248 J 12-13)
Fiche créée le 20/05/2017 modifiée le 07/07/2023 NOM, Prénom : AJZENBUCH Joseph N° matricule : Buchenwald 118394 Date et lieu de Naissance : Fils de Mordhaï et Malka Ajzenbuch, Joseph Ajzenbuch est né le 17 février 1902 à Klimontov (Pologne). Bio avant-guerre : Il est matelassier-tapissier, habite 66 quai de la Fosse à Nantes. Il a épousé Ida Goldman. Ils sont parents d’ une fille, Denise . Circonstances de l’arrestation : Date et lieu de l’arrestation: Il est arrêté lors de la rafle du 15 juillet 1942 à Nantes. Parcours avant déportation : Il est interné du 16 au 19 juillet 1942 au grand Séminaire à Angers. Parcours en déportation : Camps, kommandos, prisons. Il est déporté le 20 juillet 1942 à Auschwitz par le convoi n° 08 au départ d'Angers. Evacué d’Auschwitz au début janvier, il arrive le 22 janvier au camp de Buchenwald et le 24 janvier il est transféré à Ohrdruf. Date et lieu de décès : Nous ne savons si Joseph Ajzenbuch survit à ce Kommando Sources: https://arolsen-archives.org/ Jean-Pierre Sauvage et Xavier Trochu. Mémorial des victimes de la persécution allemande en Loire Inférieure 1940-1945. Déportés de la communauté juive. 2003 Bases de données | www.yadvashem.org Mémorial de la Shoah - Musée et centre de documentation ... ADLA2501W511. Joseph Ajzenbuch Fiche créée le 20/05/2017 modifiée le 07/07/2023 ADLA1694W25 151 https://yvng.yadvashem.org (feuille de témoignage) http://db.yadvashem.org/deportation/transportDetails.html?language=fr&itemId=509 2652 AD44 (248 J 12-13)
Fiche créée le 20/05/2017 modifiée le 07/07/2023 NOM, Prénom : AJZENBUCH Joseph N° matricule : Buchenwald 118394 Date et lieu de Naissance : Fils de Mordhaï et Malka Ajzenbuch, Joseph Ajzenbuch est né le 17 février 1902 à Klimontov (Pologne). Bio avant-guerre : Il est matelassier-tapissier, habite 66 quai de la Fosse à Nantes. Il a épousé Ida Goldman. Ils sont parents d’ une fille, Denise . Circonstances de l’arrestation : Date et lieu de l’arrestation: Il est arrêté lors de la rafle du 15 juillet 1942 à Nantes. Parcours avant déportation : Il est interné du 16 au 19 juillet 1942 au grand Séminaire à Angers. Parcours en déportation : Camps, kommandos, prisons. Il est déporté le 20 juillet 1942 à Auschwitz par le convoi n° 08 au départ d'Angers. Evacué d’Auschwitz au début janvier, il arrive le 22 janvier au camp de Buchenwald et le 24 janvier il est transféré à Ohrdruf. Date et lieu de décès : Nous ne savons si Joseph Ajzenbuch survit à ce Kommando Sources: https://arolsen-archives.org/ Jean-Pierre Sauvage et Xavier Trochu. Mémorial des victimes de la persécution allemande en Loire Inférieure 1940-1945. Déportés de la communauté juive. 2003 Bases de données | www.yadvashem.org Mémorial de la Shoah - Musée et centre de documentation ... ADLA2501W511. Joseph Ajzenbuch Fiche créée le 20/05/2017 modifiée le 07/07/2023 ADLA1694W25 151 https://yvng.yadvashem.org (feuille de témoignage) http://db.yadvashem.org/deportation/transportDetails.html?language=fr&itemId=509 2652 AD44 (248 J 12-13)
31/01/2025
ALAMAT
Sadi
NOM, Prénom : ALAMAT Sadi N° matricule : Date et lieu de Naissance : Saadi Alamat est né à Colla Constantine (Algérie) le 27 juillet 1920. Bio avant-guerre : il est batteur de blé. Circonstances de l’arrestation : Travailleurs requis, il est soupçonné de complicité de désertion. Il est condamné à 2 ans de réclusion par le tribunal de la Feldkommandantur 682 le 13 avril 1944. Date et lieu de l’arrestation : il est arrêté à Saint-Nazaire dans son baraquement au » Champ de Plaisance »e le 3 février 1944 Parcours avant déportation : il est interné à La Baule du 3 février au 26 février 1944, à Nantes du 26 février jusqu’au 29 juin 1944. Il est transféré à Fresnes Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Il est transféré en Allemagne le 24 juillet 1944 (convoi I.236) à la prison de Karlsruhe puis à Rheinbach jusqu’au 16 septembre 1944. Il est transféré à Kassel-Wehlheiden où il arrive le 22 septembre 44 au 29 mars 1945. Il est transféré à Straubing jusqu’au 1er mai 1945. Date et lieu de libération : il est libéré à Straubing le 1er mai 1945. Il est rapatrié par le Lutétia le 13 mai 1945 Bio après guerre : Saadi Alamat décède le 31 octobre . 2000 à Hayange, (57)Moselle Sources : Livre-Mémorial FMD (I.236) http://www.bddm.org/ AD44 (1305W 42) BAVCC Dossier SHD 21P 696 233 fiche modifiée le 28/03/2023 Saadi Alamat
NOM, Prénom : ALAMAT Sadi N° matricule : Date et lieu de Naissance : Saadi Alamat est né à Colla Constantine (Algérie) le 27 juillet 1920. Bio avant-guerre : il est batteur de blé. Circonstances de l’arrestation : Travailleurs requis, il est soupçonné de complicité de désertion. Il est condamné à 2 ans de réclusion par le tribunal de la Feldkommandantur 682 le 13 avril 1944. Date et lieu de l’arrestation : il est arrêté à Saint-Nazaire dans son baraquement au » Champ de Plaisance »e le 3 février 1944 Parcours avant déportation : il est interné à La Baule du 3 février au 26 février 1944, à Nantes du 26 février jusqu’au 29 juin 1944. Il est transféré à Fresnes Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Il est transféré en Allemagne le 24 juillet 1944 (convoi I.236) à la prison de Karlsruhe puis à Rheinbach jusqu’au 16 septembre 1944. Il est transféré à Kassel-Wehlheiden où il arrive le 22 septembre 44 au 29 mars 1945. Il est transféré à Straubing jusqu’au 1er mai 1945. Date et lieu de libération : il est libéré à Straubing le 1er mai 1945. Il est rapatrié par le Lutétia le 13 mai 1945 Bio après guerre : Saadi Alamat décède le 31 octobre . 2000 à Hayange, (57)Moselle Sources : Livre-Mémorial FMD (I.236) http://www.bddm.org/ AD44 (1305W 42) BAVCC Dossier SHD 21P 696 233 fiche modifiée le 28/03/2023 Saadi Alamat
NOM, Prénom : ALAMAT Sadi N° matricule : Date et lieu de Naissance : Saadi Alamat est né à Colla Constantine (Algérie) le 27 juillet 1920. Bio avant-guerre : il est batteur de blé. Circonstances de l’arrestation : Travailleurs requis, il est soupçonné de complicité de désertion. Il est condamné à 2 ans de réclusion par le tribunal de la Feldkommandantur 682 le 13 avril 1944. Date et lieu de l’arrestation : il est arrêté à Saint-Nazaire dans son baraquement au » Champ de Plaisance »e le 3 février 1944 Parcours avant déportation : il est interné à La Baule du 3 février au 26 février 1944, à Nantes du 26 février jusqu’au 29 juin 1944. Il est transféré à Fresnes Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Il est transféré en Allemagne le 24 juillet 1944 (convoi I.236) à la prison de Karlsruhe puis à Rheinbach jusqu’au 16 septembre 1944. Il est transféré à Kassel-Wehlheiden où il arrive le 22 septembre 44 au 29 mars 1945. Il est transféré à Straubing jusqu’au 1er mai 1945. Date et lieu de libération : il est libéré à Straubing le 1er mai 1945. Il est rapatrié par le Lutétia le 13 mai 1945 Bio après guerre : Saadi Alamat décède le 31 octobre . 2000 à Hayange, (57)Moselle Sources : Livre-Mémorial FMD (I.236) http://www.bddm.org/ AD44 (1305W 42) BAVCC Dossier SHD 21P 696 233 fiche modifiée le 28/03/2023 Saadi Alamat
NOM, Prénom : ALAMAT Sadi N° matricule : Date et lieu de Naissance : Saadi Alamat est né à Colla Constantine (Algérie) le 27 juillet 1920. Bio avant-guerre : il est batteur de blé. Circonstances de l’arrestation : Travailleurs requis, il est soupçonné de complicité de désertion. Il est condamné à 2 ans de réclusion par le tribunal de la Feldkommandantur 682 le 13 avril 1944. Date et lieu de l’arrestation : il est arrêté à Saint-Nazaire dans son baraquement au » Champ de Plaisance »e le 3 février 1944 Parcours avant déportation : il est interné à La Baule du 3 février au 26 février 1944, à Nantes du 26 février jusqu’au 29 juin 1944. Il est transféré à Fresnes Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Il est transféré en Allemagne le 24 juillet 1944 (convoi I.236) à la prison de Karlsruhe puis à Rheinbach jusqu’au 16 septembre 1944. Il est transféré à Kassel-Wehlheiden où il arrive le 22 septembre 44 au 29 mars 1945. Il est transféré à Straubing jusqu’au 1er mai 1945. Date et lieu de libération : il est libéré à Straubing le 1er mai 1945. Il est rapatrié par le Lutétia le 13 mai 1945 Bio après guerre : Saadi Alamat décède le 31 octobre . 2000 à Hayange, (57)Moselle Sources : Livre-Mémorial FMD (I.236) http://www.bddm.org/ AD44 (1305W 42) BAVCC Dossier SHD 21P 696 233 fiche modifiée le 28/03/2023 Saadi Alamat
NOM, Prénom : ALAMAT Sadi N° matricule : Date et lieu de Naissance : Saadi Alamat est né à Colla Constantine (Algérie) le 27 juillet 1920. Bio avant-guerre : il est batteur de blé. Circonstances de l’arrestation : Travailleurs requis, il est soupçonné de complicité de désertion. Il est condamné à 2 ans de réclusion par le tribunal de la Feldkommandantur 682 le 13 avril 1944. Date et lieu de l’arrestation : il est arrêté à Saint-Nazaire dans son baraquement au » Champ de Plaisance »e le 3 février 1944 Parcours avant déportation : il est interné à La Baule du 3 février au 26 février 1944, à Nantes du 26 février jusqu’au 29 juin 1944. Il est transféré à Fresnes Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Il est transféré en Allemagne le 24 juillet 1944 (convoi I.236) à la prison de Karlsruhe puis à Rheinbach jusqu’au 16 septembre 1944. Il est transféré à Kassel-Wehlheiden où il arrive le 22 septembre 44 au 29 mars 1945. Il est transféré à Straubing jusqu’au 1er mai 1945. Date et lieu de libération : il est libéré à Straubing le 1er mai 1945. Il est rapatrié par le Lutétia le 13 mai 1945 Bio après guerre : Saadi Alamat décède le 31 octobre . 2000 à Hayange, (57)Moselle Sources : Livre-Mémorial FMD (I.236) http://www.bddm.org/ AD44 (1305W 42) BAVCC Dossier SHD 21P 696 233 fiche modifiée le 28/03/2023 Saadi Alamat
31/01/2025
ALBERT
Roger
NOM, Prénom : ALBERT Roger, Emile, Joseph pseudo Emmanuel N° matricule : 76420 à Dachau Date et lieu de Naissance : Roger Albert fils de Henri Albert tailleur de vêtements et de Germaine née Le Gac son épouse, est né le 24 novembre 1914 à Brest. Bio avant-guerre : Il s’est marié en avril 1938 avec Marie Magdeleine Gemot. Il est secrétaire en chef à la sous-préfecture de Chateaubriant, habite depuis le 01 mars 1944 à Châteaubriant 45 Cité de Carfort. Circonstance de l’arrestation : Roger Albert fournit des faux-papiers aux réfractaires au S.T.O. Il est arrêté dans la même affaire que l’interprète (d’origine alsacienne ?) Paul OTT. Son épouse écrit : Le soir du débarquement quatre membres de la Gestapo se sont présentés à notre domicile se sont jetés sur mon mari lui ont mis les menottes, ont perquisitionné et ont emmené mon mari « . Robert Dijoud sous-préfet de Chateaubriant du 01 mars 1944 à septembre 1944 indique avoir tenté d’obtenir la mise en liberté de M. Albert. L’officier allemand de le Kommandantur lui a répondu par une fin de non-recevoir catégorique. L’officier a indiqué que « M. Albert participait activement à la résistance et connaissait le point de débarquement de l’armée Américaine ». Date et lieu de l’arrestation : Roger Albert est arrêté le 6 juin 1944 à son domicile. par les autorités allemandes comme chef d'un groupe de résistants. Parcours avant déportation : Il est interné à la prison de Nantes du 7 au 8 juin 1944, transféré à Angers le 8 juin 1944, puis à Compiègne matricule 42441 du 24 juin au 2 juillet 1944. Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Il est déporté à Dachau le 2 juillet 1944 (convoi I.240) où il arrive le 5 juillet 1944. Il y reste jusqu’au 24 décembre 1944. Date et lieu de décès : Roger Albert meurt le 24 décembre 1944 à Dachau. Sources : Livre-Mémorial FMD (I.240) http://www.bddm.org/ AD44 (248 J 12-13; 1305 W 42) Mémorial des victimes de la persécution allemande en Loire Inférieure (1940-1945) : déportés politiques, déportés résistants. SAUVAGE (Jean-Pierre) ; TROCHU (Xavier)Service historique de la Défense, Caen 21 P 417 245 fichier modifié le 29/11/2024
NOM, Prénom : ALBERT Roger, Emile, Joseph pseudo Emmanuel N° matricule : 76420 à Dachau Date et lieu de Naissance : Roger Albert fils de Henri Albert tailleur de vêtements et de Germaine née Le Gac son épouse, est né le 24 novembre 1914 à Brest. Bio avant-guerre : Il s’est marié en avril 1938 avec Marie Magdeleine Gemot. Il est secrétaire en chef à la sous-préfecture de Chateaubriant, habite depuis le 01 mars 1944 à Châteaubriant 45 Cité de Carfort. Circonstance de l’arrestation : Roger Albert fournit des faux-papiers aux réfractaires au S.T.O. Il est arrêté dans la même affaire que l’interprète (d’origine alsacienne ?) Paul OTT. Son épouse écrit : Le soir du débarquement quatre membres de la Gestapo se sont présentés à notre domicile se sont jetés sur mon mari lui ont mis les menottes, ont perquisitionné et ont emmené mon mari « . Robert Dijoud sous-préfet de Chateaubriant du 01 mars 1944 à septembre 1944 indique avoir tenté d’obtenir la mise en liberté de M. Albert. L’officier allemand de le Kommandantur lui a répondu par une fin de non-recevoir catégorique. L’officier a indiqué que « M. Albert participait activement à la résistance et connaissait le point de débarquement de l’armée Américaine ». Date et lieu de l’arrestation : Roger Albert est arrêté le 6 juin 1944 à son domicile. par les autorités allemandes comme chef d'un groupe de résistants. Parcours avant déportation : Il est interné à la prison de Nantes du 7 au 8 juin 1944, transféré à Angers le 8 juin 1944, puis à Compiègne matricule 42441 du 24 juin au 2 juillet 1944. Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Il est déporté à Dachau le 2 juillet 1944 (convoi I.240) où il arrive le 5 juillet 1944. Il y reste jusqu’au 24 décembre 1944. Date et lieu de décès : Roger Albert meurt le 24 décembre 1944 à Dachau. Sources : Livre-Mémorial FMD (I.240) http://www.bddm.org/ AD44 (248 J 12-13; 1305 W 42) Mémorial des victimes de la persécution allemande en Loire Inférieure (1940-1945) : déportés politiques, déportés résistants. SAUVAGE (Jean-Pierre) ; TROCHU (Xavier)Service historique de la Défense, Caen 21 P 417 245 fichier modifié le 29/11/2024
NOM, Prénom : ALBERT Roger, Emile, Joseph pseudo Emmanuel N° matricule : 76420 à Dachau Date et lieu de Naissance : Roger Albert fils de Henri Albert tailleur de vêtements et de Germaine née Le Gac son épouse, est né le 24 novembre 1914 à Brest. Bio avant-guerre : Il s’est marié en avril 1938 avec Marie Magdeleine Gemot. Il est secrétaire en chef à la sous-préfecture de Chateaubriant, habite depuis le 01 mars 1944 à Châteaubriant 45 Cité de Carfort. Circonstance de l’arrestation : Roger Albert fournit des faux-papiers aux réfractaires au S.T.O. Il est arrêté dans la même affaire que l’interprète (d’origine alsacienne ?) Paul OTT. Son épouse écrit : Le soir du débarquement quatre membres de la Gestapo se sont présentés à notre domicile se sont jetés sur mon mari lui ont mis les menottes, ont perquisitionné et ont emmené mon mari « . Robert Dijoud sous-préfet de Chateaubriant du 01 mars 1944 à septembre 1944 indique avoir tenté d’obtenir la mise en liberté de M. Albert. L’officier allemand de le Kommandantur lui a répondu par une fin de non-recevoir catégorique. L’officier a indiqué que « M. Albert participait activement à la résistance et connaissait le point de débarquement de l’armée Américaine ». Date et lieu de l’arrestation : Roger Albert est arrêté le 6 juin 1944 à son domicile. par les autorités allemandes comme chef d'un groupe de résistants. Parcours avant déportation : Il est interné à la prison de Nantes du 7 au 8 juin 1944, transféré à Angers le 8 juin 1944, puis à Compiègne matricule 42441 du 24 juin au 2 juillet 1944. Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Il est déporté à Dachau le 2 juillet 1944 (convoi I.240) où il arrive le 5 juillet 1944. Il y reste jusqu’au 24 décembre 1944. Date et lieu de décès : Roger Albert meurt le 24 décembre 1944 à Dachau. Sources : Livre-Mémorial FMD (I.240) http://www.bddm.org/ AD44 (248 J 12-13; 1305 W 42) Mémorial des victimes de la persécution allemande en Loire Inférieure (1940-1945) : déportés politiques, déportés résistants. SAUVAGE (Jean-Pierre) ; TROCHU (Xavier)Service historique de la Défense, Caen 21 P 417 245 fichier modifié le 29/11/2024
NOM, Prénom : ALBERT Roger, Emile, Joseph pseudo Emmanuel N° matricule : 76420 à Dachau Date et lieu de Naissance : Roger Albert fils de Henri Albert tailleur de vêtements et de Germaine née Le Gac son épouse, est né le 24 novembre 1914 à Brest. Bio avant-guerre : Il s’est marié en avril 1938 avec Marie Magdeleine Gemot. Il est secrétaire en chef à la sous-préfecture de Chateaubriant, habite depuis le 01 mars 1944 à Châteaubriant 45 Cité de Carfort. Circonstance de l’arrestation : Roger Albert fournit des faux-papiers aux réfractaires au S.T.O. Il est arrêté dans la même affaire que l’interprète (d’origine alsacienne ?) Paul OTT. Son épouse écrit : Le soir du débarquement quatre membres de la Gestapo se sont présentés à notre domicile se sont jetés sur mon mari lui ont mis les menottes, ont perquisitionné et ont emmené mon mari « . Robert Dijoud sous-préfet de Chateaubriant du 01 mars 1944 à septembre 1944 indique avoir tenté d’obtenir la mise en liberté de M. Albert. L’officier allemand de le Kommandantur lui a répondu par une fin de non-recevoir catégorique. L’officier a indiqué que « M. Albert participait activement à la résistance et connaissait le point de débarquement de l’armée Américaine ». Date et lieu de l’arrestation : Roger Albert est arrêté le 6 juin 1944 à son domicile. par les autorités allemandes comme chef d'un groupe de résistants. Parcours avant déportation : Il est interné à la prison de Nantes du 7 au 8 juin 1944, transféré à Angers le 8 juin 1944, puis à Compiègne matricule 42441 du 24 juin au 2 juillet 1944. Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Il est déporté à Dachau le 2 juillet 1944 (convoi I.240) où il arrive le 5 juillet 1944. Il y reste jusqu’au 24 décembre 1944. Date et lieu de décès : Roger Albert meurt le 24 décembre 1944 à Dachau. Sources : Livre-Mémorial FMD (I.240) http://www.bddm.org/ AD44 (248 J 12-13; 1305 W 42) Mémorial des victimes de la persécution allemande en Loire Inférieure (1940-1945) : déportés politiques, déportés résistants. SAUVAGE (Jean-Pierre) ; TROCHU (Xavier)Service historique de la Défense, Caen 21 P 417 245 fichier modifié le 29/11/2024
NOM, Prénom : ALBERT Roger, Emile, Joseph pseudo Emmanuel N° matricule : 76420 à Dachau Date et lieu de Naissance : Roger Albert fils de Henri Albert tailleur de vêtements et de Germaine née Le Gac son épouse, est né le 24 novembre 1914 à Brest. Bio avant-guerre : Il s’est marié en avril 1938 avec Marie Magdeleine Gemot. Il est secrétaire en chef à la sous-préfecture de Chateaubriant, habite depuis le 01 mars 1944 à Châteaubriant 45 Cité de Carfort. Circonstance de l’arrestation : Roger Albert fournit des faux-papiers aux réfractaires au S.T.O. Il est arrêté dans la même affaire que l’interprète (d’origine alsacienne ?) Paul OTT. Son épouse écrit : Le soir du débarquement quatre membres de la Gestapo se sont présentés à notre domicile se sont jetés sur mon mari lui ont mis les menottes, ont perquisitionné et ont emmené mon mari « . Robert Dijoud sous-préfet de Chateaubriant du 01 mars 1944 à septembre 1944 indique avoir tenté d’obtenir la mise en liberté de M. Albert. L’officier allemand de le Kommandantur lui a répondu par une fin de non-recevoir catégorique. L’officier a indiqué que « M. Albert participait activement à la résistance et connaissait le point de débarquement de l’armée Américaine ». Date et lieu de l’arrestation : Roger Albert est arrêté le 6 juin 1944 à son domicile. par les autorités allemandes comme chef d'un groupe de résistants. Parcours avant déportation : Il est interné à la prison de Nantes du 7 au 8 juin 1944, transféré à Angers le 8 juin 1944, puis à Compiègne matricule 42441 du 24 juin au 2 juillet 1944. Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Il est déporté à Dachau le 2 juillet 1944 (convoi I.240) où il arrive le 5 juillet 1944. Il y reste jusqu’au 24 décembre 1944. Date et lieu de décès : Roger Albert meurt le 24 décembre 1944 à Dachau. Sources : Livre-Mémorial FMD (I.240) http://www.bddm.org/ AD44 (248 J 12-13; 1305 W 42) Mémorial des victimes de la persécution allemande en Loire Inférieure (1940-1945) : déportés politiques, déportés résistants. SAUVAGE (Jean-Pierre) ; TROCHU (Xavier)Service historique de la Défense, Caen 21 P 417 245 fichier modifié le 29/11/2024
31/01/2025
ALEXANDRE
Adolphe
Fiche créée le 20/05/2017 modifiée le 21/07/2022 NOM, Prénom : ALEXANDRE Adolphe N° matricule : Date et lieu de Naissance : Adolphe Alexandre est né à Tours (Indre et Loire), le 27/06/1889 . Bio avant - guerre : Il est marié, employé de commerce, domicilié à Neuilly sur Seine (Seine) 17, rue des C hartres . Circonstances de l’arrestation : Il résidait à La Baule . Date et lieu de l’arrestation : Il est arrêté à La Baule . Parcours avant déportation : Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Il est déporté à Auschwitz par le convoi n° 48 parti de Drancy le 13 février 1943. Date et lieu de décès : Il est gazé à Auschwitz le 19/02/1943 . Résidence 1940 : Villa Kerfontaine, avenue des Ifs La Baule Comme « immeuble israélite » , la villa Kerfontaine est mise sous séquestre et la gestion e s t confiée à un administrateur provisoire. Un rapport d'expertise (06 janvier 1943) indique le nom de son propriétaire spolié : Mme Veuve Camille ALEXANDRE 11, avenue du colonel Bonnet à Paris. Le 1er février 1943, la Wehrmacht Kommandantur de La Baule anno nce que la villa est mise à la disposition du groupe Collaboration . Résidence principale : Neuilly - sur - Seine 17, rue des Chartres . Sources : M JY DANET : " Familles juives de La Baule déportées pendant l'Occupation " . dossier Archives Municipales de La Baule . (Il faudrait la co te) http: //shoahpresquile.com Mémorial de la Shoah - Musée et centre de documentation ... www.memorialdel ashoah.org Photo recherchée Ce document est la propriété de l'AFMD44 Fiche créée le 20/05/2017 modifiée le 21/07/2022 Ce document est la propriété de l'AFMD44
Fiche créée le 20/05/2017 modifiée le 21/07/2022 NOM, Prénom : ALEXANDRE Adolphe N° matricule : Date et lieu de Naissance : Adolphe Alexandre est né à Tours (Indre et Loire), le 27/06/1889 . Bio avant - guerre : Il est marié, employé de commerce, domicilié à Neuilly sur Seine (Seine) 17, rue des C hartres . Circonstances de l’arrestation : Il résidait à La Baule . Date et lieu de l’arrestation : Il est arrêté à La Baule . Parcours avant déportation : Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Il est déporté à Auschwitz par le convoi n° 48 parti de Drancy le 13 février 1943. Date et lieu de décès : Il est gazé à Auschwitz le 19/02/1943 . Résidence 1940 : Villa Kerfontaine, avenue des Ifs La Baule Comme « immeuble israélite » , la villa Kerfontaine est mise sous séquestre et la gestion e s t confiée à un administrateur provisoire. Un rapport d'expertise (06 janvier 1943) indique le nom de son propriétaire spolié : Mme Veuve Camille ALEXANDRE 11, avenue du colonel Bonnet à Paris. Le 1er février 1943, la Wehrmacht Kommandantur de La Baule anno nce que la villa est mise à la disposition du groupe Collaboration . Résidence principale : Neuilly - sur - Seine 17, rue des Chartres . Sources : M JY DANET : " Familles juives de La Baule déportées pendant l'Occupation " . dossier Archives Municipales de La Baule . (Il faudrait la co te) http: //shoahpresquile.com Mémorial de la Shoah - Musée et centre de documentation ... www.memorialdel ashoah.org Photo recherchée Ce document est la propriété de l'AFMD44 Fiche créée le 20/05/2017 modifiée le 21/07/2022 Ce document est la propriété de l'AFMD44
Fiche créée le 20/05/2017 modifiée le 21/07/2022 NOM, Prénom : ALEXANDRE Adolphe N° matricule : Date et lieu de Naissance : Adolphe Alexandre est né à Tours (Indre et Loire), le 27/06/1889 . Bio avant - guerre : Il est marié, employé de commerce, domicilié à Neuilly sur Seine (Seine) 17, rue des C hartres . Circonstances de l’arrestation : Il résidait à La Baule . Date et lieu de l’arrestation : Il est arrêté à La Baule . Parcours avant déportation : Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Il est déporté à Auschwitz par le convoi n° 48 parti de Drancy le 13 février 1943. Date et lieu de décès : Il est gazé à Auschwitz le 19/02/1943 . Résidence 1940 : Villa Kerfontaine, avenue des Ifs La Baule Comme « immeuble israélite » , la villa Kerfontaine est mise sous séquestre et la gestion e s t confiée à un administrateur provisoire. Un rapport d'expertise (06 janvier 1943) indique le nom de son propriétaire spolié : Mme Veuve Camille ALEXANDRE 11, avenue du colonel Bonnet à Paris. Le 1er février 1943, la Wehrmacht Kommandantur de La Baule anno nce que la villa est mise à la disposition du groupe Collaboration . Résidence principale : Neuilly - sur - Seine 17, rue des Chartres . Sources : M JY DANET : " Familles juives de La Baule déportées pendant l'Occupation " . dossier Archives Municipales de La Baule . (Il faudrait la co te) http: //shoahpresquile.com Mémorial de la Shoah - Musée et centre de documentation ... www.memorialdel ashoah.org Photo recherchée Ce document est la propriété de l'AFMD44 Fiche créée le 20/05/2017 modifiée le 21/07/2022 Ce document est la propriété de l'AFMD44
Fiche créée le 20/05/2017 modifiée le 21/07/2022 NOM, Prénom : ALEXANDRE Adolphe N° matricule : Date et lieu de Naissance : Adolphe Alexandre est né à Tours (Indre et Loire), le 27/06/1889 . Bio avant - guerre : Il est marié, employé de commerce, domicilié à Neuilly sur Seine (Seine) 17, rue des C hartres . Circonstances de l’arrestation : Il résidait à La Baule . Date et lieu de l’arrestation : Il est arrêté à La Baule . Parcours avant déportation : Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Il est déporté à Auschwitz par le convoi n° 48 parti de Drancy le 13 février 1943. Date et lieu de décès : Il est gazé à Auschwitz le 19/02/1943 . Résidence 1940 : Villa Kerfontaine, avenue des Ifs La Baule Comme « immeuble israélite » , la villa Kerfontaine est mise sous séquestre et la gestion e s t confiée à un administrateur provisoire. Un rapport d'expertise (06 janvier 1943) indique le nom de son propriétaire spolié : Mme Veuve Camille ALEXANDRE 11, avenue du colonel Bonnet à Paris. Le 1er février 1943, la Wehrmacht Kommandantur de La Baule anno nce que la villa est mise à la disposition du groupe Collaboration . Résidence principale : Neuilly - sur - Seine 17, rue des Chartres . Sources : M JY DANET : " Familles juives de La Baule déportées pendant l'Occupation " . dossier Archives Municipales de La Baule . (Il faudrait la co te) http: //shoahpresquile.com Mémorial de la Shoah - Musée et centre de documentation ... www.memorialdel ashoah.org Photo recherchée Ce document est la propriété de l'AFMD44 Fiche créée le 20/05/2017 modifiée le 21/07/2022 Ce document est la propriété de l'AFMD44
Fiche créée le 20/05/2017 modifiée le 21/07/2022 NOM, Prénom : ALEXANDRE Adolphe N° matricule : Date et lieu de Naissance : Adolphe Alexandre est né à Tours (Indre et Loire), le 27/06/1889 . Bio avant - guerre : Il est marié, employé de commerce, domicilié à Neuilly sur Seine (Seine) 17, rue des C hartres . Circonstances de l’arrestation : Il résidait à La Baule . Date et lieu de l’arrestation : Il est arrêté à La Baule . Parcours avant déportation : Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Il est déporté à Auschwitz par le convoi n° 48 parti de Drancy le 13 février 1943. Date et lieu de décès : Il est gazé à Auschwitz le 19/02/1943 . Résidence 1940 : Villa Kerfontaine, avenue des Ifs La Baule Comme « immeuble israélite » , la villa Kerfontaine est mise sous séquestre et la gestion e s t confiée à un administrateur provisoire. Un rapport d'expertise (06 janvier 1943) indique le nom de son propriétaire spolié : Mme Veuve Camille ALEXANDRE 11, avenue du colonel Bonnet à Paris. Le 1er février 1943, la Wehrmacht Kommandantur de La Baule anno nce que la villa est mise à la disposition du groupe Collaboration . Résidence principale : Neuilly - sur - Seine 17, rue des Chartres . Sources : M JY DANET : " Familles juives de La Baule déportées pendant l'Occupation " . dossier Archives Municipales de La Baule . (Il faudrait la co te) http: //shoahpresquile.com Mémorial de la Shoah - Musée et centre de documentation ... www.memorialdel ashoah.org Photo recherchée Ce document est la propriété de l'AFMD44 Fiche créée le 20/05/2017 modifiée le 21/07/2022 Ce document est la propriété de l'AFMD44
31/01/2025
ALEXANDRE
Bernard
NOM, Prénom : ALEXANDRE Bernard N° matricule : Date et lieu de Naissance : Bernard Alexandre naît le 4 mars 1896 Paris VIe. Bio avant-guerre : Il habite rue Albert De Mun à Saint Maur (Seine), il s’est marié avec Marthe Auchard ou Houssard. En 1941 il est travailleur volontaire, et part pour travailler à Braunschweig en Allemagne du 17 janvier 1941jusqu’au 28 juin 1941 Circonstances de l’arrestation : Date et lieu de l’arrestation : il est arrêté à La Baule le 31 décembre 1943 Parcours avant déportation : Il est interné à la prison de Nantes le 22 janvier 1944. Jugé le 21 mars 1944 il est condamné à 5 ans de prison. Sortit de la prison Lafayette le 19 mai 1944. Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Bernard Alexandre est déporté par le convoi I.302 à Rheinbach (prison pour les peines de travaux forcés), puis transféré à Hameln, le 16 septembre 1944. Date et lieu de libération : Revenu le 16 mai 1945 Bio après guerre : Sources : Livre-Mémorial FMD (I.302) http://www.bddm.org/ AD44 (248 J 12-13 ; 1305W 42) SHD Caen 40 R 454 SHD Caen 27 P 885 fiche modifiée le 30/11/2024 PHOTO recherchée
NOM, Prénom : ALEXANDRE Bernard N° matricule : Date et lieu de Naissance : Bernard Alexandre naît le 4 mars 1896 Paris VIe. Bio avant-guerre : Il habite rue Albert De Mun à Saint Maur (Seine), il s’est marié avec Marthe Auchard ou Houssard. En 1941 il est travailleur volontaire, et part pour travailler à Braunschweig en Allemagne du 17 janvier 1941jusqu’au 28 juin 1941 Circonstances de l’arrestation : Date et lieu de l’arrestation : il est arrêté à La Baule le 31 décembre 1943 Parcours avant déportation : Il est interné à la prison de Nantes le 22 janvier 1944. Jugé le 21 mars 1944 il est condamné à 5 ans de prison. Sortit de la prison Lafayette le 19 mai 1944. Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Bernard Alexandre est déporté par le convoi I.302 à Rheinbach (prison pour les peines de travaux forcés), puis transféré à Hameln, le 16 septembre 1944. Date et lieu de libération : Revenu le 16 mai 1945 Bio après guerre : Sources : Livre-Mémorial FMD (I.302) http://www.bddm.org/ AD44 (248 J 12-13 ; 1305W 42) SHD Caen 40 R 454 SHD Caen 27 P 885 fiche modifiée le 30/11/2024 PHOTO recherchée
NOM, Prénom : ALEXANDRE Bernard N° matricule : Date et lieu de Naissance : Bernard Alexandre naît le 4 mars 1896 Paris VIe. Bio avant-guerre : Il habite rue Albert De Mun à Saint Maur (Seine), il s’est marié avec Marthe Auchard ou Houssard. En 1941 il est travailleur volontaire, et part pour travailler à Braunschweig en Allemagne du 17 janvier 1941jusqu’au 28 juin 1941 Circonstances de l’arrestation : Date et lieu de l’arrestation : il est arrêté à La Baule le 31 décembre 1943 Parcours avant déportation : Il est interné à la prison de Nantes le 22 janvier 1944. Jugé le 21 mars 1944 il est condamné à 5 ans de prison. Sortit de la prison Lafayette le 19 mai 1944. Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Bernard Alexandre est déporté par le convoi I.302 à Rheinbach (prison pour les peines de travaux forcés), puis transféré à Hameln, le 16 septembre 1944. Date et lieu de libération : Revenu le 16 mai 1945 Bio après guerre : Sources : Livre-Mémorial FMD (I.302) http://www.bddm.org/ AD44 (248 J 12-13 ; 1305W 42) SHD Caen 40 R 454 SHD Caen 27 P 885 fiche modifiée le 30/11/2024 PHOTO recherchée
NOM, Prénom : ALEXANDRE Bernard N° matricule : Date et lieu de Naissance : Bernard Alexandre naît le 4 mars 1896 Paris VIe. Bio avant-guerre : Il habite rue Albert De Mun à Saint Maur (Seine), il s’est marié avec Marthe Auchard ou Houssard. En 1941 il est travailleur volontaire, et part pour travailler à Braunschweig en Allemagne du 17 janvier 1941jusqu’au 28 juin 1941 Circonstances de l’arrestation : Date et lieu de l’arrestation : il est arrêté à La Baule le 31 décembre 1943 Parcours avant déportation : Il est interné à la prison de Nantes le 22 janvier 1944. Jugé le 21 mars 1944 il est condamné à 5 ans de prison. Sortit de la prison Lafayette le 19 mai 1944. Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Bernard Alexandre est déporté par le convoi I.302 à Rheinbach (prison pour les peines de travaux forcés), puis transféré à Hameln, le 16 septembre 1944. Date et lieu de libération : Revenu le 16 mai 1945 Bio après guerre : Sources : Livre-Mémorial FMD (I.302) http://www.bddm.org/ AD44 (248 J 12-13 ; 1305W 42) SHD Caen 40 R 454 SHD Caen 27 P 885 fiche modifiée le 30/11/2024 PHOTO recherchée
NOM, Prénom : ALEXANDRE Bernard N° matricule : Date et lieu de Naissance : Bernard Alexandre naît le 4 mars 1896 Paris VIe. Bio avant-guerre : Il habite rue Albert De Mun à Saint Maur (Seine), il s’est marié avec Marthe Auchard ou Houssard. En 1941 il est travailleur volontaire, et part pour travailler à Braunschweig en Allemagne du 17 janvier 1941jusqu’au 28 juin 1941 Circonstances de l’arrestation : Date et lieu de l’arrestation : il est arrêté à La Baule le 31 décembre 1943 Parcours avant déportation : Il est interné à la prison de Nantes le 22 janvier 1944. Jugé le 21 mars 1944 il est condamné à 5 ans de prison. Sortit de la prison Lafayette le 19 mai 1944. Parcours en déportation : camps, kommandos, prisons. Bernard Alexandre est déporté par le convoi I.302 à Rheinbach (prison pour les peines de travaux forcés), puis transféré à Hameln, le 16 septembre 1944. Date et lieu de libération : Revenu le 16 mai 1945 Bio après guerre : Sources : Livre-Mémorial FMD (I.302) http://www.bddm.org/ AD44 (248 J 12-13 ; 1305W 42) SHD Caen 40 R 454 SHD Caen 27 P 885 fiche modifiée le 30/11/2024 PHOTO recherchée
31/01/2025
ALEXANDRE
Jeanine
Fiche créée le 20/05/2017 modifiée le 21/07/2022 NOM, Prénom : ALEXANDRE Jeanine née Dreyfus N° matricule : Date et lieu de Naissance : Jeanine Dreyfus est née le 12/08/1902 à Paris (7 5). Elle est mariée à Adolphe ALEXANDRE . Bio avant - guerre : Sa famille possède une résidence à La Baule, la v illa Kerfontaine, avenue des Ifs. Elle habite 17 rue de Chartres à Neuilly sur Seine. Circonstances de l’arrestation : Date et lieu de l’arrestation: Parcours avant déportation : Elle est internée au camp de la Lande près de Tours avec sa mère p u i s à Drancy le 5 septembre 1942 . Parcours en déportation : camps, komman dos, prisons. Elle est déportée à Auschwitz le 13/02/1943 par le convoi N° 48 parti de Drancy. Date et lieu de décès : Elle est gazée à Auschwitz le 18 février 1943. Sources : Mémorial de la Shoah - Musée et centre de documentation ... www.memorialdelashoah.org M JY DANET : " Familles juives de La Baule déportées pendan t l'Occupation " . dossier Archives Municipales de La Baule . (Il faudrait la co te) http: //shoahpresquile.com Photo recherchée Ce document est la propriété de l'AFMD44
Fiche créée le 20/05/2017 modifiée le 21/07/2022 NOM, Prénom : ALEXANDRE Jeanine née Dreyfus N° matricule : Date et lieu de Naissance : Jeanine Dreyfus est née le 12/08/1902 à Paris (7 5). Elle est mariée à Adolphe ALEXANDRE . Bio avant - guerre : Sa famille possède une résidence à La Baule, la v illa Kerfontaine, avenue des Ifs. Elle habite 17 rue de Chartres à Neuilly sur Seine. Circonstances de l’arrestation : Date et lieu de l’arrestation: Parcours avant déportation : Elle est internée au camp de la Lande près de Tours avec sa mère p u i s à Drancy le 5 septembre 1942 . Parcours en déportation : camps, komman dos, prisons. Elle est déportée à Auschwitz le 13/02/1943 par le convoi N° 48 parti de Drancy. Date et lieu de décès : Elle est gazée à Auschwitz le 18 février 1943. Sources : Mémorial de la Shoah - Musée et centre de documentation ... www.memorialdelashoah.org M JY DANET : " Familles juives de La Baule déportées pendan t l'Occupation " . dossier Archives Municipales de La Baule . (Il faudrait la co te) http: //shoahpresquile.com Photo recherchée Ce document est la propriété de l'AFMD44
Fiche créée le 20/05/2017 modifiée le 21/07/2022 NOM, Prénom : ALEXANDRE Jeanine née Dreyfus N° matricule : Date et lieu de Naissance : Jeanine Dreyfus est née le 12/08/1902 à Paris (7 5). Elle est mariée à Adolphe ALEXANDRE . Bio avant - guerre : Sa famille possède une résidence à La Baule, la v illa Kerfontaine, avenue des Ifs. Elle habite 17 rue de Chartres à Neuilly sur Seine. Circonstances de l’arrestation : Date et lieu de l’arrestation: Parcours avant déportation : Elle est internée au camp de la Lande près de Tours avec sa mère p u i s à Drancy le 5 septembre 1942 . Parcours en déportation : camps, komman dos, prisons. Elle est déportée à Auschwitz le 13/02/1943 par le convoi N° 48 parti de Drancy. Date et lieu de décès : Elle est gazée à Auschwitz le 18 février 1943. Sources : Mémorial de la Shoah - Musée et centre de documentation ... www.memorialdelashoah.org M JY DANET : " Familles juives de La Baule déportées pendan t l'Occupation " . dossier Archives Municipales de La Baule . (Il faudrait la co te) http: //shoahpresquile.com Photo recherchée Ce document est la propriété de l'AFMD44
Fiche créée le 20/05/2017 modifiée le 21/07/2022 NOM, Prénom : ALEXANDRE Jeanine née Dreyfus N° matricule : Date et lieu de Naissance : Jeanine Dreyfus est née le 12/08/1902 à Paris (7 5). Elle est mariée à Adolphe ALEXANDRE . Bio avant - guerre : Sa famille possède une résidence à La Baule, la v illa Kerfontaine, avenue des Ifs. Elle habite 17 rue de Chartres à Neuilly sur Seine. Circonstances de l’arrestation : Date et lieu de l’arrestation: Parcours avant déportation : Elle est internée au camp de la Lande près de Tours avec sa mère p u i s à Drancy le 5 septembre 1942 . Parcours en déportation : camps, komman dos, prisons. Elle est déportée à Auschwitz le 13/02/1943 par le convoi N° 48 parti de Drancy. Date et lieu de décès : Elle est gazée à Auschwitz le 18 février 1943. Sources : Mémorial de la Shoah - Musée et centre de documentation ... www.memorialdelashoah.org M JY DANET : " Familles juives de La Baule déportées pendan t l'Occupation " . dossier Archives Municipales de La Baule . (Il faudrait la co te) http: //shoahpresquile.com Photo recherchée Ce document est la propriété de l'AFMD44
Fiche créée le 20/05/2017 modifiée le 21/07/2022 NOM, Prénom : ALEXANDRE Jeanine née Dreyfus N° matricule : Date et lieu de Naissance : Jeanine Dreyfus est née le 12/08/1902 à Paris (7 5). Elle est mariée à Adolphe ALEXANDRE . Bio avant - guerre : Sa famille possède une résidence à La Baule, la v illa Kerfontaine, avenue des Ifs. Elle habite 17 rue de Chartres à Neuilly sur Seine. Circonstances de l’arrestation : Date et lieu de l’arrestation: Parcours avant déportation : Elle est internée au camp de la Lande près de Tours avec sa mère p u i s à Drancy le 5 septembre 1942 . Parcours en déportation : camps, komman dos, prisons. Elle est déportée à Auschwitz le 13/02/1943 par le convoi N° 48 parti de Drancy. Date et lieu de décès : Elle est gazée à Auschwitz le 18 février 1943. Sources : Mémorial de la Shoah - Musée et centre de documentation ... www.memorialdelashoah.org M JY DANET : " Familles juives de La Baule déportées pendan t l'Occupation " . dossier Archives Municipales de La Baule . (Il faudrait la co te) http: //shoahpresquile.com Photo recherchée Ce document est la propriété de l'AFMD44
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